Algérie: des responsables de la radio nationale limogés

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Le Maure

Taza avant Gaza
Plusieurs responsables de différentes chaînes de la radio nationale algérienne ont été limogés ce mardi 5 avril rapporte le quotidien algérien El Watan sur son site internet. Il s’agit du directeur de l’information de la chaîne 2, de la rédactrice en chef adjointe de la chaîne 1, ainsi que des deux chefs d’édition de la Radio internationale. Ces quatre responsables ont refusé de transmettre à la direction la liste des journalistes participant à un sit-in organisé dans l’entreprise le 3 avril dernier. “Ces personnes n’ont tout simplement pas respecté la hiérarchie. De même, certains responsables ont eux-mêmes pris part à ce sit-in”, a expliqué le directeur général de la radio Tewfik Khelladi au quotidien.

Une cinquantaine de journalistes avaient organisé ce sit-in pour réclamer des augmentations salariales. La manifestation avait été jugée “illégale” par la direction. Tewfik Khelladi avait alors prévenu que le règlement intérieur serait appliqué “dans toute sa vigueur et sa rigueur”.

Une assemblée générale doit se tenir aujourd’hui avec la direction, le syndicat et les journalistes qui n’y prendront part que si leurs collègues sont réhabilités.

Le 27 mars dernier, les mêmes journalistes avaient organisé un premier sit-in après avoir rejoint, la veille, leurs confrères du secteur privé pour demander “un statut particulier de journaliste”. Une grève générale est prévue le 3 mai, journée mondiale de la liberté de la presse. Les médias audiovisuels algériens, dont les 4000 employés de la radio nationale, sont essentiellement publics.

Nouvel Observateur
 
Plusieurs responsables de différentes chaînes de la radio nationale algérienne ont été limogés ce mardi 5 avril rapporte le quotidien algérien El Watan sur son site internet. Il s’agit du directeur de l’information de la chaîne 2, de la rédactrice en chef adjointe de la chaîne 1, ainsi que des deux chefs d’édition de la Radio internationale. Ces quatre responsables ont refusé de transmettre à la direction la liste des journalistes participant à un sit-in organisé dans l’entreprise le 3 avril dernier. “Ces personnes n’ont tout simplement pas respecté la hiérarchie. De même, certains responsables ont eux-mêmes pris part à ce sit-in”, a expliqué le directeur général de la radio Tewfik Khelladi au quotidien.

Une cinquantaine de journalistes avaient organisé ce sit-in pour réclamer des augmentations salariales. La manifestation avait été jugée “illégale” par la direction. Tewfik Khelladi avait alors prévenu que le règlement intérieur serait appliqué “dans toute sa vigueur et sa rigueur”.

Une assemblée générale doit se tenir aujourd’hui avec la direction, le syndicat et les journalistes qui n’y prendront part que si leurs collègues sont réhabilités.

Le 27 mars dernier, les mêmes journalistes avaient organisé un premier sit-in après avoir rejoint, la veille, leurs confrères du secteur privé pour demander “un statut particulier de journaliste”. Une grève générale est prévue le 3 mai, journée mondiale de la liberté de la presse. Les médias audiovisuels algériens, dont les 4000 employés de la radio nationale, sont essentiellement publics.

Nouvel Observateur
je ne sais pas s'ils meritent vraiment le titre de journalistes eux qui de tout temps on ete le parfait exemple du fonctonnaire de la presse au service du pouvoir mais comme on dit mieux vaut tard que jamais .....pour le reste ils demeurent la nullite de la presse en algerie
 
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