Accidents de la circulation : 23 morts et 1 360 blessés du 1er au 7 juin

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Vingt-trois personnes ont été tuées et 1 360 autres blessées, dont 72 grièvement, dans 1 031 accidents de la circulation survenus en périmètre urbain lors de la semaine du 1er au 7 juin, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), oublié jeudi 11 juin.

Ces accidents sont dus, entre autres, au défaut de maîtrise des véhicules, à l'inadvertance des piétons, à l'excès de vitesse, au non-respect du Code de la route, des feux de signalisation et du stop.
Concernant le contrôle et la répression des infractions de la circulation et du roulage, les services de sûreté ont enregistré 21 688 contraventions et rédigé 10 485 procès-verbaux qui ont été soumis à la justice.

En outre, 11 203 amendes totalisant 2 134 400 DH ont été recouvrées, selon la même source, qui fait état de 6 760 véhicules astreints au dépôt en fourrière municipale et du retrait de 2 586 permis de conduire


Source: La Vie Eo
 
parmi les candidats aux élections, combien sont ils à faire compagne en abordant ce sujet?
c'est vraiment dommage qu'une majorité de marocains ne prennent pas conscience de la sécurité routière et des dégâts de la route, tout le monde est concerné par ce sujet, que ce soit conducteurs, passagers ou piétons.

Comment consoler une famille quand elle est touchée par un drame humain?
 
parmi les candidats aux élections, combien sont ils à faire compagne en abordant ce sujet?
c'est vraiment dommage qu'une majorité de marocains ne prennent pas conscience de la sécurité routière et des dégâts de la route, tout le monde est concerné par ce sujet, que ce soit conducteurs, passagers ou piétons.

Comment consoler une famille quand elle est touchée par un drame humain?

Bien dit. Tu sais, si les collectivités locales faisaient bien leur travail en matière d’infrastructure routière, beaucoup de vie seront sauvées. Mais cette approche là n’est jamais à l’ordre du jour.
 
Bien dit. Tu sais, si les collectivités locales faisaient bien leur travail en matière d’infrastructure routière, beaucoup de vie seront sauvées. Mais cette approche là n’est jamais à l’ordre du jour.

je pense que le premier responsable, c'est le conducteur qui doit être maître de sa voiture en respectant le code de la route et le 2° responsable ce sont les inspecteurs qui délivrent le fameux sésame: permis de renverser et de tuer au lieu d'un permis de conduire.

les agents qui doivent appliquer la loi et les collectivités qui doivent assumer leur rôle en aménageant les routes et leur entretien ainsi que l'entretien des panneaux de signalisations doivent se rendre compte que c'est une utilité publique , en assumant leur rôle ils épargnent des milliers de victimes de la route et par la même occasion une sacrée économie au pays.

le piéton aussi doit se résigner à intégrer l'existence d'un espace aménager spécialement pour lui et qui lui permet de marcher et se balader en toute sécurité. les passages piétons et les feux rouges ne sont pas une option facultatif et qu'ils font parti du décor pour rappeler que seuls les conducteurs doivent les respecter.
 
je pense que le premier responsable, c'est le conducteur qui doit être maître de sa voiture en respectant le code de la route et le 2° responsable ce sont les inspecteurs qui délivrent le fameux sésame: permis de renverser et de tuer au lieu d'un permis de conduire.

les agents qui doivent appliquer la loi et les collectivités qui doivent assumer leur rôle en aménageant les routes et leur entretien ainsi que l'entretien des panneaux de signalisations doivent se rendre compte que c'est une utilité publique , en assumant leur rôle ils épargnent des milliers de victimes de la route et par la même occasion une sacrée économie au pays.

le piéton aussi doit se résigner à intégrer l'existence d'un espace aménager spécialement pour lui et qui lui permet de marcher et se balader en toute sécurité. les passages piétons et les feux rouges ne sont pas une option facultatif et qu'ils font parti du décor pour rappeler que seuls les conducteurs doivent les respecter.

Dans cette histoire il n’y a pas de premier et deuxième. Tous les acteurs doivent faire leurs devoirs. Si on ne règle pas tous les problèmes en parallèle, on n’arrivera jamais à changer la tendance.
 
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