Un texte réglementaire a été édicté avec la bénédiction de Bruxelles qui ne trouve rien à redire quant à l’interdiction de la liberté d’expression du citoyen, à l’interdiction des droits démocratiques, à l’interdiction de l’activité politique....
Les citoyens auront interdiction de parler en faveur de leur candidat, auront interdiction de lui faire de la «publicité» par quelques moyens que ce soit : matériel écrit, en ligne, audio ou vidéo, sous peine d’une amende de 3000 à 15 000 euros , à titre de comparaison, en France, proportionnellement, l’amende serait de 15 000 à 75 000 euros.
Les seuls contacts autorisés entre le candidat et la population seraient les télévisions et les radios officielles, ce qui revient à dire que seuls les candidats adoubés par l’Union européenne auraient le droit de s’exprimer.
Si un tel système est appliqué en France, les petits candidats n’auraient plus aucune visibilité, ce qui est le but poursuivi.
Les distributions de tracts sur les lieux publics seraient interdites, les meetings et les réunions publiques seraient des infractions pénales, y compris les candidats n’auraient plus le droit de s’exprimer sur leurs chaînes internet d’informations.
Ce qui revient à l’interdiction pure et simple des petits candidats, puisque seules seraient autorisées les expressions organisées dans le cadre réglementaire par les grandes chaînes d’informations et, comme on le sait, on ne peut vraiment pas dire que l’égalité du temps de parole soit respectée sur les grandes chaînes d’info, mais cette ignominie va encore plus loin : ce qu’on appelle les discussions de bistrot seraient sous le coup de la loi dès lors que l’on parlerait des élections autrement qu’en termes généraux.
Il en va de même pour les forums de discussion ou pour les commentaires qui tombent directement sous le coup de la loi.
La loi qui sera expérimentée en Roumanie détruira la liberté d’expression, le droit de manifester, la liberté de râler, la liberté de dire ce qu’on pense, Macron en rêvait, l’Union européenne va l’expérimenter, adieu gilets jaunes et manifs retraite.
Et ce n’est pas de la propagande prorusse, c’est ce que l’Union européenne va expérimenter en Roumanie, c’est un test en grandeur nature qui pourrait être généralisé à l’ensemble des pays de l’Union européenne.
Ils justifient les attaques contre la démocratie en expliquant qu’ils veulent protéger son processus électoral.
On interdit la démocratie pour protéger la démocratie. Orwell ne l’avait pas vu venir, celle-là : c’est la marche en avant de la dictature européenne.
Les citoyens auront interdiction de parler en faveur de leur candidat, auront interdiction de lui faire de la «publicité» par quelques moyens que ce soit : matériel écrit, en ligne, audio ou vidéo, sous peine d’une amende de 3000 à 15 000 euros , à titre de comparaison, en France, proportionnellement, l’amende serait de 15 000 à 75 000 euros.
Les seuls contacts autorisés entre le candidat et la population seraient les télévisions et les radios officielles, ce qui revient à dire que seuls les candidats adoubés par l’Union européenne auraient le droit de s’exprimer.
Si un tel système est appliqué en France, les petits candidats n’auraient plus aucune visibilité, ce qui est le but poursuivi.
Les distributions de tracts sur les lieux publics seraient interdites, les meetings et les réunions publiques seraient des infractions pénales, y compris les candidats n’auraient plus le droit de s’exprimer sur leurs chaînes internet d’informations.
Ce qui revient à l’interdiction pure et simple des petits candidats, puisque seules seraient autorisées les expressions organisées dans le cadre réglementaire par les grandes chaînes d’informations et, comme on le sait, on ne peut vraiment pas dire que l’égalité du temps de parole soit respectée sur les grandes chaînes d’info, mais cette ignominie va encore plus loin : ce qu’on appelle les discussions de bistrot seraient sous le coup de la loi dès lors que l’on parlerait des élections autrement qu’en termes généraux.
Il en va de même pour les forums de discussion ou pour les commentaires qui tombent directement sous le coup de la loi.
La loi qui sera expérimentée en Roumanie détruira la liberté d’expression, le droit de manifester, la liberté de râler, la liberté de dire ce qu’on pense, Macron en rêvait, l’Union européenne va l’expérimenter, adieu gilets jaunes et manifs retraite.
Et ce n’est pas de la propagande prorusse, c’est ce que l’Union européenne va expérimenter en Roumanie, c’est un test en grandeur nature qui pourrait être généralisé à l’ensemble des pays de l’Union européenne.
Ils justifient les attaques contre la démocratie en expliquant qu’ils veulent protéger son processus électoral.
On interdit la démocratie pour protéger la démocratie. Orwell ne l’avait pas vu venir, celle-là : c’est la marche en avant de la dictature européenne.