Tandis qu’à l’été 1982, Assad avait à peu près perdu toute influence sur le Liban, la situation va se retourner au cours de l’année 1983.
L’année 1983 a vu un rapprochement stratégique entre la Syrie et l’Iran, deux pays qui partageaient des intérêts communs dans la région, notamment leur opposition à Israël et leur volonté de contrer l’influence occidentale. Cette alliance entre Damas et Téhéran a jeté les bases de ce qui sera plus tard connu sous le nom d’«axe de la résistance», un réseau d’acteurs étatiques et non étatiques (comme le Hezbollah) unis par leur opposition à Israël et aux États-Unis. Ce rapprochement a permis à la Syrie de regagner une influence significative au Liban, notamment grâce au soutien iranien à des groupes comme le Hezbollah, qui est devenu un acteur clé dans la politique libanaise et régionale. Ainsi, en 1983, Assad a commencé à reconstruire son emprise sur le Liban, en s’appuyant sur cette nouvelle dynamique régionale.
L’année 1983 a vu un rapprochement stratégique entre la Syrie et l’Iran, deux pays qui partageaient des intérêts communs dans la région, notamment leur opposition à Israël et leur volonté de contrer l’influence occidentale. Cette alliance entre Damas et Téhéran a jeté les bases de ce qui sera plus tard connu sous le nom d’«axe de la résistance», un réseau d’acteurs étatiques et non étatiques (comme le Hezbollah) unis par leur opposition à Israël et aux États-Unis. Ce rapprochement a permis à la Syrie de regagner une influence significative au Liban, notamment grâce au soutien iranien à des groupes comme le Hezbollah, qui est devenu un acteur clé dans la politique libanaise et régionale. Ainsi, en 1983, Assad a commencé à reconstruire son emprise sur le Liban, en s’appuyant sur cette nouvelle dynamique régionale.