R
Rorschach
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La bladinette qui nous intéresse aujourd’hui, est une employée modèle le jour et une activiste pacifiste la nuit.
Elle glisse sur les toboggans après le travail, juste pour se détendre. Et il n’est pas rare de la croiser à une terrasse avec son Lézard, Martio. Le plus souvent, elle boit du jus de justsu, un fruit japonais à haute teneur en fibres. Mais parfois c’est jus d’eau, ou lait kido accompagnée de Steven, cigale censée la protéger des fourmis durant l’été. A d’autres moments encore, on peut la surprendre à déguster un thé ou un Kara, thé dérivé nippon ni mauvais.
Incorrigible comme Cory, elle répartit souvent en débutant par un « mouais », pour remettre les autres à leur place, car il est bien connu que le « mouais » taille…
Cette défenseuse du bon sens et du sens commun, ne fait pas dans le sensationnel. Armée d’un sac à main lourdement équipé en briques, elle braque les importuns qui par trop d'imprudence se montrent persistants dans les transports en commun : « va dans l’métro sale tenace ! » leur crie t-elle. Elle s’est lancée un défi : exorciser quotidiennement les différentes rames du RER sur toute l'île-de-France. Le pari est capital pour elle…
Finalement lassée du métro, du boulot, du dodo, des écolos et des bobos, exaspérée par les bouchons et les embouteillages parisiens, désireuse de rendre les co-logis aux vrais co-logistes, elle invente un moteur à eau. Pour cela, elle collabore avec la jeune ingénieure Christ, Aline de son prénom, mais surnommée Cristal IN par le célèbre What her magazine.
Allant encore plus loin que l’Incroyable Hulk dans l’innovation en énergies vertes, la bladinette dont il est question envisage un temps de se déplacer à dos d’âne. Mais réalisant assez vite que ce moyen de locomotion est un vrai ralentisseur, elle optera finalement pour le poney. A défaut d’avoir un p’tit vélo dans la tête comme tout bladinaute qui se respecte*, elle a toujours une chanson qui lui reste en mémoire et circule désormais en bicyclette rouge, le poney étant allé se faire voir chez un vendeur de grecs, du côté des Halles. Indépendante sur son vélo, notre héroïne bladienne parcourt les arrondissements à la recherche du bonheur et du bon air. Elle n’hésite pas à remettre les gaspilleurs de Granolas à leur place en leur criant : « Et les biscuits c’est pour les chiens ?!! ».
Un soir de pluie, abritée sous un bonzaï, elle décide d’abandonner la fabrication de moteurs, alors au point mort, pour investir dans l’immobilier. Cette idée de projet lui fût soufflée par un certain Nicolas, nain de jardin présidentiel rencontré sur le forum, avec qui elle avait jadis eu MP…
Elle se rendra donc en Thaïlande pour acquérir la maison de Polhy Pucket (aujourd’hui rebaptisée Béli Lanmère par Laurent Voulzy, depuis sa percée euphomaniac dans le monde de la mode). L’intrépide et mystérieuse bladinette éprise de justice et dont nous cherchons le nom, revendra finalement le bien pour une maison plus spacieuse, celle de Barbie. Barbie qui soit dit en passant, d’origine suédoise a abandonné son nom de naissance (Barbie Türik) pour « Barbie Tzva », depuis sa conversion au Judaïsme.
De retour à Paris pour affaire, notre bladinette est embarquée par erreur et abandonnée à Bizerte sur une place bizarre et déserte, par trois hommes mystérieux qui la confondent avec leur petite sœur. Privée de ses papiers, elle est contrainte de regagner la France de la même manière que @mido94 l'avait fait en son temps.
Lorsqu’elle accoste en Sicile, Sergio Tacchini, un garde-côte italien, lui offre une Lampe et douze « A » en guise de malvenue. Ce à quoi elle répondra « 8 ça suffit ! ». Durant ce bref passage dans les camps de réfugiés, elle sauvera la vie d’une cambodgienne prénommée Mhati, avant de regagner la France. Et l’on peut dire qu’à défaut d’avoir la taille fine, elle avait la taille basse Mhati et selon le New York T’aam, Mhati préparait le riz pour l’ensemble du camp avec l’aide d’Oncle Ben Ali. D’ailleurs, ce dernier est d’après les rumeurs, un justiciable milliardaire qui pour l’amour du risque fût jadis très lié au lait et à la très belle scie.
Mais revenons à notre bladinette : supportrice du Barcha, elle fût le premier disciple de la shalitologie. Contradictrice de charme à la réplique lapidaire, elle ne se déplace jamais sans sa boîte à malice qu’elle porte en dessous de bras. Se faisant remarquer par sa discrétion et son style bref mais légendaire, elle se montre impeccablement implacable en affichant son smiley fétiche qui se veut sarcastique.**
Mais qui est donc cette bladinette ?
* Un p’tit vélo ? Dans la tête de certains c’est carrément Le tour de France !
**Ou sac plastique, je ne sais plus très bien…
Elle glisse sur les toboggans après le travail, juste pour se détendre. Et il n’est pas rare de la croiser à une terrasse avec son Lézard, Martio. Le plus souvent, elle boit du jus de justsu, un fruit japonais à haute teneur en fibres. Mais parfois c’est jus d’eau, ou lait kido accompagnée de Steven, cigale censée la protéger des fourmis durant l’été. A d’autres moments encore, on peut la surprendre à déguster un thé ou un Kara, thé dérivé nippon ni mauvais.
Incorrigible comme Cory, elle répartit souvent en débutant par un « mouais », pour remettre les autres à leur place, car il est bien connu que le « mouais » taille…
Cette défenseuse du bon sens et du sens commun, ne fait pas dans le sensationnel. Armée d’un sac à main lourdement équipé en briques, elle braque les importuns qui par trop d'imprudence se montrent persistants dans les transports en commun : « va dans l’métro sale tenace ! » leur crie t-elle. Elle s’est lancée un défi : exorciser quotidiennement les différentes rames du RER sur toute l'île-de-France. Le pari est capital pour elle…
Finalement lassée du métro, du boulot, du dodo, des écolos et des bobos, exaspérée par les bouchons et les embouteillages parisiens, désireuse de rendre les co-logis aux vrais co-logistes, elle invente un moteur à eau. Pour cela, elle collabore avec la jeune ingénieure Christ, Aline de son prénom, mais surnommée Cristal IN par le célèbre What her magazine.
Allant encore plus loin que l’Incroyable Hulk dans l’innovation en énergies vertes, la bladinette dont il est question envisage un temps de se déplacer à dos d’âne. Mais réalisant assez vite que ce moyen de locomotion est un vrai ralentisseur, elle optera finalement pour le poney. A défaut d’avoir un p’tit vélo dans la tête comme tout bladinaute qui se respecte*, elle a toujours une chanson qui lui reste en mémoire et circule désormais en bicyclette rouge, le poney étant allé se faire voir chez un vendeur de grecs, du côté des Halles. Indépendante sur son vélo, notre héroïne bladienne parcourt les arrondissements à la recherche du bonheur et du bon air. Elle n’hésite pas à remettre les gaspilleurs de Granolas à leur place en leur criant : « Et les biscuits c’est pour les chiens ?!! ».
Un soir de pluie, abritée sous un bonzaï, elle décide d’abandonner la fabrication de moteurs, alors au point mort, pour investir dans l’immobilier. Cette idée de projet lui fût soufflée par un certain Nicolas, nain de jardin présidentiel rencontré sur le forum, avec qui elle avait jadis eu MP…
Elle se rendra donc en Thaïlande pour acquérir la maison de Polhy Pucket (aujourd’hui rebaptisée Béli Lanmère par Laurent Voulzy, depuis sa percée euphomaniac dans le monde de la mode). L’intrépide et mystérieuse bladinette éprise de justice et dont nous cherchons le nom, revendra finalement le bien pour une maison plus spacieuse, celle de Barbie. Barbie qui soit dit en passant, d’origine suédoise a abandonné son nom de naissance (Barbie Türik) pour « Barbie Tzva », depuis sa conversion au Judaïsme.
De retour à Paris pour affaire, notre bladinette est embarquée par erreur et abandonnée à Bizerte sur une place bizarre et déserte, par trois hommes mystérieux qui la confondent avec leur petite sœur. Privée de ses papiers, elle est contrainte de regagner la France de la même manière que @mido94 l'avait fait en son temps.
Lorsqu’elle accoste en Sicile, Sergio Tacchini, un garde-côte italien, lui offre une Lampe et douze « A » en guise de malvenue. Ce à quoi elle répondra « 8 ça suffit ! ». Durant ce bref passage dans les camps de réfugiés, elle sauvera la vie d’une cambodgienne prénommée Mhati, avant de regagner la France. Et l’on peut dire qu’à défaut d’avoir la taille fine, elle avait la taille basse Mhati et selon le New York T’aam, Mhati préparait le riz pour l’ensemble du camp avec l’aide d’Oncle Ben Ali. D’ailleurs, ce dernier est d’après les rumeurs, un justiciable milliardaire qui pour l’amour du risque fût jadis très lié au lait et à la très belle scie.
Mais revenons à notre bladinette : supportrice du Barcha, elle fût le premier disciple de la shalitologie. Contradictrice de charme à la réplique lapidaire, elle ne se déplace jamais sans sa boîte à malice qu’elle porte en dessous de bras. Se faisant remarquer par sa discrétion et son style bref mais légendaire, elle se montre impeccablement implacable en affichant son smiley fétiche qui se veut sarcastique.**
Mais qui est donc cette bladinette ?
* Un p’tit vélo ? Dans la tête de certains c’est carrément Le tour de France !
**Ou sac plastique, je ne sais plus très bien…