faut il creuser un canal fluvial entre nord et le centre

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el jadida

el jadida/mazagan beach
vu qu'il pleut souvent dans le nord peut être il faut creuser un canal fluvial pour déverser cette eau dans la région ou il manque d'eau , exemple relier 2 rivières

Un canal est un cours d'eau artificiel, navigable ou non. Les canaux sont généralement d’eau douce, mais le canal de Corinthe ou le canal de Suez, qui ne quittent pas le niveau de la mer, sont salés.

Il peut s’agir d’une structure entièrement artificielle, ou d’un fleuve ou d’une rivière canalisé sur tout ou partie de son cours. L’Homme modifie alors les caractéristiques géométriques et hydrauliques d’un cours d’eau, par curages, creusements, rectifications, élargissement (ex : pour « mise à grand gabarit »). La canalisation des grands fleuves (Rhin, Rhône) ont été accompagnés de comblements de méandres ou de « chevelus » pour « canaliser l’eau » dans un cours principal contraint. On a généralement cherché à rendre ce dernier plus rectiligne pour faciliter la navigation, au détriment de la naturalité et richesse écologique et fonctionnelle des zones humides antérieurement présentes.

Dès l’Antiquité, puis au Moyen Âge, des berges ont été aménagées, pour empêcher les inondations en cas de crue, pour faciliter la traction (halage) et l’accostage, par la construction d'embarcadères, quais et chemins de halage, puis par la création d’écluses, voire d’ascenseurs à bateaux, de ponts-canaux ou de passages en tunnels ont encore facilité la circulation, et enfin par des gares d’eau et des points de virement des bateaux et ports fluviaux.

Avec l'invention de la motorisation et pour lutter contre la dégradation des berges par le « batillage » causé par la vitesse des péniches et bateaux à moteurs, de nombreux canaux ont des berges de béton ou palplanches métalliques.


http://www.bladi.info/205042-pluie-maroc-moment/
 
Enjeux et atouts [modifier]

Les enjeux et atouts liés aux canaux s'expliquent par leur histoire.

Outils de gestion de l'eau : Les premiers canaux ont souvent aussi été des canaux de drainage et/ou d'irrigation, en plus de leur vocation de transport de biens, animaux et/ou personnes (ex : canal de Neufossé qui là où il est constitué de l'Aa canalisée draine le réseau des watringues). Les antiques canaux mésopotamiens ou cambodgiens, canal du Midi en France étaient d'abord ou aussi des canaux d'irrigation.

Canaux de l'industrie : Les canaux permettant de transporter à bas prix les lourds minerais et de nombreux matériaux dont le charbon, ils ont attiré de nombreuses industries lourdes (métallurgie, carbochimie, verreries, papeteries, etc. aux XIXe et XXe siècles, ce qui explique le haut degré de pollution de leurs sédiments et de certains terrains de dépôts de ces sédiments (ainsi, 14 % du poids du sédiment stocké sur le terrain de dépôt d'Auby dans le Nord de la France est constitué de plomb pur, mais on y trouve aussi de l'arsenic, du cadmium, du zinc et d'autres toxiques. Le sol est si pollué que sur une partie du dépôt rien ne pousse depuis 20 ans. Ces sédiments viennent de la Gare d'eau de Courcelles-lès-Lens, près de l'ancien émissaire de l'usine Pennaroya, devenue Métaleurop-Nord.). D'autres dépôts ne contenant que des terres issues du creusement sont propres et sont devenus de véritables refuges pour la biodiversité.

Enjeux stratégiques : Parce qu'ils étaient des axes vitaux et que d'eux dépendaient de nombreuses industries, les canaux ont été des cibles et enjeux stratégiques durant la Première et la Seconde Guerre mondiale. Près des écluses et anciennes usines ou à proximité des ponts qui les traversent, ils peuvent encore abriter des munitions non explosées, et à leurs abords, les séquelles de guerre ont été particulièrement importantes, notamment en zone rouge. Les grands projets, très coûteux (ex, en France : canal Seine-Nord, canal Rhin-Rhône) sont périodiquement évoqués, étudiés ou relancés.
Les Romains avaient déjà envisagé une liaison Rhin-Rhône par la Moselle. De même, Charlemagne avait déjà un projet de canal Rhin-Main-Danube vers 793, mais dont les premiers travaux, selon Mercator, ont rapidement été interrompus en raison d'effondrement de berges et du manque de moyen de pompage de l'eau, et surtout par le fait que l'on n'avait pas encore inventé l'écluse à sas pour s'affranchir des dénivelés. Il en reste des vestiges bien visibles, appelés Fosse caroline à Graben (Graben = fossé en allemand) dans la région de Nuremberg.
Les canaux et les ports fluviaux ont retrouvé de leur activité et de leur intérêt avec de nouveaux chalands automoteurs de transport de containers et un début de relance du transport multimodal. La notion de développement durable n'est pas étrangère à ce renouveau du transport fluvial : une tonne transportée par bateau consomme 5 fois moins de gazole que par camion pour la même distance, et la pollution est donc en rapport.
 
Bien arrosé, avec des neiges persistantes sur les plus hauts sommets, l’Atlas donne naissance à de nombreuses rivières dont l’eau est utilisée pour l’irrigation et l’alimentation de plusieurs petites centrales hydroélectriques. Ces cours d’eau deviennent des fleuves comme la Moulouya (450 km), qui se jette dans la Méditerranée, ou le Sebou (500 km), qui se déverse dans l’Atlantique.

La nature accidentée du terrain et le régime des pluies rendent les fleuves du Maroc peu navigables. Ainsi, le Sebou constitue l’unique voie navigable du pays, mais uniquement dans la dernière partie de son cours, jusqu’à Kenitra (17 km), tandis que l’Oum er-Rebia (600 km), principal fleuve du Maroc, qui court d’est en ouest tout le long du versant saharien et arrose une ligne d’oasis, est impropre à la navigation.

Les crues soudaines et incontrôlées du printemps ou de l’automne alimentent des nappes souterraines qui font vivre, le reste de l’année, les populations établies sur des éminences. À l’extrême sud-est, les oueds Ziz et Rhéris, descendus de l’Atlas, se perdent dans les sables du désert.
 
Les zones vulnérables aux inondations dans la zone du Loukkos sont :

* la plaine aval située en rive droite du Loukkos entre l'oued Ouarour et le barrage de garde où l'augmentation de la fréquence des crues a engendré depuis 1996 des inondations causant des dégâts importants.
* la zone urbaine de la ville de Ksar El Kébir située au Nord de la voie ferrée, qui est dominée par deux bassins versants relativement importants caractérisés par de fortes pentes qui génèrent en périodes pluviales des crues rapides et violentes
* Le centre Ain Beida, situé sur la rive gauche de l'oued Loukkos juste après sa confluence avec l'oued Mghar
* Le centre Laghdir, localisé dans le haut Loukkos qui connaît souvent des débordements de l'oued Loukkos en période de crues au niveau de la zone basse
* Le centre Zeitouna situé sur la route liant Chefchaouen à Ouezzanen, longé par l'oued Tazarine dont les zones riveraines sont exposées aux inondations pendant la période pluvieuse.
 
Ce sont des gens qui savent ce qu´ils font. T´as vu le projet de l´autoroute qui traverse l´Algerie des frontières avec le Maroc vers les frontières avec la Tunisie. Ce sont des Canadians qui gerent le projet...
 
Rebonjour,
commençons par ce qui est facile et n'est onereux empecher les eaux des rivieres et fleuves marocains de se jeter en mer.selon les etudes on peut economiser la totalite des ressources hydrauliques actuelles du maroc.Aujourd'hui on travaille pour la marina de Bouregreg pourquoi pas fermer cette marine a partir du pont a cote de "l'oulja"de meme pour Sebou le port de kenitra est selon les specialistes est tres difficile pour les gros navires.idem pour Oum rabii a Azemmour.Je crois que le maroc a acquis des experiences de construction de barrages surtout telliens.
merci et ramadan karim
 
Rebonjour,
commençons par ce qui est facile et n'est onereux empecher les eaux des rivieres et fleuves marocains de se jeter en mer.selon les etudes on peut economiser la totalite des ressources hydrauliques actuelles du maroc.Aujourd'hui on travaille pour la marina de Bouregreg pourquoi pas fermer cette marine a partir du pont a cote de "l'oulja"de meme pour Sebou le port de kenitra est selon les specialistes est tres difficile pour les gros navires.idem pour Oum rabii a Azemmour.Je crois que le maroc a acquis des experiences de construction de barrages surtout telliens.
merci et ramadan karim


Et as tu penser au conséquences pour l environnement$??? les animaux et les oiseaux migrateurs ? il ne faut pas penser que *$$$$$
 
D'inquiétantes perspectives de pénurie [modifier]

L'explosion de la demande [modifier]



La situation devrait être critique vers 2050 quand la Terre portera environ 10 milliards d'habitants. Les problèmes d'approvisionnement risquent de priver la moitié d'entre eux de ressources convenables en eau. Une réponse technique est de réduire la consommation d'eau via de bonnes pratiques et des techniques économes en eau. Mais le principal problème est la répartition inégale de l'eau potable et les conséquences de son absence dans certaines zones. De plus continuer à surexploiter les nappes posera d'inévitables problèmes écologiques.

Dans maints États, les prélèvements annuels dans les nappes souterraines excèdent d'ores et déjà la recharge des aquifères :

* Aux États-Unis, la nappe d'Ogallala, qui s'étend du Dakota du Sud jusqu'au Texas sur une superficie équivalente à la France et qui constitue l'une des plus grandes réserves d'eau souterraine du monde, se vide 8 fois plus vite qu'elle ne se remplit en raison des 200 000 puits qui la ponctionnent pour irriguer 3 millions d'hectares de cultures.
* À Mexico, l'eau pompée pour alimenter la ville dépasse de plus de 50 % les capacités de renouvellement de la nappe phréatique.
* Les ponctions opérées par l'URSS pour développer la culture du coton en Asie centrale (notamment en Ouzbékistan) ont fait perdre à la mer d'Aral 60 % de sa superficie depuis les années 1960 (on la considérait alors comme la 4ème masse d'eau douce fermée au monde).
* Depuis le début des années 2000, le niveau de la mer Morte baisse d'un mètre par an en raison des prélèvements dans le fleuve Jourdain.
* En Afrique, le lac Tchad a perdu 80 % de sa superficie .
* Les ponctions opérées aux dépens du fleuve Jaune, qui draine l'immense bassin céréalier du nord de la Chine, induisent l'assèchement de son cours inférieur durant plus de 200 jours certaines années.
 
continuons la réflexion pour créer du transfert d'eau

je ne pense pas du tout qu'il y ait trop d'eau dans le Nord du Maroc, c'est très relatif, bien au contraire, nous souffrons également énormément de la sécheresse.

On devrait plutôt creuser vers d'autres solutions, un exemple tout bête, le lavage de voitures sans eau et 100% écologique, lorsqu'un particulier lave sa voiture, c'est en moyenne 200 Litres d'eau consommée. J'ai vu qu'une entreprise pionnière s'était déjà lancée sur ce créneau au Maroc, c'est un concept intéressant. Dans l'hexagone près de 6% de la consommation d'eau est le fait du lavage de voitures.
 
je parle du nord ouest

Le Nord Ouest c'est Jebala, c'est vers chez moi, je suis jebli et je peux te dire que nous avons eu souvent des mauvaises années, la pluviométrie a beaucoup baissé, demande à des personnes ayant plus de 50 ans, la différence est très nette. Il n y a pas une surabondance d'eau, la solution est dans l'économie d'eau mais aussi dans une réorientation de notre agriculture, cultiver des tomates dans le sud du pays pour les exporter n'est peut-être plus une bonne solution, il faudra aller vers une agriculture moins gourmande en eau notamment dans le sud du pays.
 
Bah justement c du Pays de Jebala dont tu parle mais chez nous aussi ils manquent de l eau faut pas croire qu on est riche en eau c une region monagneuse donc dificile d acces alors pour creusé un canal et prendre l eau vers le sud que va t il nous rester deja toutes nos ressources sont pillés en faveur du sud du et du centre du Maroc alors apres l embargo imposé à notre région depuis l independance maintenant c est a ses ressource qu on s interesse ?? et quoi encore ???
 
on peut réfléchir pour les montagnes gardent plus longtemps la neige

exemple le creusement de lac artificiels pour la neige de culture
 
Bah justement c du Pays de Jebala dont tu parle mais chez nous aussi ils manquent de l eau faut pas croire qu on est riche en eau c une region monagneuse donc dificile d acces alors pour creusé un canal et prendre l eau vers le sud que va t il nous rester deja toutes nos ressources sont pillés en faveur du sud du et du centre du Maroc alors apres l embargo imposé à notre région depuis l independance maintenant c est a ses ressource qu on s interesse ?? et quoi encore ???

ch7al fek dial tsa9rim

bghayni chrayma nwerdo lb8aim kaberti8a fina, bellati 3lek 7ta t8bet men jbel nwerik ma tswa.
 
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