Kiosque360. La petite localité de Bir Jdid, dans la région de Abda-Doukkala, est secouée par un crime sordide. Un individu a violé sa nièce d'à peine plus de deux ans, causant sa mort.
La barbarie n'a parfois pas de nom. Inqualifiable est le crime qui vient de se dérouler à Bir Jdid, une municipalité de la région de Abda-Doukkala, où une fillette a succombé à un viol. Pour les détails, il faut se référer à l'édition de ce lundi 13 octobre du quotidien Assabah. Selon le journal, tout a commencé quand une maman et sa fillette, âgée d'à peine deux ans et demi, sont parties d'Azemmour pour rendre visite à leur mère et grand-mère à Bir Jdid. Le lendemain de leur arrivée, la jeune maman est allée voir si sa petite était réveillée pour lui donner sont petit-déjeuner. Quelle ne fut sa stupeur de la retrouver sans vie.
Folle de douleur, la jeune femme courait alerter la grand-mère qui dormait encore dans une chambre voisine quand elle a été interceptée par son propre frère qui lui a barré le chemin avant de lui lancer au visage la terrible vérité: il lui a avoué avoir violé sa fille pour venger l'honneur de la famille, la jeune victime étant le fruit d'une relation hors mariage. Et ce avant de se volatiliser dans la nature, tandis que la jeune maman se rendait au commissariat de police de Bir Jdid. Aux enquêteurs, qui l'ont écoutée avec écoeurement et consternation, elle a raconté les détails de l'échange qu'elle avait eu, quelques heures auparavant, avant avec son frère, son bourreau et le bourreau de sa fillette.
Selon Assabah, les éléments de la police judiciaire se sont déplacés sur les lieux du crime où ils ont découvert le corps sans vie de la fillette violée qui avait succombé à une grave déchirure de ses parties génitales. Le code de procédure pénale sanctionne le viol par des peines allant de cinq à dix ans de prison ferme. Quand la victime est mineure, cette peine peut atteindre, selon l'énoncé de l'article 465, dix à vingt ans de réclusion. Mais quelle que soit la peine appliquée, surtout dans le cas d'un viol doublé d'un meurtre, rien ne saurait consoler une famille éplorée.
Le360.ma
La barbarie n'a parfois pas de nom. Inqualifiable est le crime qui vient de se dérouler à Bir Jdid, une municipalité de la région de Abda-Doukkala, où une fillette a succombé à un viol. Pour les détails, il faut se référer à l'édition de ce lundi 13 octobre du quotidien Assabah. Selon le journal, tout a commencé quand une maman et sa fillette, âgée d'à peine deux ans et demi, sont parties d'Azemmour pour rendre visite à leur mère et grand-mère à Bir Jdid. Le lendemain de leur arrivée, la jeune maman est allée voir si sa petite était réveillée pour lui donner sont petit-déjeuner. Quelle ne fut sa stupeur de la retrouver sans vie.
Folle de douleur, la jeune femme courait alerter la grand-mère qui dormait encore dans une chambre voisine quand elle a été interceptée par son propre frère qui lui a barré le chemin avant de lui lancer au visage la terrible vérité: il lui a avoué avoir violé sa fille pour venger l'honneur de la famille, la jeune victime étant le fruit d'une relation hors mariage. Et ce avant de se volatiliser dans la nature, tandis que la jeune maman se rendait au commissariat de police de Bir Jdid. Aux enquêteurs, qui l'ont écoutée avec écoeurement et consternation, elle a raconté les détails de l'échange qu'elle avait eu, quelques heures auparavant, avant avec son frère, son bourreau et le bourreau de sa fillette.
Selon Assabah, les éléments de la police judiciaire se sont déplacés sur les lieux du crime où ils ont découvert le corps sans vie de la fillette violée qui avait succombé à une grave déchirure de ses parties génitales. Le code de procédure pénale sanctionne le viol par des peines allant de cinq à dix ans de prison ferme. Quand la victime est mineure, cette peine peut atteindre, selon l'énoncé de l'article 465, dix à vingt ans de réclusion. Mais quelle que soit la peine appliquée, surtout dans le cas d'un viol doublé d'un meurtre, rien ne saurait consoler une famille éplorée.
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