Originaire d’un tout petit état maghrébin, la famille de cette bladinette s'installe en France dans les années 80 parce qu'il y avait de la tune ici...
La bladinette dont il est question, apprit à parler à la maternité de l'hôpital psychiatrique où elle naquit. Son premier mot fût: « 5 et jeudi». Depuis ce jour, elle ne s'arrêtera de parler que pour manger des sandwichs.
Elle grandit en IDF, quelque part dans une ZEP de la banlieue SUD, supportant le PSG et écoutant du RAP...NTM, IAM, NAP, le plus souvent à fond dans le RER.
En CE1, après avoir vu Michael Jackson, Stevie Wonder et les autres, cette mini bladinette s'engage dans l'humanitaire. Elle envoie des sandwichs à la sauce piquante par collisimo en Somalie. Une fois adulte elle créera la banque shalimentaire.
Son grand coeur lui vaudra le surnom de Shali N'Gals. Surnom attribué par Youssou N'Dour lors d'un concert de soutien à la Corne de l’Afrique.
A 10 ans, elle casse sa tirelire mouton pour acheter un poney, qu'elle gare chaque soir en bas de sa tour. Préférant brûler les planches plutôt que les voitures, la petite banlieusarde affiche jupe plissée, chaussures vernies, barrettes de cannabis dans les cheveux, et fréquente les meilleures écoles avec option théâtre du XVIe arrondissement.
Son professeur d'art comique le grand dramaturge indien Lashnu Lagrapp, lui diagnostique alors une Debbouzite aïgue et lui assignera un nouveau surnom, celui de Shali Shaplin.
Plus tard, elle se battra sans relâche, tenant son Cap Bon contre samouraï et Sauceblanche, pour finalement triompher dans le plus grand combat de sa vie: la transformation du RMI en Héréssa !
Une victoire pour tous les kébabs de France, de Navarre et de Tunisie.
Devenue assez grande comme ça (près d'1m75), elle développe alors d'étranges facultés pour la communication, et décide de cultiver son don en partant pour la Chine. Là-bas, elle devient moine Shalin.
De retour en France, elle convertira de nombreux adeptes à la shalitologie. Beaucoup d'entre eux mourront de rire, avant que la mouvance ne soit définitivement interdite, car considérée comme une secte épuisante.
Hyper politisée comme son amie Polhymnie, qu'elle rencontre lors d'un meeting fashion sur la camisole de force en polhaire, elle se lance à grand corps perdu dans la lutte contre les Extrêmes...de Nestlé, leur préférant la Ben&Jerry et la Haagen Dazs.
La bladinette dont il est question, apprit à parler à la maternité de l'hôpital psychiatrique où elle naquit. Son premier mot fût: « 5 et jeudi». Depuis ce jour, elle ne s'arrêtera de parler que pour manger des sandwichs.
Elle grandit en IDF, quelque part dans une ZEP de la banlieue SUD, supportant le PSG et écoutant du RAP...NTM, IAM, NAP, le plus souvent à fond dans le RER.
En CE1, après avoir vu Michael Jackson, Stevie Wonder et les autres, cette mini bladinette s'engage dans l'humanitaire. Elle envoie des sandwichs à la sauce piquante par collisimo en Somalie. Une fois adulte elle créera la banque shalimentaire.
Son grand coeur lui vaudra le surnom de Shali N'Gals. Surnom attribué par Youssou N'Dour lors d'un concert de soutien à la Corne de l’Afrique.
A 10 ans, elle casse sa tirelire mouton pour acheter un poney, qu'elle gare chaque soir en bas de sa tour. Préférant brûler les planches plutôt que les voitures, la petite banlieusarde affiche jupe plissée, chaussures vernies, barrettes de cannabis dans les cheveux, et fréquente les meilleures écoles avec option théâtre du XVIe arrondissement.
Son professeur d'art comique le grand dramaturge indien Lashnu Lagrapp, lui diagnostique alors une Debbouzite aïgue et lui assignera un nouveau surnom, celui de Shali Shaplin.
Plus tard, elle se battra sans relâche, tenant son Cap Bon contre samouraï et Sauceblanche, pour finalement triompher dans le plus grand combat de sa vie: la transformation du RMI en Héréssa !
Une victoire pour tous les kébabs de France, de Navarre et de Tunisie.
Devenue assez grande comme ça (près d'1m75), elle développe alors d'étranges facultés pour la communication, et décide de cultiver son don en partant pour la Chine. Là-bas, elle devient moine Shalin.
De retour en France, elle convertira de nombreux adeptes à la shalitologie. Beaucoup d'entre eux mourront de rire, avant que la mouvance ne soit définitivement interdite, car considérée comme une secte épuisante.
Hyper politisée comme son amie Polhymnie, qu'elle rencontre lors d'un meeting fashion sur la camisole de force en polhaire, elle se lance à grand corps perdu dans la lutte contre les Extrêmes...de Nestlé, leur préférant la Ben&Jerry et la Haagen Dazs.
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