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VIB
La vie tranquille d'une jeune marocaine originaire de Khouribga, s'est soudainement transformée en cauchemar, ou plus exactement en enfer, quand elle a quitté son pays pour aller travailler en Arabie Saoudite comme femme de ménage chez un homme d'affaire saoudien, qui vivait seul avec sa mère.
En fait, selon le journal Assabah, le cauchemar n'a commencé qu'une fois son contrat avait expiré . Au lieu de la laisser retourner au Maroc , l'homme d'affaires en question - dont l'identité n'a pas été révélée - s'est fâché car il n'était pas d'accord, semble-t-il . Il l'enferma chez lui pour disposer d'elle comme une esclave...La pauvre femme de ménage a été séquestrée puis elle a été victime d'abus sexuels, torture physique et psychologique durant 3 mois, avant d'être relâchée, signale le journal .
Le journal ajoute qu'une intermédiaire marocaine et le patron saoudien avaient fait du chantage à la famille de la victime pour la laisser rentrer au Maroc . La famille s'est adressée à l'ambassade d'Arabie Saoudite à Rabat et au Consulat du Maroc à Djeddah mais en vain.
Le journal ne donne pas le fin mot de l'histoire concernant une probable poursuite judiciaire du saoudien ou pas ? Il semblerait que la notion de respect des droits humains n'est pas encore à l'ordre du jour dans cette partie du Golfe arabique.
Source: Art19/Assabah 12/03
En fait, selon le journal Assabah, le cauchemar n'a commencé qu'une fois son contrat avait expiré . Au lieu de la laisser retourner au Maroc , l'homme d'affaires en question - dont l'identité n'a pas été révélée - s'est fâché car il n'était pas d'accord, semble-t-il . Il l'enferma chez lui pour disposer d'elle comme une esclave...La pauvre femme de ménage a été séquestrée puis elle a été victime d'abus sexuels, torture physique et psychologique durant 3 mois, avant d'être relâchée, signale le journal .
Le journal ajoute qu'une intermédiaire marocaine et le patron saoudien avaient fait du chantage à la famille de la victime pour la laisser rentrer au Maroc . La famille s'est adressée à l'ambassade d'Arabie Saoudite à Rabat et au Consulat du Maroc à Djeddah mais en vain.
Le journal ne donne pas le fin mot de l'histoire concernant une probable poursuite judiciaire du saoudien ou pas ? Il semblerait que la notion de respect des droits humains n'est pas encore à l'ordre du jour dans cette partie du Golfe arabique.
Source: Art19/Assabah 12/03