54 jeunes arrêtés près de Tindouf après de violentes échauffourées avec la gendarmerie du Polisario
54 jeunes de la tribu de Salam, lune des grandes tribus de Rguibat, ont été arrêtés à la suite de violentes échauffourées avec «la gendarmerie du Polisario»» dans la localité de Rabouni, aux environs de Tindouf. Malgré les affrontements violents, qui duraient depuis samedi soir, des membres de la tribu de Salam ont réussi à détruire un «poste de sûreté» et à observer un sit-in auquel ont participé une centaine de manifestants qui «ont toujours signifié clairement leur refus dobéir à la direction du Polisario encadrée par les services de renseignements algériens», rapporte dimanche la chaîne de télévision régionale de Laâyoune dans son journal du soir. «Les heurts ont éclaté après larrestation de lun de mes proches par la gendarmerie du Polisario, qui a été transféré ensuite vers Rabouni», a déclaré à la chaîne lune des victimes de ces échauffourées, sous couvert danonymat. «La gendarmerie du Polisario a utilisé des balles réelles et a passé à tabac des chioukh et notables de la tribu qui sétaient rendus sur place pour essayer de résoudre le problème, avant darrêter un groupe de jeunes de ma tribu», a-t-il dit. Suite à ces événements, plusieurs jeunes de cette tribu envisagent sérieusement de regagner la mère patrie, a-t-il indiqué, faisant observer toutefois que «le blocus imposé dans les camps par la gendarmerie du Polisario les empêche de réaliser ce vu». A cet effet, il a exhorté sa famille et ses proches au Maroc à aider ces personnes à quitter les camps en vue de rejoindre le Royaume.
54 jeunes de la tribu de Salam, lune des grandes tribus de Rguibat, ont été arrêtés à la suite de violentes échauffourées avec «la gendarmerie du Polisario»» dans la localité de Rabouni, aux environs de Tindouf. Malgré les affrontements violents, qui duraient depuis samedi soir, des membres de la tribu de Salam ont réussi à détruire un «poste de sûreté» et à observer un sit-in auquel ont participé une centaine de manifestants qui «ont toujours signifié clairement leur refus dobéir à la direction du Polisario encadrée par les services de renseignements algériens», rapporte dimanche la chaîne de télévision régionale de Laâyoune dans son journal du soir. «Les heurts ont éclaté après larrestation de lun de mes proches par la gendarmerie du Polisario, qui a été transféré ensuite vers Rabouni», a déclaré à la chaîne lune des victimes de ces échauffourées, sous couvert danonymat. «La gendarmerie du Polisario a utilisé des balles réelles et a passé à tabac des chioukh et notables de la tribu qui sétaient rendus sur place pour essayer de résoudre le problème, avant darrêter un groupe de jeunes de ma tribu», a-t-il dit. Suite à ces événements, plusieurs jeunes de cette tribu envisagent sérieusement de regagner la mère patrie, a-t-il indiqué, faisant observer toutefois que «le blocus imposé dans les camps par la gendarmerie du Polisario les empêche de réaliser ce vu». A cet effet, il a exhorté sa famille et ses proches au Maroc à aider ces personnes à quitter les camps en vue de rejoindre le Royaume.