tizniti
Soyons sérieux .
L'affaire des militaires algériens et miliciens du Polisario arrêtés en Syrie a suscité une attention considérable dans les médias internationaux. Voici un résumé détaillé des informations rapportées :
Le contexte de l'arrestation :
Le nouveau régime syrien, dirigé par le président Ahmed Al-Sharaa, a capturé environ 500 soldats algériens et miliciens du Polisario qui combattaient aux côtés des forces de Bachar Al-Assad[1]. Ces combattants ont été arrêtés lors de la chute du régime d'Assad, notamment dans la région d'Alep[1][2].
Détails sur les combattants capturés :
- Dans le sud de la Syrie, notamment à l'aéroport militaire de Thaala et au bataillon de défense aérienne de Sweida[2].
- Dans les zones rurales de Daraa, où ils recevaient une formation depuis trois ans[2].
Implication de l'Iran et de l'Algérie :
L'affaire a mis en lumière les liens entre le Polisario, l'Algérie et l'Iran :
Réactions diplomatiques :
Conséquences et implications :
Traitement des prisonniers de ces prisonniers :
Le président syrien Al-Sharaa a déclaré que tous les détenus, qu'ils soient de l'armée algérienne ou du Polisario, seront traités conformément aux normes internationales régissant le traitement des prisonniers de guerre[1]. Ils seront jugés comme les soldats du régime d'Assad[1].
Le contexte de l'arrestation :
Le nouveau régime syrien, dirigé par le président Ahmed Al-Sharaa, a capturé environ 500 soldats algériens et miliciens du Polisario qui combattaient aux côtés des forces de Bachar Al-Assad[1]. Ces combattants ont été arrêtés lors de la chute du régime d'Assad, notamment dans la région d'Alep[1][2].
Détails sur les combattants capturés :
- Environ 500 soldats algériens et miliciens du Polisario ont été arrêtés[1].
- Parmi eux se trouve un haut responsable militaire ayant le grade de général[1].
- Ces combattants étaient présents dans différentes régions de Syrie :
- Dans le sud de la Syrie, notamment à l'aéroport militaire de Thaala et au bataillon de défense aérienne de Sweida[2].
- Dans les zones rurales de Daraa, où ils recevaient une formation depuis trois ans[2].
Implication de l'Iran et de l'Algérie :
L'affaire a mis en lumière les liens entre le Polisario, l'Algérie et l'Iran :
- Les combattants auraient été envoyés en Syrie par l'Algérie avec le soutien de l'Iran[2][4].
- Ils auraient reçu une formation militaire sous la supervision d'experts iraniens, notamment un conseiller militaire nommé Borhashmi[2][4].
- L'Iran aurait fourni des armes et une formation au Polisario, y compris des drones, des missiles sol-air et des obus de mortier HM-16[3].
Réactions diplomatiques :
- Le ministre algérien des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, a demandé la libération des détenus lors d'une visite en Syrie[1].
- Le président syrien Ahmed Al-Sharaa a catégoriquement rejeté cette demande[1].
- L'Algérie a tenté de minimiser l'incident, affirmant que les détenus faisaient partie des 500 Algériens résidant à Alep[2][5].
- L'Algérie aurait également sollicité la médiation de la Turquie pour obtenir la libération des combattants[4][5].
Conséquences et implications :
- Cette affaire a ravivé les tensions entre l'Algérie et le Maroc[6].
- Elle a également relancé le débat sur la nécessité de classer le Polisario comme organisation terroriste[2][4].
- Le Maroc avait déjà rompu ses relations diplomatiques avec l'Iran en 2018 en raison du soutien présumé de Téhéran au Polisario[1][2].
Traitement des prisonniers de ces prisonniers :
Le président syrien Al-Sharaa a déclaré que tous les détenus, qu'ils soient de l'armée algérienne ou du Polisario, seront traités conformément aux normes internationales régissant le traitement des prisonniers de guerre[1]. Ils seront jugés comme les soldats du régime d'Assad[1].