Algérie : l'armée de villageois face aux islamistes

.


Il y'a eu un évenement qui s'est passé récemment?


.




































































Il y a des contenus qui ressortent sur cette période, qui est derrière cette mise en lumière, je n'en sais fichtre rien
Il reste que c'est une période sur laquelle on ne s'attarde pas suffisamment et qui pourrait être riche en enseignements



Il y a 2 jours, Abdou Semmar a interviewé Hamid Siad

Il s'appelle Hamid Siad, il est homme d'affaires, propriétaire de nombreux restaurants et brasseries à Paris et dans d'autres villes françaises. Sa vie est une véritable success story. Et pour cause, après avoir débarqué très jeune à Paris au début des années 80, le kabyle originaire d'Azazga va grimper petit à petit les échelons pour devenir un brillant businessman bien introduit dans les milieux les plus prestigieux du gratin parisien. Mais la vie de Hamid Siad va basculer par la suite dans une dimension surréaliste et unique en son genre : au début des années 90, il fait une entrée fracassante dans le monde des services secrets et du renseignement pour devenir dans des circonstances historiques, politiques et diplomatiques exceptionnelles l'intermédiaire attitré entre les services secrets français et algériens. Plus qu'un intermédiaire, un véritable canal secret qui permet aux services secrets algériens et français de collaborer pour démanteler de nombreux groupes armés et d'empêcher plusieurs attentats terroristes. De l'ambassade d'Algérie à Paris au siège d'Air Algérie dans la capitale française en passant par des plans d'assassinat ciblant des dirigeants algériens, Hamid Siad a servi de "relai" entre Agents algériens et français dans de nombreuses opérations inédites. Toutes ces aventures véridiques sont narrées dans son livre paru récemment en France : "De Kabylie à Paris, l’histoire secrète d’un Algérien devenu honorable correspondant". Et dans cette interview, Hamid Siad nous livre des révélations encore plus inédites sur le rôle qu'il a joué auprès des services de renseignement algériens et français au plus fort de la sinistre décennie noire


A la 44ème minute, il dit que Mitterand voulait le FIS au pouvoir. Quand je vois les amours de LFI et des islamistes, il m'est difficile de ne pas y voir l'ombre de ces évènements. Il n'y a rien de normal dans la proximité de la gauche avec les islamistes, il est à mon avis dangereux de faire l"économie d'une réflexion sur le sujet.

En parlant de Mitterand,

Je suis tombée aussi sur ce commentaire sur Algérie Patriotique


Je pense qu’un point essentiel à été négligé !
Ce point est le lien entre mitterand enwar haddam et abassi madani !
Ce ch… de abassi madani à bénéficier de l’intervention de mitterand pour la réquisition pendant une grande période, de la salle de l’université d’antony afin d’y effectuer des prêches et ce dès 1980,aux musulmans des banlieues qui se sont radicalisé à cette période !
Jean loup izambert, reporter d’investigation français avec 37 ans d’expérience à enquêter à ce sujet. Il a aussi découvert que des algériens ont été transporté d’Afghanistan dès 1980 et ont été entraîner dans 2 bases militaires françaises et envoyer en Algérie afin de préparer et entraîner des groupes en Algérie. Voir son livre « 51 » et censuré en France ainsi que sa vidéo sur YouTube ! « 51 » de 1980 à aujourd’hui pour 51 haut fonctionnaire pour la promotion du djihadisme ! Ce programme se poursuit jusqu’à aujourd’hui ! Les derniers sont ceux partis en Syrie !
 
.
Durant les années 80 il était de bon ton de la part des puissances anglo saxonnes de promouvoir le wahabisme pour leur combat contre le communisme pour affaiblir les Russes.

Cela n'a rien à voir avec LFI 40 ans plus tard qui est le seul à s'élever contre l'islamophobie et le racisme actuellement qui bat des records avec la banalisation des idées de l'extrême droite sioniste et française qui se sont infiltrées partout.

Aujourd hui quiconque défend les musulmans de l'injustice de la discrimination est désigné par l'extrême droite sioniste et française comme islamiste.

De la même manière lorsque des politiques de renom à l instar de De Villepin est aussi accusé par les sionistes d'extrême droite d'être pro Hamas lorsqu il évoque le génocide en Palestine.

Dans les années 90 les renseignements algériens ont joué un rôle détestable quand ils ont crée leur propres réseaux de "maquis" qui allaient commettre des massacres dans la population innocente avec des agents barbus se faisant passer pour des terroristes.

Comme si les massacres des barbus en Algerie ayant combattu en Afghanistan n'étaient pas assez graves et etendus déjà comme ça.

Cette guerre psychologique de la part du pouvoir algérien a été héritée du temps de la guerre d'Algérie lorsque des agents de rensignement français avaient crée un réseau de faux maquis qui allaient massacrer des vilageois algériens se faisant passer pour la résistance se reclamant du FLN ou ALN pour les inciter à rejoindre le camp français et non celui de la résistance.

LFI est antinomique de l islamisme.

Faut pas tout confondre et entrer dans le jeu islamophobes et des anti arabes en France

Les racistes français ont comme ennemi le marocain comme l'algerien et le reste de la oumma musulmane ou arabe.

D'ailleurs l'extrême droite sioniste est alliée avec l'extrême droite française.

Goldnadel vient d être condamné pour propos racistes et islamophobie.
Comme Zemmour et d autres. Ils mettent de l huile sur le feu vu que l'extrême droite francaise a été boostée par les medias une fois que les fachos ont fait allegeance à Israel après plusieurs rencontres avec Netanyahu.

.

.
 
Il est vrai que dans ma formulation, on peut voir une sorte d'anachronisme (d'ailleurs en parlant de confusion, merci de ne pas confondre musulman et islamiste)
Je ne prétends pas que LFI est animé du même projet que celui de la gauche qui gouvernait à l'époque
Je cherchais simplement à mettre le projecteur sur le fait que ces mouvements politiques ont des ambitions inavouées même si à date, certains ne voient que la finalité électoraliste pour LFI
De ma fenêtre, même si Mélenchon ménage le Maroc, il est évident que cette partie de l'échiquier politique promeut le soulèvement des peuples.

Pour boucler la parenthèse sur LFI
Je partage cet article du JDD, inutile de se braquer, il faut accepter de lire toutes les sources et faire le tri de façon honnête dans les informations.
 
De LFI ou des islamistes ralliés par Jean-Luc Mélenchon depuis 2018, qui va tomber à l’eau ? En novembre 2018, à Épinay-sur-Seine, Éric Coquerel évoquait les 600 000 voix des « quartiers » qui avaient manqué à LFI pour accéder au second tour des présidentielles. La comptabilité électorale façon Terra Nova débordait ainsi le PS sur sa gauche, réanimant d’une certaine façon le cadavre communiste des ex-banlieues rouges. Cette amorce de résurrection s’appuyait néanmoins, contrairement au PC ancienne manière, sur un critère ethno-religieux, la locution « populations des quartiers populaires issues de l’immigration » n’étant qu’une périphrase euphémistique pour désigner les musulmans.

Marx en eût sans doute fait un triple salto dans sa tombe, mais pas Trotski, ni Lénine, concepteurs de la stratégie d’influence par entrisme, infiltration et noyautage préconisés lorsque les vents étaient défavorables à la cause révolutionnaire. Logique que comprend parfaitement l’islam, qui en cas de rapport de force inopportun a lui aussi toujours prescrit la ruse plutôt que la confrontation. L’« antiracisme » sauce décoloniale et intersectionnelle servira donc de paravent à l’alliance avec l’islamisme, moyen terme potentiellement acceptable pour les électeurs athées de LFI, tout en attirant les voix musulmanes.

Tout intérêt bien compris, LFI adapte donc ses éléments de langage (adios, la laïcité ! coucou, la lutte contre les discriminations et l’islamophobie !) et adoube quelques islamistes qui travaillent le terrain et les médias, en vue de rabattre vers le parti les voix des « quartiers ». Houria Bouteldja, en 2021, saluera avec jubilation ce changement de cap : en qualifiant Mélenchon de « butin de guerre », « laïcard de dingue » rallié à la cause musulmane, elle s’inscrit sans ambiguïté dans le registre belliqueux de la conquête.
 
Parmi les islamistes dragués par LFI, Taha Bouhafs, Youcef Brakni, et Madjid Messaoudene. Trois Algériens (binationaux, s’agissant de Bouhafs et de Messaoudene) rejouant chaque matin au saut du lit la bataille d’Alger, trois provocateurs, trois islamistes. Messaoudène qui en 2012 ironisait sur les assassinats des enfants juifs d’Ozar hatorah, invitera plus tard Tariq Ramadan à Saint-Denis, Bouhafs co-organise la marche contre l’islamophobie du 10 novembre 2019 avec le CCIF des Frères musulmans.

Quant à Brakni, fondateur du comité Adama, il était en 2015 encore membre du Mouvement islamique de libération, dont la charte refusait au nom du Coran et du primat de l’islam toute association avec des partis ou mouvements politiques : « Nous nous opposerons à tout projet mené par les supplétifs de ces forces politiques au sein des mouvements dits "musulmans », "de l’immigration" ou "des quartiers ». Ainsi, nous respecterons l’injonction d’Allah : "Ô les croyants ! Si vous obéissez à ceux qui ne croient pas, ils vous feront retourner en arrière. Et vous reviendrez perdants" (Coran, sourate 3 verset 149). »

En l’occurrence, ce n’est pas LFI qui infiltre les mouvements « des quartiers », mais au contraire les islamistes qui, profitant de l’invitation de Mélenchon, ont investi son parti. Ainsi la primauté d’Allah fut-elle respectée.
 
L’idylle débute. En 2018, Corbière et Garrido posent tout sourire à un barbecue organisé par Brakni et ses affidés à Bagnolet. Le 10 novembre 2019, Corbière défile contre l’islamophobie entouré de ses nouveaux amis qui scandent Allah ouakbar. Rapidement néanmoins, l’alliance s’avère à sens unique : si LFI a complètement renié la dimension laïque qui faisait pourtant partie de son ADN, les islamo-indigénistes ne renient rien du tout, profitant au contraire de la convergence des luttes avec les intersectionnels pour faire passer les signes d’orthopraxie musulmane pour autant de « choix » inscrits dans les libertés individuelles, faisant ainsi progresser l’agenda frériste.Cinq ans plus tard, Garrido et Corbière sont victimes de la purge organisée par Mélenchon au sein de LFI. Quant aux trois lascars, ils ont plus ou moins disparu de la scène du parti. Si Bouhafs, écarté suite à des accusations de harcèlement sexuel, semble refaire un petit tour de piste grâce à Rima Hassan, il est probable que ce furtif retour ne repose que sur sa proximité avec celle-ci. Brakni, caractériel, s’est aliéné tout le monde, et Messaoudene, élu à Saint-Denis, dégagé en 2020 de la liste du maire sortant, ne fait plus parler de lui. La sédition perpétuelle et les coups tordus, ça finit par lasser.
Leur mise en veilleuse pour autant ne change rien à l’affaire : comme Rima Hassan, Aly Diaouara, Amal Bentounsi, Sabrina Ali Benali, candidats LFI à la députation, sont à la fois les remplaçants et les avatars de leurs prédécesseurs, sur la même ligne idéologique qu’eux. Si l’« alliance » vaut plus que jamais, son unilatéralité mène nécessairement à la question suivante : de Mélenchon ou des islamistes, qui va dévorer l’autre ? En 1979, le précédent iranien a certes montré qui l’avait emporté. Néanmoins, la comparaison de situations liées à des contextes différents n’est pas satisfaisante. Il convient à ce titre plutôt, pour évaluer l’équilibre des forces en présence, d’examiner leurs points communs et leurs différences.

De Mélenchon ou des islamistes, qui va dévorer l’autre ?
Par-delà l’entrisme, commun aux deux systèmes, LFI et les fréristes ont, dans le registre manipulatoire, également recours au « community organizing » conçu et appliqué par Alinsky, sociologue américain. La méthode éponyme, inspirée de celle des syndicats américains, crée une « communauté » d’habitants sur la base de mécontentements partagés à petite échelle (immeuble, rue, quartier), « tissage des colères » à partir duquel va être initié un bras de fer avec les élus, les entreprises, ou les institutions. Sur ceux-là seront exercées des pressions diverses, harcèlement, mini-sabotages et happenings médiatisés, le tout restant plus ou moins dans le cadre de la légalité.

En sous-main, derrière la façade de la « justice », une logique de vengeance : « Ce qui suit s’adresse à ceux qui veulent changer le monde tel qu’il est pour le monde tel qu’il devrait être selon eux. […] Être radical est écrit pour ceux qui n’ont rien, pour leur permettre de prendre le pouvoir aux nantis » écrivait Alinsky en 1971. On retrouve le motif révolutionnaire « changer le monde », et son enjeu réel : pas tant la justice que la sédition à but de vengeance et de prédation.

« Prendre le pouvoir aux nantis », 50 ans après la publication du livre, peut se comprendre sous l’angle d’une autre perspective, qui se juxtapose à la première sans s’y substituer : prendre le pouvoir aux nantis, c’est aussi, grâce aux équivalences intersectionnelles, le prendre aux ex-colonisateurs, aux « Blancs », aux mécréants, aux Juifs, le palestinisme constituant un point de jonction supplémentaire entre gauchisme et islamo-indigénisme.

Entre 2017 et 2018, Leïla Chaibi, députée européenne LFI, organise des ateliers sur la méthode Alinsky. Les islamistes qui sont sur le terrain s’en inspirent, surfant sur toutes les causes de doléance possibles, quitte à en créer si elles font défaut. Ainsi, c’est grâce à la méthode Alinsky qu’est née Alliance citoyenne, depuis 2017 récupérée par les porteuses de burqinis et autres hidjabeuses, avançant leurs pions fréristes sous couvert de « désobéissance civile ». Aujourd’hui, l’association est entièrement dédiée à la cause islamiste, ce qu’elle n’était pas à l’origine.

Le moteur de la colère, de la vengeance, de la révolte contre les « puissants », sont communs à l’extrême gauche et à l’islamisme, tout comme les tactiques utilisées. Mais qu’en est-il de la finalité de leurs actions ?

 
LFI poursuit-elle réellement un objectif autre que l’« insoumission » dont elle a fait son programme ? La perpétuelle agitation des députés LFI à l’Assemblée nationale exprime une confusion entre le but et le moyen, l’exercice politique se limitant visiblement pour eux à organiser une espèce de carnaval pour ados attardés, trop heureux de jouer les rebelles pour 7 500 euros mensuels. C’est bien sur la question de la finalité qu’islamistes et LFI se distinguent fondamentalement.

Car malgré leurs multiples dissensions (la « fitna », la sédition, constitue à la fois une caractéristique de l’islam et sa plus grande terreur), les islamistes poursuivent un but commun qui les dépasse absolument : l’instauration de l’ordre islamique et de la sharia en Europe, sur le plan social d’abord, puis juridique et politique. Cette finalité constitue indéniablement le moteur essentiel de l’islamisme, dont le puissant mouvement centripète subsume toutes les dissensions personnelles ou partisanes, agrège tous les moyens, tous les registres, toutes les façons de faire.
 
Indissociable de cette finalité ordonnatrice, existe en islam un rapport au temps spécifique : si LFI ne voit pas plus loin que les prochaines échéances électorales, les islamistes n’ont pas de limites dans le temps. En novembre 2021, l’islamo-indigéniste Wissam Xelka, qui s’exprimait sur son live Twitch, était on ne peut plus clair : « Sur le temps long, on va le bastonner, Mélenchon », évoquant ensuite « une stratégie sur le temps court et une stratégie sur le temps long », vieille antienne frériste. L’appréhension du temps comme éternité invalide nécessairement le narcissisme égotique, fétu de paille à cette échelle métaphysique.

Sans Mélenchon, qui peut dire ce que serait LFI ? Une certitude en revanche, l’islamisme compte nombre de soldats dont l’égo, même hypertrophié, restera toujours subordonné à la finalité du califat, elle-même comprise comme mise en place terrestre de l’ordre métaphysique d’Allah. Là réside la supériorité de l’islam sur le gauchisme : dans la certitude absolue de la légitimité de son objectif, par rapport auquel l’individu n’est rien, sinon un moyen passager et remplaçable. À contrario, parmi les ténors non musulmans de LFI, qui croit vraiment en la raison d’être supposée du parti ? Qui croit vraiment en la révolution ? La réponse est dans la question.

 
Retour
Haut