amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Délicatement tamponnée avec une éponge humide, la mosaïque polychrome révèle, après quinze siècles d'oubli, l'éclat de ses rouges, de ses jaunes, de ses noirs et la délicatesse de ses motifs. La chaleur de l'été algérois a tôt fait d'évaporer l'eau. Les tesselles perdent immédiatement leur éclat, s'affadissent en couleurs passées, brûlées par la lumière trop crue, comme s'évanouit un rêve.
Les archéologues viennent de mettre au jour le sol décoré d'une basilique paléochrétienne, datant à première vue du Ve ou du VIe siècle. Ils ne peuvent s'attarder dans cette contemplation, affiner la datation ou vérifier leurs hypothèses. Ils ont déjà repéré, en dessous, des vestiges plus anciens, un mur datant du Ier ou du IIe siècle de notre ère, qu'il faut vite excaver.
la suite : http://www.lemonde.fr/planete/article/2009/08/01/alger-2-000-ans-sous-la-terre_1224924_3244.html
Les archéologues viennent de mettre au jour le sol décoré d'une basilique paléochrétienne, datant à première vue du Ve ou du VIe siècle. Ils ne peuvent s'attarder dans cette contemplation, affiner la datation ou vérifier leurs hypothèses. Ils ont déjà repéré, en dessous, des vestiges plus anciens, un mur datant du Ier ou du IIe siècle de notre ère, qu'il faut vite excaver.
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