"J'avais demandé au tatoueur de placer trois petites étoiles près de mon oeil gauche, mais je suis ressortie avec 56 étoiles disséminées sur la moitié de mon visage", affirme mardi une Belge de 18 ans, qui jure s'être endormie durant la séance et a décidé de porte plainte.
La photo de Kimberley Vlaeminck, une femme de ménage de Courtrai (ouest) faisait la une du journal populaire flamand Het Laatste Nieuws.
Sur le côté gauche de son visage, des étoiles noires de différentes tailles, allant de un ou deux millimètres à environ un centimètre, partent de l'oreille et couvrent la mâchoire jusqu'au menton, la pommette, le front et le nez.
La jeune flamande explique qu'elle s'est rendue dimanche, accompagnée de son compagnon, de son père, de sa soeur et de son frère, dans la boutique d'un tatoueur parisien installé depuis le début de l'année à Courtrai.
"Je voulais qu'il me dessine trois petits points, mais il a proposé de faire trois étoiles, en disant que c'était bien plus beau", témoigne Kimberley Vlaeminck.
"Quand il a commencé à me tatouer, je n'ai pas ressenti de douleur et je me suis endormie. Je m'étais levée à cinq heures du matin et j'avais déjà travaillé une demi-journée", explique la jeune femme de ménage.
"Je me suis réveillée lorsqu'il a commencé à me tatouer le nez et j'ai vu ce qu'il avait déjà fait. J'ai compté 56 étoiles, c'est effrayant", poursuit-elle.
La jeune fille, qui assure ne plus oser sortir dans la rue, a décidé de porter plainte contre le tatoueur. Elle souhaite aussi se faire enlever les étoiles par laser, une opération douloureuse qui coûte des milliers d'euros, selon Het Laatste Nieuws.
Le tatoueur, Rouslan Toumaniantz, conteste formellement que sa cliente se soit endormie. "Elle était tout le temps éveillée, je ne l'ai pas hypnotisée ou droguée, elle était d'accord. Les problèmes ont commencé quand son père et son ami ont vu les tatouages", a-t-il déclaré au journal.
La photo de Kimberley Vlaeminck, une femme de ménage de Courtrai (ouest) faisait la une du journal populaire flamand Het Laatste Nieuws.
Sur le côté gauche de son visage, des étoiles noires de différentes tailles, allant de un ou deux millimètres à environ un centimètre, partent de l'oreille et couvrent la mâchoire jusqu'au menton, la pommette, le front et le nez.
La jeune flamande explique qu'elle s'est rendue dimanche, accompagnée de son compagnon, de son père, de sa soeur et de son frère, dans la boutique d'un tatoueur parisien installé depuis le début de l'année à Courtrai.
"Je voulais qu'il me dessine trois petits points, mais il a proposé de faire trois étoiles, en disant que c'était bien plus beau", témoigne Kimberley Vlaeminck.
"Quand il a commencé à me tatouer, je n'ai pas ressenti de douleur et je me suis endormie. Je m'étais levée à cinq heures du matin et j'avais déjà travaillé une demi-journée", explique la jeune femme de ménage.
"Je me suis réveillée lorsqu'il a commencé à me tatouer le nez et j'ai vu ce qu'il avait déjà fait. J'ai compté 56 étoiles, c'est effrayant", poursuit-elle.
La jeune fille, qui assure ne plus oser sortir dans la rue, a décidé de porter plainte contre le tatoueur. Elle souhaite aussi se faire enlever les étoiles par laser, une opération douloureuse qui coûte des milliers d'euros, selon Het Laatste Nieuws.
Le tatoueur, Rouslan Toumaniantz, conteste formellement que sa cliente se soit endormie. "Elle était tout le temps éveillée, je ne l'ai pas hypnotisée ou droguée, elle était d'accord. Les problèmes ont commencé quand son père et son ami ont vu les tatouages", a-t-il déclaré au journal.