L’affaire Saïd Bourarach, du nom de la victime, est une affaire criminelle dans laquelle un vigile d’origine marocaine est mort noyé dans le canal de l’Ourcq à la suite d’une agression commise par cinq personnes de confession juive (secte) le mardi 30 mars 2010.
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Dès le début de leur garde à vue, les prévenus, avaient eu des relations avec la Ligue de défense juive.
Après cinq refus de la Préfecture de Paris le lundi 5 avril 2010, une centaine de personnes ont pu se rassembler à Paris, place de la République, pour rendre hommage à Saïd Bourarach. Les manifestants ont observé une minute de silence avant de scander, « Justice pour Saïd »
Lors du conseil municipal de Bobigny du jeudi 1er avril 2010, le maire de Bobigny, Catherine Peyge, a refusé la tenue d’une minute de silence, à la suite de la demande par la famille, des amis, des employés de Batkor ainsi que des Balbyniens réclamant une minute de silence pour rendre hommage à Saïd Bourarach
Selon Libération les médias ne se seraient intéressés qu’au volet judiciaire de l’affaire sans se pencher sur la personnalité des auteurs présumés, ce qui fait dire à Maître Ahcène Taleb, l’avocat de la famille Bourarach, qu’« une chape de plomb préoccupante et regrettable a été posée sur cette histoire »
Les assassins sont dehors .
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Cette chape va ressortir chaque chose en son temps .
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Dès le début de leur garde à vue, les prévenus, avaient eu des relations avec la Ligue de défense juive.
Après cinq refus de la Préfecture de Paris le lundi 5 avril 2010, une centaine de personnes ont pu se rassembler à Paris, place de la République, pour rendre hommage à Saïd Bourarach. Les manifestants ont observé une minute de silence avant de scander, « Justice pour Saïd »
Lors du conseil municipal de Bobigny du jeudi 1er avril 2010, le maire de Bobigny, Catherine Peyge, a refusé la tenue d’une minute de silence, à la suite de la demande par la famille, des amis, des employés de Batkor ainsi que des Balbyniens réclamant une minute de silence pour rendre hommage à Saïd Bourarach
Selon Libération les médias ne se seraient intéressés qu’au volet judiciaire de l’affaire sans se pencher sur la personnalité des auteurs présumés, ce qui fait dire à Maître Ahcène Taleb, l’avocat de la famille Bourarach, qu’« une chape de plomb préoccupante et regrettable a été posée sur cette histoire »
Les assassins sont dehors .
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Cette chape va ressortir chaque chose en son temps .