Algérie: Plus de 40 médias étrangers autorisés pour couvrir la marche du 12 février

Pasdetahleb

I'am not far ! =)
Le gouvernement accorde massivement des visas aux journalistes

C'est du jamais vu en dehors des périodes d’élections présidentielles. Selon nos informations, plus de 40 journalistes étrangers ont été autorisés à venir à Alger à l’occasion de la marche du 12 février de la CNCD. Même des journalistes qui n’avaient pas obtenu de visas pour l’Algérie depuis de nombreuses années ont vu leur demande satisfaite. Dans certains cas, les journalistes ont obtenu leurs visas alors qu’ils n’avaient pas répondu favorablement à des demandes du ministère de la Communication concernant par exemple les synopsis de leurs tournages en Algérie.

En fait, toutes les demandes ont été satisfaites, selon notre source. « C’est une décision du Premier ministre Ouyahia », explique cette source, sans donner plus de détails concernant les motivations du gouvernement. Habituellement, les autorités évitent en effet d’inviter la presse étrangère durant des périodes de tension comme les marches populaires. Cette fois, elles jouent la carte de la transparence et de l’ouverture. Les couvertures consacrées par la presse étrangère notamment françaises sur la situation en Algérie et les risques de contagion des révolutions tunisiennes et égyptiennes ont agacé les responsables politiques algériens.

TSA
 
Le gouvernement accorde massivement des visas aux journalistes

C'est du jamais vu en dehors des périodes d’élections présidentielles. Selon nos informations, plus de 40 journalistes étrangers ont été autorisés à venir à Alger à l’occasion de la marche du 12 février de la CNCD. Même des journalistes qui n’avaient pas obtenu de visas pour l’Algérie depuis de nombreuses années ont vu leur demande satisfaite. Dans certains cas, les journalistes ont obtenu leurs visas alors qu’ils n’avaient pas répondu favorablement à des demandes du ministère de la Communication concernant par exemple les synopsis de leurs tournages en Algérie.

En fait, toutes les demandes ont été satisfaites, selon notre source. « C’est une décision du Premier ministre Ouyahia », explique cette source, sans donner plus de détails concernant les motivations du gouvernement. Habituellement, les autorités évitent en effet d’inviter la presse étrangère durant des périodes de tension comme les marches populaires. Cette fois, elles jouent la carte de la transparence et de l’ouverture. Les couvertures consacrées par la presse étrangère notamment françaises sur la situation en Algérie et les risques de contagion des révolutions tunisiennes et égyptiennes ont agacé les responsables politiques algériens.

TSA
Ouais facile d'un côté on accorde des accréditations, de l'autre on neutralise les transports pour que les manifestants ne puissent se rendre à Alger pour cette marche......comme ça on dira, vous voyez il n' y avait pas grand monde à cette marche.....la dimocratie à l'Algérienne....Apparement pas de train ni de bus pour se rendre à Alger....
 
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