Le Maure
Taza avant Gaza
PARIS 2 juillet (Reuters) - La France et le Maroc ont signé vendredi un accord pour "le développement des utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire", première étape en vue d'éventuels contrats commerciaux.
Pauvre en énergies fossiles, le royaume marocain, qui abrite un seul réacteur nucléaire, compte construire sa première centrale nucléaire entre 2022 et 2024. Des appels d'offres pourraient être lancés entre 2011 et 2014.
"C'est un accord général, un accord cadre qui permet d'accompagner le Maroc sur le chemin de la préparation à son entrée dans le champ de l'énergie nucléaire", a déclaré François Fillon, à l'issue de la 10e rencontre de haut niveau franco-marocaine, à Paris.
L'accord prévoit une coopération en matière technologique et dans les domaines de la formation et de la sûreté.
"Ce n'est pas un accord commercial pour la construction aujourd'hui d'un réacteur nucléaire. C'est dans une deuxième étape que la France fera des propositions en ce sens compte tenu de l'excellence de sa technologie et de ses entreprises", a dit le Premier ministre français lors d'une conférence de presse commune avec son homologue marocain, Abbas El Fassi.
Reuters
Pauvre en énergies fossiles, le royaume marocain, qui abrite un seul réacteur nucléaire, compte construire sa première centrale nucléaire entre 2022 et 2024. Des appels d'offres pourraient être lancés entre 2011 et 2014.
"C'est un accord général, un accord cadre qui permet d'accompagner le Maroc sur le chemin de la préparation à son entrée dans le champ de l'énergie nucléaire", a déclaré François Fillon, à l'issue de la 10e rencontre de haut niveau franco-marocaine, à Paris.
L'accord prévoit une coopération en matière technologique et dans les domaines de la formation et de la sûreté.
"Ce n'est pas un accord commercial pour la construction aujourd'hui d'un réacteur nucléaire. C'est dans une deuxième étape que la France fera des propositions en ce sens compte tenu de l'excellence de sa technologie et de ses entreprises", a dit le Premier ministre français lors d'une conférence de presse commune avec son homologue marocain, Abbas El Fassi.
Reuters