Surnommée Polhy Pocket du fait de sa petite taille, ou Polhy Phucket du fait de sa petite Thaï, cette bladinette est née quelque part en Asie. Elle fît très vite les 400 coups et fût une enfant Polhy mais pas trop. Il n’était pas rare d’entendre ses voisins se plaindre : « Encore cette petite qui Polhysonne aux portes avant de s'enfuir en courant ! »
L'adolescence fût pour elle une période d’éveil politique et de rébellion contre les mauvaises traditions de son pays. Elle mena son premier combat contre les polhytéistes (ceux qui boivent du thé plusieurs fois par jour), avant de s'engager pour la cause polhystinienne. Militante pacifiste convaincue, mais loin de vivre dans le monde de Disney, elle comprit très vite que polhymickey est inutile.
Lorsqu’elle ouvre la bouche pour avaler un sushi, l'on remarque aisément sa polhyglote musclée. En effet, cette bladinette parle couramment le Polhynésien, sa langue préférée depuis la maternelle. Elle a également su développer des compétences linguistiques particulières, grâce à des séjours à l’étranger, comme à PolhyValence en Espagne par exemple, durant lequel elle apprit à faire plusieurs choses à la fois.
Elle parcourt le monde diplo, avant de s'inscrire à Sciences Polhytiques pour finalement réussir le concours d’entrée à Polhytechnique.
Férue de polhystoire, elle décide alors de partir pour le monde perdu (Maghreb). Là-bas, elle travaille durant deux ans sur un site de fouilles archéologiques, à la recherche de silex et des restes de Pierre Polhy (alias Pierre Rabhi), un ancêtre éloigné.
Fidèle à sa devise "L'eau c'est trop bon", elle partira pour l'Amérique du sud en mission d'ingénierie Polhydraulique. Elle y restera plusieurs années et finira par instaurer une dictature polhycratique aux lois calquées sur les règles du Trivial Pursuit, et à l'économie fortement influencée par celles du Monopolhy.
Lassés de boire de l'eau à la fraise et de l'IceTea au citron, les habitants finiront par la remercier polhiement.
Elle trouvera alors refuge dans la jungle, y apportant malgré elle le polhydisme.
Les analyses révèleront plus tard, que la maladie était transmise par un moustique rapporté du sud de la France: Le Kashymo.
Pour tenter de guérir de la culpabilité qui la ronge, elle retourne chez elle, en Asie, afin de se lancer dans la haute couture. Elle invente alors de nouveaux tissus, notamment grâce à la collaboration de l'actrice américaine PolhyEster Williams.
Confortée par un succès grandissant, elle s'associe avec son oncle polhyHamid imam de Jakarta, pour ouvrir sa propre fabrique de K-way et de K-miss fashion.
Célèbre pour ses modèles mondialement reconnus, elle demeure à ce jour la seule créatrice de mode à connaître le secret de fabrication de la flanelle de Chine, appelée aussi « Polhychinel »
Les producteurs de Polhywood se disputent actuellement les droits de l’histoire de cette objectrice de conscience, prospectrice de bon sens et consommatrice de petits suisses.
Mais qui est donc cette bladinette ?
L'adolescence fût pour elle une période d’éveil politique et de rébellion contre les mauvaises traditions de son pays. Elle mena son premier combat contre les polhytéistes (ceux qui boivent du thé plusieurs fois par jour), avant de s'engager pour la cause polhystinienne. Militante pacifiste convaincue, mais loin de vivre dans le monde de Disney, elle comprit très vite que polhymickey est inutile.
Lorsqu’elle ouvre la bouche pour avaler un sushi, l'on remarque aisément sa polhyglote musclée. En effet, cette bladinette parle couramment le Polhynésien, sa langue préférée depuis la maternelle. Elle a également su développer des compétences linguistiques particulières, grâce à des séjours à l’étranger, comme à PolhyValence en Espagne par exemple, durant lequel elle apprit à faire plusieurs choses à la fois.
Elle parcourt le monde diplo, avant de s'inscrire à Sciences Polhytiques pour finalement réussir le concours d’entrée à Polhytechnique.
Férue de polhystoire, elle décide alors de partir pour le monde perdu (Maghreb). Là-bas, elle travaille durant deux ans sur un site de fouilles archéologiques, à la recherche de silex et des restes de Pierre Polhy (alias Pierre Rabhi), un ancêtre éloigné.
Fidèle à sa devise "L'eau c'est trop bon", elle partira pour l'Amérique du sud en mission d'ingénierie Polhydraulique. Elle y restera plusieurs années et finira par instaurer une dictature polhycratique aux lois calquées sur les règles du Trivial Pursuit, et à l'économie fortement influencée par celles du Monopolhy.
Lassés de boire de l'eau à la fraise et de l'IceTea au citron, les habitants finiront par la remercier polhiement.
Elle trouvera alors refuge dans la jungle, y apportant malgré elle le polhydisme.
Les analyses révèleront plus tard, que la maladie était transmise par un moustique rapporté du sud de la France: Le Kashymo.
Pour tenter de guérir de la culpabilité qui la ronge, elle retourne chez elle, en Asie, afin de se lancer dans la haute couture. Elle invente alors de nouveaux tissus, notamment grâce à la collaboration de l'actrice américaine PolhyEster Williams.
Confortée par un succès grandissant, elle s'associe avec son oncle polhyHamid imam de Jakarta, pour ouvrir sa propre fabrique de K-way et de K-miss fashion.
Célèbre pour ses modèles mondialement reconnus, elle demeure à ce jour la seule créatrice de mode à connaître le secret de fabrication de la flanelle de Chine, appelée aussi « Polhychinel »
Les producteurs de Polhywood se disputent actuellement les droits de l’histoire de cette objectrice de conscience, prospectrice de bon sens et consommatrice de petits suisses.
Mais qui est donc cette bladinette ?
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