salam
Les femmes qui accouchent chez elles ont moins de risques de souffrir de saignements et dhémorragie post-partum que celles qui accouchent à lhôpital : voilà létonnante conclusion dune étude menée par les chercheurs de l'Université de Southampton, en Grande-Bretagne, qui se sont penchés sur les dossiers médicaux de 500 000 femmes.
Une conclusion qui na rien danodin lorsque lon sait que lhémorragie post-partum est la principale cause de décès liées à laccouchement en France.
Lhémorragie post-partum se définit par une perte sanguine de plus de 500 ml dans les 24 heures qui suivent la naissance.
Bien que ce type de saignement ne concerne que 5 % des naissances environ, il représente la principale cause de décès maternel en France car la majorité des HPP surviennent sans quaucun facteur de risque nait pu être identifié.
Selon les chercheurs anglais, la surmédicalisation de laccouchement, lusage de médicaments pour accélérer les contractions, la pratique courante de l'épisiotomie pour faciliter la sortie du bébé par voie basse ou encore la multiplication des césariennes provoquent des saignements intempestifs et compromettent la sécurité des femmes enceintes en plein travail.
«Toutes les femmes enceintes devraient en être informées et devraient pouvoir choisir librement le lieu où elles souhaitent accoucher», ajoute Janet Fyle, conseillère médicale au Collège royal des sages-femmes de Grande-Bretagne.

Libération
Les femmes qui accouchent chez elles ont moins de risques de souffrir de saignements et dhémorragie post-partum que celles qui accouchent à lhôpital : voilà létonnante conclusion dune étude menée par les chercheurs de l'Université de Southampton, en Grande-Bretagne, qui se sont penchés sur les dossiers médicaux de 500 000 femmes.
Une conclusion qui na rien danodin lorsque lon sait que lhémorragie post-partum est la principale cause de décès liées à laccouchement en France.
Lhémorragie post-partum se définit par une perte sanguine de plus de 500 ml dans les 24 heures qui suivent la naissance.
Bien que ce type de saignement ne concerne que 5 % des naissances environ, il représente la principale cause de décès maternel en France car la majorité des HPP surviennent sans quaucun facteur de risque nait pu être identifié.
Selon les chercheurs anglais, la surmédicalisation de laccouchement, lusage de médicaments pour accélérer les contractions, la pratique courante de l'épisiotomie pour faciliter la sortie du bébé par voie basse ou encore la multiplication des césariennes provoquent des saignements intempestifs et compromettent la sécurité des femmes enceintes en plein travail.
«Toutes les femmes enceintes devraient en être informées et devraient pouvoir choisir librement le lieu où elles souhaitent accoucher», ajoute Janet Fyle, conseillère médicale au Collège royal des sages-femmes de Grande-Bretagne.

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