Plusieurs journaux algériens (dont le journal algérien francophone El Watan) , avaient publié des articles sur la liberté de la presse au Maroc (souvent peu sympathiques ou bien exagérés pour d'autres) lorsque celui-ci avait renvoyé des journalistes français venus faire un reportage au Maroc sans accréditation officielle, chose que ces journalises français avaient reconnus.
Mais, en Mars 2015, qu'en est-il de la situation de la liberté de la presse et des journalistes accrédités dans ce pays qui bien souvent s'érige en donneur de leçons ?
A la lecture de ces articles, 3 citations viennent à l'esprit :
1) Charité bien ordonnée commence par soi-même
2) C'est l'hôpital qui se fout de la charité
3) Dkhoul sok rassek
Bref, pour vous faire votre propre idée, ci-dessous les copier coller d'articles du Journal algérien El Watan
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1er article du 14.03.2015 : les journalistes accrédités sommés de «rentrer dans le rang» Un nouveau pas dans la censure.
Le ministre de la Communication part en guerre contre la critique.
Ce qu’il appelle, depuis sa nomination post-quatrième mandat, «la professionnalisation de la presse» s’avère une œuvre d’assujettissement de la presse et de musellement de la liberté d’expression.
Dans une déclaration faite jeudi, après les pressions exercées sur la presse nationale, Hamid Grine s’en prend cette fois aux correspondants de la presse étrangère.
Sous la noble bannière de «l’éthique et la déontologie», le ministre distille pourtant injonctions et oukases pour réduire les espaces de liberté et assène coup sur coup aux médias n’entrant pas dans le moule du quatrième mandat.
«L’Etat algérien a le droit de ne pas renouveler l’accréditation des correspondants des chaînes et des journaux étrangers qui insultent, diffament ou usent de violence verbale ou écrite», a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse tenue jeudi dernier. Il a ajouté que «les correspondants étrangers doivent respecter les règles».
Et de préciser : «Nous concrétiserons le projet du président de la République relatif à la professionnalisation de la presse, quelles que soient les circonstances.»
Après que Abdelaziz Bouteflika ait affirmé être le rédacteur en chef de la télévision et de l’APS, l’ancien journaliste et chargé de communication de Djezzy, Hamid Grine, se veut le rédacteur en chef de toute la presse sans exception, décidant de ce qui doit être dit ou écrit et sous quel angle.
Ainsi, après avoir exercé des pressions sur les annonceurs en vue d’étouffer financièrement les journaux insoumis au diktat de la ligne éditoriale du quatrième mandat, Grine menace les correspondants de la presse étrangère d’user du couperet de la censure.
Mais, en Mars 2015, qu'en est-il de la situation de la liberté de la presse et des journalistes accrédités dans ce pays qui bien souvent s'érige en donneur de leçons ?
A la lecture de ces articles, 3 citations viennent à l'esprit :
1) Charité bien ordonnée commence par soi-même
2) C'est l'hôpital qui se fout de la charité
3) Dkhoul sok rassek
Bref, pour vous faire votre propre idée, ci-dessous les copier coller d'articles du Journal algérien El Watan
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1er article du 14.03.2015 : les journalistes accrédités sommés de «rentrer dans le rang» Un nouveau pas dans la censure.
Le ministre de la Communication part en guerre contre la critique.
Ce qu’il appelle, depuis sa nomination post-quatrième mandat, «la professionnalisation de la presse» s’avère une œuvre d’assujettissement de la presse et de musellement de la liberté d’expression.
Dans une déclaration faite jeudi, après les pressions exercées sur la presse nationale, Hamid Grine s’en prend cette fois aux correspondants de la presse étrangère.
Sous la noble bannière de «l’éthique et la déontologie», le ministre distille pourtant injonctions et oukases pour réduire les espaces de liberté et assène coup sur coup aux médias n’entrant pas dans le moule du quatrième mandat.
«L’Etat algérien a le droit de ne pas renouveler l’accréditation des correspondants des chaînes et des journaux étrangers qui insultent, diffament ou usent de violence verbale ou écrite», a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse tenue jeudi dernier. Il a ajouté que «les correspondants étrangers doivent respecter les règles».
Et de préciser : «Nous concrétiserons le projet du président de la République relatif à la professionnalisation de la presse, quelles que soient les circonstances.»
Après que Abdelaziz Bouteflika ait affirmé être le rédacteur en chef de la télévision et de l’APS, l’ancien journaliste et chargé de communication de Djezzy, Hamid Grine, se veut le rédacteur en chef de toute la presse sans exception, décidant de ce qui doit être dit ou écrit et sous quel angle.
Ainsi, après avoir exercé des pressions sur les annonceurs en vue d’étouffer financièrement les journaux insoumis au diktat de la ligne éditoriale du quatrième mandat, Grine menace les correspondants de la presse étrangère d’user du couperet de la censure.
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