Il faut dire que c’est un projet qui est concocté depuis un moment déjà par 2M.
Il s’agissait d’initier, à terme, une expérience pilote et créer un effet d’entraînement positif auprès d’autres médias.
«La persistance de stéréotypes féminins négatifs dans les médias constitue un frein à l’estime de soi et à la promotion de la place légitime de la femme dans la société marocaine», a déclaré Salim Cheikh, directeur général de 2M. Et d’ajouter que «2M, de par son rôle historique de chaîne citoyenne et son statut de média grand public, a un rôle pionnier à jouer dans le domaine de la promotion de la parité. C’est un travail de longue haleine qui nécessite l’implication de tous». La charte s’articule autour de 4 axes principaux : Tout d’abord, la mise en valeur du rôle de la femme en tant qu’acteur économique, social et politique.
Ensuite, la lutte contre les stéréotypes féminins négatifs et la sensibilisation des acteurs médiatiques internes et externes. Enfin, l’adaptation de la ligne éditoriale doublée d’un monitoring efficace et une coopération accrue avec les acteurs externes. Signalons qu’une récente étude menée par LMS sur les attentes des femmes concernant leur image dans les médias, la présence des femmes en tant qu’expertes intervenant dans les émissions de débats et les journaux télévisés est encore très faible (10%).
La même étude soutient que les stéréotypes diffusés dans certains types de programmes, notamment la fiction et la publicité, continuent à entretenir l’image de femme soumise, réduite aux tâches ménagères, traditionnelle, peu instruite, victime voire parfois écervelée.
Il s’agissait d’initier, à terme, une expérience pilote et créer un effet d’entraînement positif auprès d’autres médias.
«La persistance de stéréotypes féminins négatifs dans les médias constitue un frein à l’estime de soi et à la promotion de la place légitime de la femme dans la société marocaine», a déclaré Salim Cheikh, directeur général de 2M. Et d’ajouter que «2M, de par son rôle historique de chaîne citoyenne et son statut de média grand public, a un rôle pionnier à jouer dans le domaine de la promotion de la parité. C’est un travail de longue haleine qui nécessite l’implication de tous». La charte s’articule autour de 4 axes principaux : Tout d’abord, la mise en valeur du rôle de la femme en tant qu’acteur économique, social et politique.
Ensuite, la lutte contre les stéréotypes féminins négatifs et la sensibilisation des acteurs médiatiques internes et externes. Enfin, l’adaptation de la ligne éditoriale doublée d’un monitoring efficace et une coopération accrue avec les acteurs externes. Signalons qu’une récente étude menée par LMS sur les attentes des femmes concernant leur image dans les médias, la présence des femmes en tant qu’expertes intervenant dans les émissions de débats et les journaux télévisés est encore très faible (10%).
La même étude soutient que les stéréotypes diffusés dans certains types de programmes, notamment la fiction et la publicité, continuent à entretenir l’image de femme soumise, réduite aux tâches ménagères, traditionnelle, peu instruite, victime voire parfois écervelée.