À Paris, des catholiques organisent une prière de rue pour « réparer le blasphème » de la cérémonie d’ouverture des JO

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées sur le lieu du tableau « Festivité » de la cérémonie d’ouverture des JO pour « réparer le blasphème » qui aurait été commis envers le christianisme.

La scène avait fait couler beaucoup d’encre. Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, l’un des tableaux, incarné notamment par le chanteur Philippe Katerine et plusieurs drag-queens, avait provoqué de vives réactions car assimilé, par certains, à une référence offensante à la Cène de Jésus et ses apôtres.

Thomas Jolly, le directeur artistique de la cérémonie, a eu beau assurer que cette séquence n’était pas inspirée de la scène biblique, mais d’une représentation des Dieux de l’Olympe, une part de fidèles catholiques ne décolère pas. Mardi, plusieurs dizaines d’entre eux ont pris part à une prière de rue pour « réparer le blasphème » qui aurait été commis lors de la cérémonie. L’information émane du compte X Le Salon Beige, un blog d’actualité catholique traditionnaliste.

Une prière illégale ?​

Ce jeudi, le sénateur de Paris Ian Brossat a dénoncé sur X la tenue de cette prière de rue, en interpellant directement le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau. « Le blasphème n’existe pas et les prières de rue sont interdites », a posté Ian Brossat.

Cher @BrunoRetailleau, 250 personnes organisaient une prière de rue dans le 7e ce lundi.

Leur objectif : « réparer le blasphème » prétendument commis lors de la cérémonie des JO.

Le blasphème n’existe pas et les prières de rue sont interdites.

Allez-vous remettre de l’ordre ? pic.twitter.com/7GExldJQLe

— Ian Brossat (@IanBrossat) October 10, 2024

Cependant, selon la loi, la liberté de conscience garantit bien le droit de prier dans la rue. À une exception près : le possible « trouble à l’ordre public » que les prières de rue pourraient constituer, comme par exemple l’obstruction non autorisée d’une voie de passage. Ce qui, à la vue de plusieurs photos postées sur X, peut être interprété comme tel étant donné que la prière s’est tenue sur un pont réservé à la circulation des piétons...........

 
Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées sur le lieu du tableau « Festivité » de la cérémonie d’ouverture des JO pour « réparer le blasphème » qui aurait été commis envers le christianisme.

La scène avait fait couler beaucoup d’encre. Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024, l’un des tableaux, incarné notamment par le chanteur Philippe Katerine et plusieurs drag-queens, avait provoqué de vives réactions car assimilé, par certains, à une référence offensante à la Cène de Jésus et ses apôtres.

Thomas Jolly, le directeur artistique de la cérémonie, a eu beau assurer que cette séquence n’était pas inspirée de la scène biblique, mais d’une représentation des Dieux de l’Olympe, une part de fidèles catholiques ne décolère pas. Mardi, plusieurs dizaines d’entre eux ont pris part à une prière de rue pour « réparer le blasphème » qui aurait été commis lors de la cérémonie. L’information émane du compte X Le Salon Beige, un blog d’actualité catholique traditionnaliste.

Une prière illégale ?​

Ce jeudi, le sénateur de Paris Ian Brossat a dénoncé sur X la tenue de cette prière de rue, en interpellant directement le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau. « Le blasphème n’existe pas et les prières de rue sont interdites », a posté Ian Brossat.



Cependant, selon la loi, la liberté de conscience garantit bien le droit de prier dans la rue. À une exception près : le possible « trouble à l’ordre public » que les prières de rue pourraient constituer, comme par exemple l’obstruction non autorisée d’une voie de passage. Ce qui, à la vue de plusieurs photos postées sur X, peut être interprété comme tel étant donné que la prière s’est tenue sur un pont réservé à la circulation des piétons...........

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Sur ce cas là...la Marine ne va pas faire son cinema du fait qu'il s'agit ses électeurs.

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