amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
La ville de Larache a été secouée, ce week-end, par un double meurtre d'une rare violence. Un gendarme a utilisé son arme contre sa famille.
C’est un crime sanglant qui Fait la Une de la presse nationale. "Un gendarme tue sa femme et son beau-père d’un coup de feu", titre Assabah dans son édition de ce lundi 10 février. Selon le quotidien, les faits se sont déroulés samedi à Larache. "Une violente dispute familiale aurait ainsi incité le gendarme, âgé de 35 ans, à tirer sur ces deux membres de sa famille avec son arme de service avant de prendre la fuite".
"Cinq heures après son crime, l’homme s’est finalement rendu aux autorités", poursuit Assabah. Et de préciser : "Selon des témoins, le gendarme aurait eu des mots avec son beau-père venu leur rendre visite de Beni Mellal. Il aurait sorti son arme lorsque son beau-père l’a menacé de porter plainte contre lui pour les coups et mauvais traitements qu’il infligeait à sa fille".
Annass nous apprendra pour sa part que ce sont "les voisins qui ont découvert les deux corps baignant dans leur sang dans l’appartement du couple, après que le gendarme ait pris la fuite". "Après l’arrivée de la police et de la gendarmerie royale, les dépouilles des deux victimes ont été emmenées au service médicolégal de l’hôpital régional de Lalla Meriem", poursuit le journal.
Larache sous le choc
Ce crime a littéralement secoué la petite ville de Larache, enchaîne Al Ahdath Al Maghribiya. Et d'ajouter que "les collègues du gendarme sont sous le choc. Certains le décrivent comme quelqu’un qui n’aurait jamais pu commettre un tel acte, d’autres tentent de trouver une explication, mais en vain".
Nombre d’entre eux affirment par ailleurs que leur confrère avait passé la journée du samedi à la caserne. Il avait reçu plusieurs coups de fils, a priori de sa femme, qui l’avaient mis mal à l’aise, voire inquiété, lit-on sur le journal. Malgré l’atrocité des faits, il est évident que ce double crime est un acte passionnel et ne semble pas avoir été prémédité par le suspect. Le fait que le meurtrier se soit rendu par lui-même à la police jouera probablement en sa faveur lors du procès.
Mais, ce qui est sûr, c’est que la ville de Larache n'oubliera pas de sitôt le drame qui vient de la secouer.
Source : lareleve.ma
C’est un crime sanglant qui Fait la Une de la presse nationale. "Un gendarme tue sa femme et son beau-père d’un coup de feu", titre Assabah dans son édition de ce lundi 10 février. Selon le quotidien, les faits se sont déroulés samedi à Larache. "Une violente dispute familiale aurait ainsi incité le gendarme, âgé de 35 ans, à tirer sur ces deux membres de sa famille avec son arme de service avant de prendre la fuite".
"Cinq heures après son crime, l’homme s’est finalement rendu aux autorités", poursuit Assabah. Et de préciser : "Selon des témoins, le gendarme aurait eu des mots avec son beau-père venu leur rendre visite de Beni Mellal. Il aurait sorti son arme lorsque son beau-père l’a menacé de porter plainte contre lui pour les coups et mauvais traitements qu’il infligeait à sa fille".
Annass nous apprendra pour sa part que ce sont "les voisins qui ont découvert les deux corps baignant dans leur sang dans l’appartement du couple, après que le gendarme ait pris la fuite". "Après l’arrivée de la police et de la gendarmerie royale, les dépouilles des deux victimes ont été emmenées au service médicolégal de l’hôpital régional de Lalla Meriem", poursuit le journal.
Larache sous le choc
Ce crime a littéralement secoué la petite ville de Larache, enchaîne Al Ahdath Al Maghribiya. Et d'ajouter que "les collègues du gendarme sont sous le choc. Certains le décrivent comme quelqu’un qui n’aurait jamais pu commettre un tel acte, d’autres tentent de trouver une explication, mais en vain".
Nombre d’entre eux affirment par ailleurs que leur confrère avait passé la journée du samedi à la caserne. Il avait reçu plusieurs coups de fils, a priori de sa femme, qui l’avaient mis mal à l’aise, voire inquiété, lit-on sur le journal. Malgré l’atrocité des faits, il est évident que ce double crime est un acte passionnel et ne semble pas avoir été prémédité par le suspect. Le fait que le meurtrier se soit rendu par lui-même à la police jouera probablement en sa faveur lors du procès.
Mais, ce qui est sûr, c’est que la ville de Larache n'oubliera pas de sitôt le drame qui vient de la secouer.
Source : lareleve.ma