08.11.11
Au deuxième jour de lAïd, certaines cités de lagglomération sont devenues de véritables dépotoirs à ordures, où samoncellent dans les moindres espaces des amas de déchets spécifiques à lAïd.
En lespace dune journée, Alger la capitale sest transformée en un gigantesque abattoir à ciel ouvert, où les règles dhygiène les plus élémentaires ont été négligées, et ce, à la faveur dune insalubrité qui, selon les spécialistes de la santé, peut savérer néfaste pour la santé des citoyens. Pris individuellement, tous les citoyens saccordent pour dénoncer cette situation contraire aux percepts de lIslam : «Il est inadmissible pour un musulman daltérer sont environnement par la saleté», déplorent des habitants de la cité Cosider dans la commune de Bordj El Bahri.
Au deuxième jour de lAïd, certaines cités de lagglomération sont devenues de véritables dépotoirs à ordures où samoncellent dans les moindres espaces des amas de déchets spécifiques à lAïd, tels que les restes dabats, dexcréments de moutons et les contenus destomacs déversés à même les trottoirs. A la cité «La Montagne», dans la commune de Bourouba, les déchets qui nont pas été enlevés par les agents de lAPC au deuxième jour de lAïd sont restés sur place, dégageant ainsi des odeurs nauséabondes. En ces temps où les températures ne sont pourtant pas élevées, les mouches et autres insectes parasites ont trouvé un terrain propice pour proliférer.
Dans le même quartier, des devantures dimmeubles récemment repeintes ont été tachées déclaboussures de sang difficilement détachable, à moins dentreprendre dautres travaux de peinture. Certains citoyens fêtent également lAïd dans les urgences des hôpitaux, qui sont pris dassaut par des égorgeurs de moutons intrépides et manipulant sans dextérité aucune des outils qui peuvent savérer très dangereux.
Au courant de la première demi-journée de lAïd, les structures hospitalières de lAlgérois ont dû recevoir un nombre impressionnant de personnes blessées, majoritairement au niveau des membres supérieurs. Au service des urgences de lhôpital de Aïn Taya, la salle dattente était pleine à craquer par des personnes venues se faire soigner suite à des blessures survenues lors dégorgement des moutons.
http://www.elwatan.com/regions/centre/alger/incivisme-des-citoyens-08-11-2011-146380_148.php
Au deuxième jour de lAïd, certaines cités de lagglomération sont devenues de véritables dépotoirs à ordures, où samoncellent dans les moindres espaces des amas de déchets spécifiques à lAïd.
En lespace dune journée, Alger la capitale sest transformée en un gigantesque abattoir à ciel ouvert, où les règles dhygiène les plus élémentaires ont été négligées, et ce, à la faveur dune insalubrité qui, selon les spécialistes de la santé, peut savérer néfaste pour la santé des citoyens. Pris individuellement, tous les citoyens saccordent pour dénoncer cette situation contraire aux percepts de lIslam : «Il est inadmissible pour un musulman daltérer sont environnement par la saleté», déplorent des habitants de la cité Cosider dans la commune de Bordj El Bahri.
Au deuxième jour de lAïd, certaines cités de lagglomération sont devenues de véritables dépotoirs à ordures où samoncellent dans les moindres espaces des amas de déchets spécifiques à lAïd, tels que les restes dabats, dexcréments de moutons et les contenus destomacs déversés à même les trottoirs. A la cité «La Montagne», dans la commune de Bourouba, les déchets qui nont pas été enlevés par les agents de lAPC au deuxième jour de lAïd sont restés sur place, dégageant ainsi des odeurs nauséabondes. En ces temps où les températures ne sont pourtant pas élevées, les mouches et autres insectes parasites ont trouvé un terrain propice pour proliférer.
Dans le même quartier, des devantures dimmeubles récemment repeintes ont été tachées déclaboussures de sang difficilement détachable, à moins dentreprendre dautres travaux de peinture. Certains citoyens fêtent également lAïd dans les urgences des hôpitaux, qui sont pris dassaut par des égorgeurs de moutons intrépides et manipulant sans dextérité aucune des outils qui peuvent savérer très dangereux.
Au courant de la première demi-journée de lAïd, les structures hospitalières de lAlgérois ont dû recevoir un nombre impressionnant de personnes blessées, majoritairement au niveau des membres supérieurs. Au service des urgences de lhôpital de Aïn Taya, la salle dattente était pleine à craquer par des personnes venues se faire soigner suite à des blessures survenues lors dégorgement des moutons.
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