Lorsque j'ai lu le commentaire de shivah après elle peut me corriger mais lorsqu'elle parle du Maroc et la Tunisie je pense qu'elle devait faire allusion à la loi sur la polygamie.
Tu as raison, en fait je parle de la polygamie mais pas que que, la moudawana a octroyé des droits aux femmes qu'elle n'avait pas auparavent!
j'ai fait un copié/collé des droits que les Marocaiçnes ont que les autres femmes du monde arabe n'ont pas, aprés, la loi seule nbe peut pas tout c'est aux MENTALITES de changer également.
Le code actuel
Exemple des principaux points de la réforme :
La coresponsabilité des conjoints - La famille est placée sous la responsabilité conjointe des deux époux et plus sous celle exclusive du père. La règle de
« l'obéissance de l'épouse à son mari » est abandonnée.
La tutelle matrimoniale - La femme n'a plus besoin de tuteur pour se marier
L’âge du mariage – L’âge minimum légal de mariage passe de 15 ans à 18 ans.
La polygamie – Tout en restant autorisée, elle devient plus difficile. Le consentement de la première épouse devient obligatoire. Elle n’est pas abolie mais elle est soumise à des conditions strictes.
Les mariages civils - Les mariages faits à l'étranger sont reconnus par la nouvelle Moudawana, à condition que deux témoins au moins soient musulmans.
La répudiation - Elle est soumise à l'autorisation préalable du juge. Auparavant, c'était un droit exclusif du mari, ce qui n'est plus le cas et la simple lettre de répudiation établie devant un responsable religieux ne suffit pas non plus.
Le divorce - La femme peut dorénavant demander le divorce et les conditions de demande sont assouplies.
Gestion du foyer - L'obligation de l'époux de subvenir aux besoins de sa femme et celle de la femme d'obéir à son époux ont été remplacées par l'obligation de l'époux de subvenir seul aux besoins du ménage et le droit des deux époux de gérer mutuellement les affaires du foyer.
Domicile familial - Lors d'un divorce, le parent qui obtient la garde des enfants conserve le domicile familial.
Le harcèlement sexuel - Il est désormais considéré comme une faute et puni par la loi.
Fidélité - La fidélité de la femme envers son époux, principe traditionnel du droit coranique, mais qui n'avait été codifié qu'au Maroc, est modifiée : alors que l'ancien code faisait de la fidélité de la femme « le premier des droits du mari », le nouveau prescrit une « fidélité mutuelle » 1.
Nationalité - La possibilité pour une femme marocaine de transmettre sa nationalité à ses enfants n'est pas reconnue dans la Moudawana, mais après une campagne publique, elle a été reconnue dans le nouveau code de nationalité, le roi Mohammed VI l'a autorisée en octobre 20062 ; la loi a été approuvée par le Parlement.