superzembo
VIB
Le jeu de la boule ou la violence gratuite:
Les faits se sont déroulés, le 18 janvier dernier, à la sortie du collège René-Descartes, au Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis.
Au moment où Elodie, 15 ans, s'est retrouvée à l'extérieur de l'établissement, elle a été encerclée par plusieurs dizaines d'élèves, rapporte Europe 1.
Puis Elodie a été frappée à de nombreuses reprises.
Elle venait d'être victime du "jeu de la boule".
Sur Europe 1, Elodie explique ce "jeu":
"A lintérieur du collège, ils choisissent quelquun dans la cour. Ils prennent la balle, ils se rapprochent un peu de toi, ils tirent. La boule est passée entre mes jambes et je voyais tout le monde rigoler et moi je ne comprenais pas pourquoi. Après, ils sont venus me voir, ils ont dit tu es morte à la sortie".
Elodie, accompagnée de sa mère, a porté plainte de suite après les faits.
Une maman qui confie:
"Je ne souhaite à aucune maman, aucun papa, de retrouver son enfant dans létat où jai retrouvé la mienne. Cétait dune violence pas possible. Les enfants filmaient la scène pour la mettre sur internet".
A la sortie du collège, ils étaient une quinzaine autour d'elle et l'ont roué de coups.
Elodie a formellement reconnu trois de ses agresseurs, un garçon et deux filles.
Des élèves qui ont été exclus temporairement du collège.
Selon Europe 1, au moment de lagression, une équipe mobile de sécurité, des agents déployés par le rectorat, était présente sur place mais nest pas intervenue.
La jeune collégienne souffre de nombreuses contusions et de trois côtes fêlées. Elle a arrêté les cours durant deux semaines.
Une collégienne qui, trois semaines après les faits, attend toujours que le rectorat lui trouve un nouveau collège pour qu'elle puisse poursuivre sa scolarité avec plus de sérénité.
Les faits se sont déroulés, le 18 janvier dernier, à la sortie du collège René-Descartes, au Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis.
Au moment où Elodie, 15 ans, s'est retrouvée à l'extérieur de l'établissement, elle a été encerclée par plusieurs dizaines d'élèves, rapporte Europe 1.
Puis Elodie a été frappée à de nombreuses reprises.
Elle venait d'être victime du "jeu de la boule".
Sur Europe 1, Elodie explique ce "jeu":
"A lintérieur du collège, ils choisissent quelquun dans la cour. Ils prennent la balle, ils se rapprochent un peu de toi, ils tirent. La boule est passée entre mes jambes et je voyais tout le monde rigoler et moi je ne comprenais pas pourquoi. Après, ils sont venus me voir, ils ont dit tu es morte à la sortie".
Elodie, accompagnée de sa mère, a porté plainte de suite après les faits.
Une maman qui confie:
"Je ne souhaite à aucune maman, aucun papa, de retrouver son enfant dans létat où jai retrouvé la mienne. Cétait dune violence pas possible. Les enfants filmaient la scène pour la mettre sur internet".
A la sortie du collège, ils étaient une quinzaine autour d'elle et l'ont roué de coups.
Elodie a formellement reconnu trois de ses agresseurs, un garçon et deux filles.
Des élèves qui ont été exclus temporairement du collège.
Selon Europe 1, au moment de lagression, une équipe mobile de sécurité, des agents déployés par le rectorat, était présente sur place mais nest pas intervenue.
La jeune collégienne souffre de nombreuses contusions et de trois côtes fêlées. Elle a arrêté les cours durant deux semaines.
Une collégienne qui, trois semaines après les faits, attend toujours que le rectorat lui trouve un nouveau collège pour qu'elle puisse poursuivre sa scolarité avec plus de sérénité.