Les opérations de forage ont bien commencé

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Que faire avec les revenus du pétrole ?

Même en limitant l’exploitation du pétrole, les revenus générés par cette industrie risquaient de déstabiliser complètement la structure sociale de la Norvège. Pas question, pour ce pays, d’éliminer les impôts et de vivre, au jour le jour, des revenus du gaz naturel et du pétrole. C’eût été s’exposer à la « maladie hollandaise », qui tire son nom de l’effondrement de l’industrie manufacturière aux Pays-Bas causé par la surchauffe économique associée à l’exploitation à grande échelle des gisements de gaz naturel dans la mer du Nord.

Puisque les ressources naturelles appartiennent aux Norvégiens, non pas à un instant donné, mais à travers les âges, on ne pourrait accepter, non plus, qu’une seule génération en bénéficie. La Norvège décida donc qu’elle ne toucherait pas à un sou des bénéfices directs de l’exploitation des hydrocarbures, mais que ceux-ci seraient investis dans des placements à long terme à l’étranger. (...) Pour ce faire, elle créa, en 1990, le Fonds pétrolier de la Norvège, dont le but est de protéger l’économie norvégienne de l’afflux massif de revenus. (...) Aujourd’hui, riche de 2385 milliards de couronnes (400 milliards de dollars), ce fonds d’investissement est le deuxième plus gros au monde. Le gouvernement, qui ne peut toucher au capital investi, retire toutefois les revenus de placement qui se montent, sur une base annuelle, à environ 16 milliards de dollars, soit près de 4000 $ par citoyen, ce qui représente aujourd’hui une fraction importante du budget de l’État.
http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2010/11/15/gaz-petrole-modele-norvegien
 
Aujourd’hui, riche de 2385 milliards de couronnes (400 milliards de dollars), ce fonds d’investissement est le deuxième plus gros au monde. Le gouvernement, qui ne peut toucher au capital investi, retire toutefois les revenus de placement qui se montent, sur une base annuelle, à environ 16 milliards de dollars, soit près de 4000 $ par citoyen, ce qui représente aujourd’hui une fraction importante du budget de l’État.
http://www.sciencepresse.qc.ca/blogue/2010/11/15/gaz-petrole-modele-norvegien
 
avec l'argent du pétrole il faut :

- construire un métro à Casa

- Faire une opération ''Maroc-Propre'' dans tout le Maroc et débarrasser les ordures et les bidonvilles définitiviment

- Employer 100 000 policiers armés qui seraient en binôme en vélo et qui circuleraient dans les villes pour donner des amendes à ceux qui jettent des choses par terre , et interdire la manche dans les rues

- Construire plus de prisons et foutre plus de gens en prison
 
l faut du temps et des analyses

D’après les explications de l’Office, « l’évaluation du potentiel pétrolier d’un bassin nécessite de nombreuses analyses et études progressives, parfois très longues, selon la nature et la complexité géologique du bassin considéré ». En d’autres termes, il faut du temps pour arriver à définir clairement les ressources du Maroc en gaz et en pétrole. De plus, les travaux d’exploration ont recours à des techniques, en perpétuelle évolution. C’est d’ailleurs pour cette raison que le pétrolier Kosmos Energy Ltd a investi dans une plateforme dernière génération pour explorer les zones de Taghazoute, Essaouira et Foum Assaka.

L’Office précise, en outre, que ces types de travaux nécessitent de « très lourds investissements ». Et c’est généralement pour attirer les investisseurs que les sociétés étrangères multiplient les annonces sur le potentiel marocain. « N'ayant généralement pas de cash pour assurer la production, elles ont donc intérêt à faire "monter la sauce" [en communiquant sur des ressources prospectives prometteuses, ndlr] afin de vendre au mieux tout ou partie de leur licence à une compagnie productrice », expliquait en début d’année à ce sujet, Christian Besson, analyste de l'Agence internationale de l'énergie.

A ce jour, selon l'ONHYM, 31 sociétés pétrolières étrangères ont obtenu la licence d’exploration délivrée par l’ONHYM. L’anglaise British Petroleum (BP) est la dernière en date. Arrivée toute aussi optimiste que ses consœurs, la société devrait entamer les activités de forage au cours du premier trimestre 2014.
 
Construire un mur de 40 mètres a la frontière avec l 'Algérie, et rompre toute relation avec ce pays tant que le régime militaire est en place , et après on pensera au métro et au bidonville .
 
vu la multiplication des articles de press et des forages : il y'a de l' espoir

http://www.agenceecofin.com/images/Finance/001_EtudeVSACapital.pdf

Suite aux efforts intenses de promotion de l’ONHYM et à l’arrivée de nombreuses sociétés pétrolières internationales, les travaux d’exploration ont connu un accroissement ces dernières années. Ainsi l’année 2013 connaîtra une augmentation des forages : 11 puits seront forés avant la fin de l’année dont 3 ont déjà démarré, celui de Foum Draa au large d’Agadir, dans le Gharb et incessamment sur Sidi Mokhtar dans le bassin d’Essaouira. source site onhym
 
Dernière édition:
Sismique 4D
La fracturation hydraulique, en remettant au goût du jour des technologies éprouvées comme le forage horizontal et surtout en élevant le niveau d'exigence, à 4.000 mètres sous la terre, bénéficie pour l'heure de moins d'innovations technologiques. Sont néanmoins mis en oeuvre, lorsque le prix du baril ou du gaz le permet, du monitoring sophistiqué pour fracturer et du traitement des eaux usées. Une recherche active est en cours pour substituer des additifs de qualité « alimentaire » aux produits chimiques utilisés pour fracturer. Des systèmes modernes de gestion des puits permettent de limiter le nombre de forages par puits, de façon à préserver le paysage.

Enfin, les pétroliers investissent de plus en plus pour augmenter le taux de récupération de leurs gisements conventionnels. Le porter de 35 % à 50 % est leur dernier défi. A leur service : la sismique 4D pour mieux exploiter et gérer les « réservoirs », le monitoring et la récupération assistée (par injection de gaz, d'additifs ou de vapeur)

http://www.lesechos.fr/entreprises-...gies-pour-aller-toujours-plus-loin-621047.php
 
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