35 journalistes palestinien.ne.s assassiné.e.s par Israël en 1 mois de bombardements sur Gaza

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
Selon un rapport du 12 novembre du Comité pour la Défense des Journalistes (CPJ), 35 journalistes palestinien.ne.s ont été assassiné.e.s par lsraël et ses bombardements intensifs et continus de la bande depuis le 7 octobre.

Par l’Agence Média Palestine, le 7 novembre 2023, mis à jour le 13 novembre 2023


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Des journalistes portent des cercueils factices de journalistes palestinien.ne.s tué.e.s pendant la guerre Israël-Gaza lors d’une procession vers un bureau des Nations Unies en Cisjordanie, le 7 novembre. (Photo : AP/Nasser Nasser)
Alors que Gaza se réveille ce matin avec un bilan estimant à 11 078 – dont 4 609 enfants – le nombre de Palestinien.ne.s tué.e.s par Israël après 1 mois de bombardements israéliens intensifs et ciblés de la bande de Gaza, le bilan est lui aussi catastrophique pour les journalistes palestinien.ne.s documentant la situation sur la place.

Depuis le 7 octobre, 35 journalistes palestinien.ne.s ont été tué.e.s par Israël. Ils.elles subissent un ciblage criant et sans relâche de la part d’Israël, alors que l’exercice de leur métier est déjà rendu quasi impossible à Gaza compte tenu des coupures incessantes en accès à l’électricité, à internet et aux télécommunications.

Black-out médiatique​



Comme le signale le Syndicat des Journalistes Palestinien.ne.s (SJP) dans cette lettre du 3 novembre, « les forces d’occupation israéliennes profitent de l’impunité et commettent des crimes cruels contre les journalistes sans avoir à répondre de leurs actes ». En effet, plusieurs instances – dont le SJP – ont déjà porté plainte auprès de la Cour Pénale Internationale concernant le ciblage et les crimes commis contre les journalistes palestinien.ne.s. Reporters Sans Frontières (RSF), porte aujourd’hui sa 3ème plainte auprès du procureur de la CPI pour « crimes de guerre sur les journalistes palestinien.ne.s à Gaza ».

“L’ampleur, la gravité et la récurrence des crimes internationaux visant les journalistes en particulier à Gaza appellent une enquête prioritaire du procureur de la CPI. Nous l’y appelons depuis 2018. Les événements tragiques en cours démontrent l’extrême urgence de sa mobilisation. »

Christophe Deloire, Secrétaire général de RSF

Les assassinats ciblés d’Israël des journalistes palestinien.ne.s depuis le 7 octobre s’inscrivent dans un contexte plus global d’une volonté des dirigeant.e.s israélien.ne.s d’enclaver un maximum Gaza et les informations qui en ressortent, de couper les gazaoui.e.s du monde. L’assassinat le 11 mai 2022 de la journaliste palestino-américaine Shireen Abu Akleh dans l’exercice de son travail, par les forces d’occupation israéliennes, fait partie – entre autres – d’un des événements ayant mis particulièrement en lumière cette volonté israélienne de silencier les voix palestiniennes.

Toujours selon RSF, ce mois d’octobre est le mois le plus violent pour les reporters à l’échelle mondiale depuis l’année 2000. Selon Christophe Deloire, « L’État d’Israël devra assumer devant l’Histoire la responsabilité de la mort de journalistes à une échelle inconnue au XXIe siècle.«

Les journalistes palestinien.ne.s pris.es pour cible...........

 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
L'occupation ferme les bureaux de la chaîne Al-Mayadeen en Palestine.

Dans le cadre de sa guerre contre les médias, des chaînes et des institutions prises pour cible


chaine Al-Mayadeen

Le cabinet politique et sécuritaire de l'occupation sioniste a approuvé la fermeture du réseau médiatique Al-Mayadeen en Palestine occupée, prétendant qu'il compromet la sécurité d'Israël.

Le ministre de la Défense et le ministre des Communications ont évoqué des "règlements d'urgence" pour ordonner la fermeture des bureaux, la saisie de l'équipement de diffusion et l'interdiction des infrastructures de communication.

Cette mesure s'inscrit dans une série d'attaques contre les médias, tandis que les forces d'occupation continuent leur offensive dévastatrice à Gaza, ciblant les journalistes et les institutions médiatiques, tuant 49 journalistes à Gaza, détruisant des dizaines d'institutions médiatiques et perturbant de nombreux sites d'information. De plus, au moins 20 journalistes ont été arrêtés en Cisjordanie. Cette décision s'inscrit dans les tentatives de l'occupation de dissimuler les crimes de guerre génocidaires commis à Gaza et en Cisjordanie.

 
Selon un rapport du 12 novembre du Comité pour la Défense des Journalistes (CPJ), 35 journalistes palestinien.ne.s ont été assassiné.e.s par lsraël et ses bombardements intensifs et continus de la bande depuis le 7 octobre.

Par l’Agence Média Palestine, le 7 novembre 2023, mis à jour le 13 novembre 2023


Capture-decran-2023-11-08-a-15.08.51-1024x656.png
Des journalistes portent des cercueils factices de journalistes palestinien.ne.s tué.e.s pendant la guerre Israël-Gaza lors d’une procession vers un bureau des Nations Unies en Cisjordanie, le 7 novembre. (Photo : AP/Nasser Nasser)
Alors que Gaza se réveille ce matin avec un bilan estimant à 11 078 – dont 4 609 enfants – le nombre de Palestinien.ne.s tué.e.s par Israël après 1 mois de bombardements israéliens intensifs et ciblés de la bande de Gaza, le bilan est lui aussi catastrophique pour les journalistes palestinien.ne.s documentant la situation sur la place.

Depuis le 7 octobre, 35 journalistes palestinien.ne.s ont été tué.e.s par Israël. Ils.elles subissent un ciblage criant et sans relâche de la part d’Israël, alors que l’exercice de leur métier est déjà rendu quasi impossible à Gaza compte tenu des coupures incessantes en accès à l’électricité, à internet et aux télécommunications.

Black-out médiatique​



Comme le signale le Syndicat des Journalistes Palestinien.ne.s (SJP) dans cette lettre du 3 novembre, « les forces d’occupation israéliennes profitent de l’impunité et commettent des crimes cruels contre les journalistes sans avoir à répondre de leurs actes ». En effet, plusieurs instances – dont le SJP – ont déjà porté plainte auprès de la Cour Pénale Internationale concernant le ciblage et les crimes commis contre les journalistes palestinien.ne.s. Reporters Sans Frontières (RSF), porte aujourd’hui sa 3ème plainte auprès du procureur de la CPI pour « crimes de guerre sur les journalistes palestinien.ne.s à Gaza ».

“L’ampleur, la gravité et la récurrence des crimes internationaux visant les journalistes en particulier à Gaza appellent une enquête prioritaire du procureur de la CPI. Nous l’y appelons depuis 2018. Les événements tragiques en cours démontrent l’extrême urgence de sa mobilisation. »

Christophe Deloire, Secrétaire général de RSF

Les assassinats ciblés d’Israël des journalistes palestinien.ne.s depuis le 7 octobre s’inscrivent dans un contexte plus global d’une volonté des dirigeant.e.s israélien.ne.s d’enclaver un maximum Gaza et les informations qui en ressortent, de couper les gazaoui.e.s du monde. L’assassinat le 11 mai 2022 de la journaliste palestino-américaine Shireen Abu Akleh dans l’exercice de son travail, par les forces d’occupation israéliennes, fait partie – entre autres – d’un des événements ayant mis particulièrement en lumière cette volonté israélienne de silencier les voix palestiniennes.

Toujours selon RSF, ce mois d’octobre est le mois le plus violent pour les reporters à l’échelle mondiale depuis l’année 2000. Selon Christophe Deloire, « L’État d’Israël devra assumer devant l’Histoire la responsabilité de la mort de journalistes à une échelle inconnue au XXIe siècle.«

Les journalistes palestinien.ne.s pris.es pour cible...........


Où sont les associations de journalistes qui dressent la liste des pays empêchant des journalistes de travailler ou les envoyant en prison ?
A Gaza on les tuent. Et silence.

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🇺🇳Les drapeaux de l'ONU ont été mis en berne à la mémoire des 101 membres du personnel de l'ONU tués à Gaza depuis le 7 octobre.

❗️Les Nations Unies ne peuvent même pas nommer leur tueur : Israël.
 

Pièces jointes

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La Nazie Ursula von der Leyen souhaite introduire une identité numérique européenne afin que les personnes qui publient - ce qu'elles qualifient d'informations manquantes ou de discours de haine - puissent être déformées et arrêtées…
 

Pièces jointes

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