Algérie: Le ministre des Affaires religieuses interdit la prière dans les endroits publics
Le ministre algérien des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a procédé à linterdiction de pratiquer la prière, celle du vendredi notamment, en des endroits publics, situés, essentiellement, à proximité des mosquées.
« Seul lintérieur des mosquées est fait pour les prières et si celui-ci est rempli de pratiquants, les autres fidèles nont quà prier chez eux et non pas dehors » annonce le ministre qui compte mettre terme à cette pratique à laquelle recourent les fidèles, essentiellement les vendredis, en raison de l'espace des mosquées qui demeurent trop restreint pour contenir le nombre des fidèles qui augmente le vendredi.
Le ministre semble, ainsi, être la personne à avoir inspiré les propos de Marine Le Pen, fille du leader du Front National français, qui avait comparé, récemment, les prières des musulmans dans les endroits publics à l'occupation.
Cette interdiction du ministre algérien, publiée par le quotidien Le Temps d'Algérie a été reprise par la presse française( http://www.nationspresse.info/?p=118767 ) comme pour justifier les propos de Marine Le Pen.
Le ministre algérien des Affaires religieuses et des Wakfs, Bouabdallah Ghlamallah, a procédé à linterdiction de pratiquer la prière, celle du vendredi notamment, en des endroits publics, situés, essentiellement, à proximité des mosquées.
« Seul lintérieur des mosquées est fait pour les prières et si celui-ci est rempli de pratiquants, les autres fidèles nont quà prier chez eux et non pas dehors » annonce le ministre qui compte mettre terme à cette pratique à laquelle recourent les fidèles, essentiellement les vendredis, en raison de l'espace des mosquées qui demeurent trop restreint pour contenir le nombre des fidèles qui augmente le vendredi.
Le ministre semble, ainsi, être la personne à avoir inspiré les propos de Marine Le Pen, fille du leader du Front National français, qui avait comparé, récemment, les prières des musulmans dans les endroits publics à l'occupation.
Cette interdiction du ministre algérien, publiée par le quotidien Le Temps d'Algérie a été reprise par la presse française( http://www.nationspresse.info/?p=118767 ) comme pour justifier les propos de Marine Le Pen.