amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Frère cadet de l'actuel président dont il est très proche, Saïd Bouteflika, âgé de 52 ans, sapprête à lancer sa propre formation politique.
Une source proche des initiateurs du projet évoque la tenue du premier congrès constitutif dès l'automne prochain. Pour Le Quotidien d'Oran , il s'agit d'un nouveau parti politique sur lequel devrait s'appuyer Saïd Bouteflika pour succéder à son frère en 2014.
Linformation selon laquelle, Saïd Bouteflika, le frère cadet du président Abdelaziz a entamé des consultations en vue de fonder un parti politique, circulait à Alger depuis quelques semaines déjà.
Elle vient dêtre éventée par la presse sans susciter la moindre réaction de lintéressé. Danciens militants du FLN confirment que des cadres universitaires ont été approchés par Saïd Bouteflika et quau moins trois rencontres préliminaires se sont déjà tenues à Alger.
Dans les cercles des trois partis de lalliance présidentielle, le FLN (Front de libération nationale), le RND (Rassemblement national démocratique) et le MSP (Mouvement de la société pour la paix), qui ont politiquement cautionné le troisième mandat dAbdelaziz Bouteflika, on ne veut pas prendre ce projet au sérieux.
Divers quotidiens notent toutefois que Saïd Bouteflika est actuellement très courtisé par des personnalités politiques, médiatiques et économiques. Pour certains, il représente le véritable pouvoir depuis la maladie de son frère, hospitalisé à Paris fin 2005. Et l'homme ne tait pas ses ambitions présidentielles.
On comprendrait mieux alors les appels répétés à des législatives anticipées. Elles seraient loccasion pour ce futur nouveau parti, qui aurait comme nom «Génération libre», de passer son premier test électoral et éventuellement de chambouler le paysage politique.
Source : RFI
Une source proche des initiateurs du projet évoque la tenue du premier congrès constitutif dès l'automne prochain. Pour Le Quotidien d'Oran , il s'agit d'un nouveau parti politique sur lequel devrait s'appuyer Saïd Bouteflika pour succéder à son frère en 2014.
Linformation selon laquelle, Saïd Bouteflika, le frère cadet du président Abdelaziz a entamé des consultations en vue de fonder un parti politique, circulait à Alger depuis quelques semaines déjà.
Elle vient dêtre éventée par la presse sans susciter la moindre réaction de lintéressé. Danciens militants du FLN confirment que des cadres universitaires ont été approchés par Saïd Bouteflika et quau moins trois rencontres préliminaires se sont déjà tenues à Alger.
Dans les cercles des trois partis de lalliance présidentielle, le FLN (Front de libération nationale), le RND (Rassemblement national démocratique) et le MSP (Mouvement de la société pour la paix), qui ont politiquement cautionné le troisième mandat dAbdelaziz Bouteflika, on ne veut pas prendre ce projet au sérieux.
Divers quotidiens notent toutefois que Saïd Bouteflika est actuellement très courtisé par des personnalités politiques, médiatiques et économiques. Pour certains, il représente le véritable pouvoir depuis la maladie de son frère, hospitalisé à Paris fin 2005. Et l'homme ne tait pas ses ambitions présidentielles.
On comprendrait mieux alors les appels répétés à des législatives anticipées. Elles seraient loccasion pour ce futur nouveau parti, qui aurait comme nom «Génération libre», de passer son premier test électoral et éventuellement de chambouler le paysage politique.
Source : RFI