Il faut comprendre que celui qui na pas de passé, et ne sen rappelle pas, na pas à mon avis davenir, car parler et se rappeler de son passé cest aussi savoir quon a en nous, acquis une belle connaissance des choses, du monde, et des gens. Parler de nos souvenirs même s'ils sont douloureux, et les mettre sur papiers, peut faire penser que nous sommes tombés dans une souffrance dont on ne peut sortir. Cela est faut, sil est vrai que ce que parfois jécris est triste, il en demeure pas moins que je ne raconte que ce qui fut et pour moi ce qui fut, a été beau, magique, je parle dune période où nous les pieds noirs avec nos défauts et qualités, étions une véritable société, une véritable civilisation à part entière de par notre diversité culturelle, notre langage, nos coutumes, et notre façon de vivre, et si à lécole on nous apprenait, notre pays la France, il faut bien reconnaître que la France cétait bien loin, et dailleurs lorsque en France pour notre malheur il a fallut y aller, pour moi je me retrouvais à létranger.
Ce qui a fait de moi ce que je suis, un pied noir avec une éducation, une structure, et des valeurs je le dois à la belle éducation reçue de mes parents qui tout en étant des gens simples mont inculqué la vie. Et parfois à coup de coups de pieds au *** ou de claques sur la figure. Cela ne ma pas tué bien au contraire je les en remercie, car quand on disait, à table pour manger ce qui s'y trouvait, ça ne se discutait pas, ou on se prenait une tréaa, et quand notre père y nous donnait une tréa on le trainait pas en justice comme font les enfants maintenant car on sen reprenait une autre, de toute façon ça ne nous aurait même pas venu à l'esprit, mais comme la famille se faisait bien présente, et nous donnait à chaque regard de l'amour; alors tout se transformait, en féerie.
J'ai souvent entendu dire des pieds-noirs, "je donnerais tout ce que j'ai pour retrouver l'Algérie de notre enfance" j'ignore jusqu'où ils sont sincères , car c'est eux qui le disent, eh oui !! Mais moi je peux le dire, car je sais que cela est vrai, ce qui me permet de continuer le chemin, c'est cette belle vie que j'ai eu en Algérie, dans mon pays, car l'Algérie cest mon pays, cest ma patrie, sans aucun doute une vie pauvre, de pauvreté, mais tellement entourée d'amour, où la famille voulait dire LA FAMILLE, où nous avions des dizaines d'oncles et de tantes et de cousins, même si des fois c'était pas des vrais, mais on les appelaient, tonton et tata, et ça nous prenait dans leur bras.
Oui, ne jamais oublier que nous sommes de fiers pieds noirs, et à chaque fois que l'on dit Pied noir je relève la tête.
Oui vive l'ALGÉRIE.
Ma belle villa les trois mousquetaires je t'oublierai jamais.
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Quand je vois les enfants d'aujourd'hui tout ce qu'ils ont comme cadeaux, je me dis en bon citoyen canadien que je suis devenu sur papier, "tabarnacle!! sa s'peut tu?" j'en avais pas le centième , mais moi je me rappelle de mes jouets, comme si c'était hier, car jen ai pas eu beaucoup et encore je sais que ma maman mon jouet de Noël elle l'achetait à crédit en rognant tous les autres mois de l'année sur les sous pour la nourriture. Pour que nous ayons aussi un jouet à montrer dans la rue le lendemain de Noël. Je regarde les enfants maintenant, au bout de une semaine, tout est brisé et relégué dans un coin, j'ai un grand cri "où es tu mon enfance? Où es tu mon Algérie?".
Ce qui a fait de moi ce que je suis, un pied noir avec une éducation, une structure, et des valeurs je le dois à la belle éducation reçue de mes parents qui tout en étant des gens simples mont inculqué la vie. Et parfois à coup de coups de pieds au *** ou de claques sur la figure. Cela ne ma pas tué bien au contraire je les en remercie, car quand on disait, à table pour manger ce qui s'y trouvait, ça ne se discutait pas, ou on se prenait une tréaa, et quand notre père y nous donnait une tréa on le trainait pas en justice comme font les enfants maintenant car on sen reprenait une autre, de toute façon ça ne nous aurait même pas venu à l'esprit, mais comme la famille se faisait bien présente, et nous donnait à chaque regard de l'amour; alors tout se transformait, en féerie.
J'ai souvent entendu dire des pieds-noirs, "je donnerais tout ce que j'ai pour retrouver l'Algérie de notre enfance" j'ignore jusqu'où ils sont sincères , car c'est eux qui le disent, eh oui !! Mais moi je peux le dire, car je sais que cela est vrai, ce qui me permet de continuer le chemin, c'est cette belle vie que j'ai eu en Algérie, dans mon pays, car l'Algérie cest mon pays, cest ma patrie, sans aucun doute une vie pauvre, de pauvreté, mais tellement entourée d'amour, où la famille voulait dire LA FAMILLE, où nous avions des dizaines d'oncles et de tantes et de cousins, même si des fois c'était pas des vrais, mais on les appelaient, tonton et tata, et ça nous prenait dans leur bras.
Oui, ne jamais oublier que nous sommes de fiers pieds noirs, et à chaque fois que l'on dit Pied noir je relève la tête.
Oui vive l'ALGÉRIE.
Ma belle villa les trois mousquetaires je t'oublierai jamais.
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Quand je vois les enfants d'aujourd'hui tout ce qu'ils ont comme cadeaux, je me dis en bon citoyen canadien que je suis devenu sur papier, "tabarnacle!! sa s'peut tu?" j'en avais pas le centième , mais moi je me rappelle de mes jouets, comme si c'était hier, car jen ai pas eu beaucoup et encore je sais que ma maman mon jouet de Noël elle l'achetait à crédit en rognant tous les autres mois de l'année sur les sous pour la nourriture. Pour que nous ayons aussi un jouet à montrer dans la rue le lendemain de Noël. Je regarde les enfants maintenant, au bout de une semaine, tout est brisé et relégué dans un coin, j'ai un grand cri "où es tu mon enfance? Où es tu mon Algérie?".