Les vaches à lait sont des vaches malades !
La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait. Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité !
Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone de croissance se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient au plus 14 litres). Il a fallu traficoter génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les pattes plus longues afin qu’elles ne se marchent pas sur les pis ; les pauvres bêtes ne pourraient pas suivre sur le plan alimentaire, même en broutant 24 h sur 24 si l’on ne les complémentait pas avec des farines. A savoir qu’une vache normale vit 25 à 30 ans, et celles-là sont usées à la corde en…..7 à 8 ans.
Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de nombreuses infections, si bien que l’on a dû utiliser des antibiotiques en quantité. Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées. Aux USA, sur les 23 000 tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié est utilisée pour le bétail. Il est hallucinant de constater qu’aux USA 80% des vaches souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-il être sans danger pour l’homme ?
Le cancer du lait
Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance stimulait chez l’homme le développement de cancers lymphatiques, l’association des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations. Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis. Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers qu’ils consomment.
Hormones de croissance, on l’a échappé belle !
Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son innocuité n’étaient pas suffisantes. Avec la passion d’un détective, Cohen, « l’homme anti-lait », révèle ce qui nous attendait sinon : « Alors qu’aux USA, du temps de nos parents, une femme sur 20 était atteinte de cancer du sein, aujourd’hui une femme sur 3 est touchée ! Quand on pense aux milliers d’enfants souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies hypertoxiques, on a le coeur brisé devant tant de mépris de la santé publique.
Tout bien pesé, la différence n’est pas si notable avec la France, une partie de ce lait aux hormones serait-il arrivé chez nous par l’intermédiaire de produits transformés ?
Nota : En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT, ce sont les produits laitiers, puisqu’ils sont bourrés d’hormones de croissance. Espérer une guérison sans cette suppression draconienne est une utopie qui semble ignorée de la plupart des médecins.
Anémiques ou diabétiques à cause du lait !
La cause la plus fréquente de l’anémie est un manque de fer. Or la consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine.
Et par conséquent, on remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en souffrent pas.
On a pu aussi lire dans le New England Journal of Medicine,dès juillet 1992 : « Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulino-dépendants produisent des anticorps contre les protéines du lait qui participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, centre de fabrication de l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune ».
Le véritable problème à la base du développement du diabète est l’énorme quantité de graisses contenue dans l’alimentation occidentale, à cause de la viande, et des produits laitiers
Des expériences faites avec des étudiants en médecine ont montré qu’en une semaine à peine d’alimentation très riche en graisse, 50% des étudiants étaient devenus diabétiques.
Tous collés à la caséine !
Près de 80 % des protéines du lait et du fromage sont constituées de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière.
Essayez d’arracher une des ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle ! On utilise aussi la caséine pour coller les meubles, et nos grands parents s’en servaient pour coller les papiers peints ! Pensez à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène/anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus, et surtout d’inflammations (sinusites otites, bronchites, maladies en ite….). De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps le soulagement rapide de ces affections.
Depuis des années, je préconise, pour nettoyer les colloïdes laitiers du système lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) – 1 ampoule au lever.
Et le calcium ? Une croyance bien enracinée !
Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-t-il tendance à se déposer d’une façon désordonnée un peu n’importe où dans les coins tranquilles, plutôt que là où il faut – c’est ainsi que se développent des exostoses, des becs de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de la colonne vertébrale migre vers l’aorte par un phénomène électrolytique.
Alors où donc trouver le précieux calcium ?
Mais dans tous les légumes !!!
Il y en a partout !
Il y a près de 25 ans que je suis devenu intolérant aux produits laitiers et je n’ai aucun problème de calcification et aucun problème arthrosique. Je ne connais d’ailleurs pas de végétariens qui aient un problème de calcium.
En résumé : arrêtez de croire aveuglément ce que vous dit la télé et ce que votre médecin vous répète comme un perroquet.
Michel Dogna http://www.alternativesante.fr/
La multinationale Monsanto a produit une hormone de croissance destinée à augmenter la production de lait. Grâce à ses bénéfices colossaux, elle a pu soudoyer les autorités sanitaires et politiques pour qu’elles laissent mettre sur le marché ce produit sans avoir évalué sa toxicité !
Les éleveurs auxquels on a imposé cette hormone de croissance se sont retrouvés avec des vaches qui produisaient 40 à 50 litres de lait par jour (auparavant, elles en donnaient au plus 14 litres). Il a fallu traficoter génétiquement un nouveau type de vaches, les Holstein, avec les pattes plus longues afin qu’elles ne se marchent pas sur les pis ; les pauvres bêtes ne pourraient pas suivre sur le plan alimentaire, même en broutant 24 h sur 24 si l’on ne les complémentait pas avec des farines. A savoir qu’une vache normale vit 25 à 30 ans, et celles-là sont usées à la corde en…..7 à 8 ans.
Par ailleurs ces vaches sont sujettes à de nombreuses infections, si bien que l’on a dû utiliser des antibiotiques en quantité. Les taux d’antibiotiques dans le lait sont 100 fois plus élevés qu’il y a 25 ans et les autorités sanitaires se sont contentées d’élever les normes limites autorisées. Aux USA, sur les 23 000 tonnes d’antibiotiques fabriqués chaque année, près de la moitié est utilisée pour le bétail. Il est hallucinant de constater qu’aux USA 80% des vaches souffrent de leucémie. Alors, comment le lait de ces vaches peut-il être sans danger pour l’homme ?
Le cancer du lait
Quand les études scientifiques ont montré que cette hormone de croissance stimulait chez l’homme le développement de cancers lymphatiques, l’association des médecins américains, l’O.M.S et les autorités sanitaires ont préféré fermer les yeux car les intérêts économiques passent avant la santé des populations. Depuis 1994, année où l’hormone de croissance obtenue par génie génétique fut autorisée pour stimuler la production des vaches laitières, une véritable épidémie de cancers lymphatiques a frappé les USA. Ce type de cancer, rare jusqu’alors, tue plus que les cancers du sein, de la prostate, du pancréas et des organes génitaux réunis. Les citoyens américains sont devenus, sans le savoir, des cobayes qui absorbent de l’hormone de croissance à travers les produits laitiers qu’ils consomment.
Hormones de croissance, on l’a échappé belle !
Pourtant l’Europe a résisté et, malgré la pression des multinationales américaines (notamment le dossier fourni par Monsanto qui ne comptait pas moins de 23 000 pages) la commission du Marché Commun qui a étudié la question a refusé l’utilisation de l’hormone de croissance car elle estimait que les preuves de son innocuité n’étaient pas suffisantes. Avec la passion d’un détective, Cohen, « l’homme anti-lait », révèle ce qui nous attendait sinon : « Alors qu’aux USA, du temps de nos parents, une femme sur 20 était atteinte de cancer du sein, aujourd’hui une femme sur 3 est touchée ! Quand on pense aux milliers d’enfants souffrant de leucémie et traités par des chimiothérapies hypertoxiques, on a le coeur brisé devant tant de mépris de la santé publique.
Tout bien pesé, la différence n’est pas si notable avec la France, une partie de ce lait aux hormones serait-il arrivé chez nous par l’intermédiaire de produits transformés ?
Nota : En cas de cancer, la première chose à supprimer TOTALEMENT, ce sont les produits laitiers, puisqu’ils sont bourrés d’hormones de croissance. Espérer une guérison sans cette suppression draconienne est une utopie qui semble ignorée de la plupart des médecins.
Anémiques ou diabétiques à cause du lait !
La cause la plus fréquente de l’anémie est un manque de fer. Or la consommation de lait entraîne souvent des saignements de la muqueuse intestinale, par un phénomène de réaction allergique aux protéines du lait, ce qui fait perdre beaucoup d’hémoglobine.
Et par conséquent, on remarque cette anémie par perte de fer chez un tiers des enfants nourris au lait de vache, alors que ceux nourris au lait maternel n’en souffrent pas.
On a pu aussi lire dans le New England Journal of Medicine,dès juillet 1992 : « Des études ont suggéré que les protéines du lait pourraient jouer un rôle dans l’apparition du diabète chez l’homme. Les patients diabétiques insulino-dépendants produisent des anticorps contre les protéines du lait qui participent au dysfonctionnement des îlots de Langerhans, dans le pancréas, centre de fabrication de l’insuline. Il s’agit d’une réaction auto-immune ».
Le véritable problème à la base du développement du diabète est l’énorme quantité de graisses contenue dans l’alimentation occidentale, à cause de la viande, et des produits laitiers
Des expériences faites avec des étudiants en médecine ont montré qu’en une semaine à peine d’alimentation très riche en graisse, 50% des étudiants étaient devenus diabétiques.
Tous collés à la caséine !
Près de 80 % des protéines du lait et du fromage sont constituées de caséine, qui est une puissante colle, celle qui fait notamment tenir les étiquettes sur les bouteilles de bière.
Essayez d’arracher une des ces étiquettes et vous verrez la force de cette colle ! On utilise aussi la caséine pour coller les meubles, et nos grands parents s’en servaient pour coller les papiers peints ! Pensez à ce que cette colle peut provoquer dans votre organisme. Comme la caséine est une protéine étrangère, le corps crée des anticorps pour la neutraliser. Cette réaction antigène/anticorps fait sécréter de l’histamine et engendre une intense production de mucus, voire de pus, et surtout d’inflammations (sinusites otites, bronchites, maladies en ite….). De nombreux chercheurs pensent que la caséine est la principale substance responsable des inflammations articulaires que l’on voit dans les arthrites rhumatoïdes. Cela expliquerait pourquoi la suppression de tout produit laitier permet la plupart du temps le soulagement rapide de ces affections.
Depuis des années, je préconise, pour nettoyer les colloïdes laitiers du système lymphatique, du CALCAIRE DE VERSAILLES 8 DH (en pharmacie) – 1 ampoule au lever.
Et le calcium ? Une croyance bien enracinée !
Le calcium du lait se métabolise mal chez les adultes, aussi a-t-il tendance à se déposer d’une façon désordonnée un peu n’importe où dans les coins tranquilles, plutôt que là où il faut – c’est ainsi que se développent des exostoses, des becs de perroquet, et même la maladie de Paget où le calcium de la colonne vertébrale migre vers l’aorte par un phénomène électrolytique.
Alors où donc trouver le précieux calcium ?
Mais dans tous les légumes !!!
Il y en a partout !
Il y a près de 25 ans que je suis devenu intolérant aux produits laitiers et je n’ai aucun problème de calcification et aucun problème arthrosique. Je ne connais d’ailleurs pas de végétariens qui aient un problème de calcium.
En résumé : arrêtez de croire aveuglément ce que vous dit la télé et ce que votre médecin vous répète comme un perroquet.
Michel Dogna http://www.alternativesante.fr/