Le Maure
Taza avant Gaza
DUBAI — Le groupe Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) a revendiqué le rapt d'un Français dans le nord du Niger en avril, a indiqué la chaîne de télévision Al-Jazira du Qatar jeudi.
Al-Jazira, citant un communiqué de l'Aqmi publié sur un site islamiste, ajoute que le groupe a demandé à "la France et à ses alliés dans la région la libération de ses détenus" en contrepartie de celle du ressortissant français.
Le 19 avril, ce dernier, âgé de 78 ans et à l'identité non communiquée par les autorités françaises, avait été enlevé avec un Algérien qui a été libéré fin avril.
Interrogé lors d'un point-presse sur cette revendication et les exigences des ravisseurs, le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero, s'est limité à déclarer que la "mobilisation" de la France "restait totale afin de parvenir à sa libération".
"Je vous rappelle que cette affaire doit être traitée avec discrétion, dans un souci d'efficacité de notre action et de sécurité de notre compatriote", a-t-il souligné.
Le 29 avril, des sources sécuritaires nigériennes avaient affirmé que l'otage français était "dans le désert côté malien" avec ses ravisseurs.
Les enlèvements d'Occidentaux sont courants dans la vaste zone désertique à cheval entre le Niger, le Mali et l'Algérie, territoire où opère Aqmi.
Source:AFP
Al-Jazira, citant un communiqué de l'Aqmi publié sur un site islamiste, ajoute que le groupe a demandé à "la France et à ses alliés dans la région la libération de ses détenus" en contrepartie de celle du ressortissant français.
Le 19 avril, ce dernier, âgé de 78 ans et à l'identité non communiquée par les autorités françaises, avait été enlevé avec un Algérien qui a été libéré fin avril.
Interrogé lors d'un point-presse sur cette revendication et les exigences des ravisseurs, le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero, s'est limité à déclarer que la "mobilisation" de la France "restait totale afin de parvenir à sa libération".
"Je vous rappelle que cette affaire doit être traitée avec discrétion, dans un souci d'efficacité de notre action et de sécurité de notre compatriote", a-t-il souligné.
Le 29 avril, des sources sécuritaires nigériennes avaient affirmé que l'otage français était "dans le désert côté malien" avec ses ravisseurs.
Les enlèvements d'Occidentaux sont courants dans la vaste zone désertique à cheval entre le Niger, le Mali et l'Algérie, territoire où opère Aqmi.
Source:AFP