Algerie et son développement
- Initiateur de la discussion Freyja
- Date de début
Il y a des chiffres qui plairaient à beaucoup d'économies de l'UE.
Paru le 15 mai:
"Cette impulsion positive s'inscrit dans une dynamique initiée en 2021, où la reprise de l'activité économique s'est poursuivie, se stabilisant au fil des années. Après un rebond significatif de 3,8 % en 2021, l'activité économique s'est maintenue à un taux de croissance de 3,6 % en 2022, avant de s’accélérer à 4,2 % en 2023, grâce à un rebond de la production d'hydrocarbures et de solides performances dans les secteurs de l'industrie, de la construction et des services.
La position extérieure est restée solide pour la deuxième année consécutive malgré un excédent du compte courant en baisse (2,2 % du PIB en 2023 contre 8,4 % du PIB en 2022) sous l’effet conjugué de la baisse des exportations et de la reprise des importations. Les pressions inflationnistes persistent (9,3 % en 2023), principalement en raison des prix élevés des denrées alimentaires, tandis que le déficit budgétaire s'est élargi (-3 % en 2023 contre -2,5 % en 2022), mais moins que prévu en raison d'un rythme d'exécution relativement lent des dépenses. La dette publique est estimée à 49,5 % du PIB en 2023 (contre 48,1 % du PIB en 2022), tandis que les réserves de changes ont atteint 68,9 Mds USD à la fin de 2023 (contre 61 Mds USD en 2022)."
www.tresor.economie.gouv.fr
Paru le 15 mai:
"Cette impulsion positive s'inscrit dans une dynamique initiée en 2021, où la reprise de l'activité économique s'est poursuivie, se stabilisant au fil des années. Après un rebond significatif de 3,8 % en 2021, l'activité économique s'est maintenue à un taux de croissance de 3,6 % en 2022, avant de s’accélérer à 4,2 % en 2023, grâce à un rebond de la production d'hydrocarbures et de solides performances dans les secteurs de l'industrie, de la construction et des services.
La position extérieure est restée solide pour la deuxième année consécutive malgré un excédent du compte courant en baisse (2,2 % du PIB en 2023 contre 8,4 % du PIB en 2022) sous l’effet conjugué de la baisse des exportations et de la reprise des importations. Les pressions inflationnistes persistent (9,3 % en 2023), principalement en raison des prix élevés des denrées alimentaires, tandis que le déficit budgétaire s'est élargi (-3 % en 2023 contre -2,5 % en 2022), mais moins que prévu en raison d'un rythme d'exécution relativement lent des dépenses. La dette publique est estimée à 49,5 % du PIB en 2023 (contre 48,1 % du PIB en 2022), tandis que les réserves de changes ont atteint 68,9 Mds USD à la fin de 2023 (contre 61 Mds USD en 2022)."
Indicateurs et conjoncture - ALGÉRIE | Direction générale du Trésor
Site officiel de la direction générale du Trésor
www.tresor.economie.gouv.fr