Les estimations du gouvernement, selon lesquelles la période de régularisation concernerait entre 50.000 et 80.000 personnes, sont "ridiculement basses"
BRUXELLES En fait, cette procédure toucherait 350.000 personnes, affirme un fonctionnaire de haut niveau de l'Office des étrangers jeudi dans Het Laatste Nieuws. "Ce dont personne ne semble se rendre compte, c'est que derrière la plupart des dossiers se cachent plus d'une personne. Et qu'après la régularisation, cela provoquera l'immigration d'autres membres de la famille", explique le fonctionnaire. Et d'ajouter que l'expérience montre qu'"au moins une personne sur trois finira avec un revenu d'intégration sociale ou une allocation".
Jean-Marie Dedecker (LDD) voudrait désormais lancer au parlement flamand une procédure en conflit d'intérêts contre le gouvernement fédéral. "Les CPAS flamands ne doivent pas faire les frais pour tous les personnes relevant du revenu d'intégration sociale qui, sous la pression du PS et du cdH, arrivent ici".
BRUXELLES En fait, cette procédure toucherait 350.000 personnes, affirme un fonctionnaire de haut niveau de l'Office des étrangers jeudi dans Het Laatste Nieuws. "Ce dont personne ne semble se rendre compte, c'est que derrière la plupart des dossiers se cachent plus d'une personne. Et qu'après la régularisation, cela provoquera l'immigration d'autres membres de la famille", explique le fonctionnaire. Et d'ajouter que l'expérience montre qu'"au moins une personne sur trois finira avec un revenu d'intégration sociale ou une allocation".
Jean-Marie Dedecker (LDD) voudrait désormais lancer au parlement flamand une procédure en conflit d'intérêts contre le gouvernement fédéral. "Les CPAS flamands ne doivent pas faire les frais pour tous les personnes relevant du revenu d'intégration sociale qui, sous la pression du PS et du cdH, arrivent ici".