L'absence du roi Albert et de la reine Paola lors de la présentation des voeux du roi aux corps constitués ce mercredi au palais n'est pas passée inaperçue.
Pour le journaliste de VTM Barend Leyts, leur absence n'a rien à voir avec de quelconques ennuis de santé "puisqu'ils étaient présents à un concert de musique classique hier soir". "Vraisemblablement, Albert n'avait aucune envie de rencontrer ceux qui lui ont récemment refusé une augmentation de sa dotation", avance le journaliste comme hypothèse.
La Chambre a adopté en septembre dernier une réforme du système de dotations accordées aux membres de la famille royale. La dotation allouée au roi Albert suite à son abdication est ainsi passée de plus de 11 millions à 923.000 euros par an. Une diminution que l'ancien chef de l'Etat a jugé trop drastique et qu'il aurait tenté de renégocier, ce à quoi Elio Di Rupo s'est totalement opposé. Il n'est "pas question pour le gouvernement d'y changer une virgule. Nous n'avons pas l'intention de façon directe ou indirecte de modifier quoi que ce soit", avait déclaré dans la foulée le premier ministre à la Chambre. Un camouflet qu'Albert II n'aurait pas encore digéré.
Pour le journaliste de VTM Barend Leyts, leur absence n'a rien à voir avec de quelconques ennuis de santé "puisqu'ils étaient présents à un concert de musique classique hier soir". "Vraisemblablement, Albert n'avait aucune envie de rencontrer ceux qui lui ont récemment refusé une augmentation de sa dotation", avance le journaliste comme hypothèse.
La Chambre a adopté en septembre dernier une réforme du système de dotations accordées aux membres de la famille royale. La dotation allouée au roi Albert suite à son abdication est ainsi passée de plus de 11 millions à 923.000 euros par an. Une diminution que l'ancien chef de l'Etat a jugé trop drastique et qu'il aurait tenté de renégocier, ce à quoi Elio Di Rupo s'est totalement opposé. Il n'est "pas question pour le gouvernement d'y changer une virgule. Nous n'avons pas l'intention de façon directe ou indirecte de modifier quoi que ce soit", avait déclaré dans la foulée le premier ministre à la Chambre. Un camouflet qu'Albert II n'aurait pas encore digéré.