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Ces des nazillons likoudnik, qui profitent de la misère des allemands en occupant un marché vide comme le font les autres formation de meme type partout en Europe et sur le meme modèle de soumission au Likoud.
Tout cela c'est du contrôle de populace, le régime propose à une catégorie du peuple un parti dans lequel ce dernier va croire et le tour est joué.
Aucun partie anti système ne peut voir le jour en démocratie, tout est opposition contrôlée et la patronne des nazillons extremes allemand incarne parfaitement ce que je dis : lesbienne, vivant avec une sri-lankaise dans un pays étranger (la Suisse) avec enfants adoptés. Ils se sont meme pas donné la peine de faire un casting cohérent, le marché électoral qu'ils visent est de toute façon le plus abruti d'Europe.
ça pue zion de très loin!Quand on sait que la candidate la plus emblematique est une ancienne cadre de Goldman Sachs...on voit qui elle va servir...
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Y a un truc que l'on retrouve dans toute l'extreme droite soumise et validé par le likoud en UE, un top management majoritairement ou partiellement lgbtqrs.Pour Alice Weidel, l’AfD n’a «rien de commun avec Adolf Hitler».
C’était justement lors d’une conversation avec Elon Musk, diffusée en direct sur sa plateforme X, où elle assurait, à rebours de ce qu’ont documenté en long, en large et en travers les historiens, que Hitler «était un communiste et qu’il se considérait comme un socialiste»
Qu’importe leurs idées, que ce parti, fondé en 2013, l’ait été par des néonazis nostalgiques du troisième Reich.
L’important, pour Alice Weidel, c’est de parler aux électeurs déçus d’une Allemagne en crise de modèle.
Affaiblie par la baisse des exportations de son industrie et la hausse des prix de l’énergie liée à la guerre en Ukraine.
De rejeter la faute du déclassement de ses citoyens sur les migrants, les éoliennes ou encore la supposée disparition de la liberté d’expression – autre point sur lequel elle assure se distinguer du Fürher «qui l’avait supprimée».
Dans la bouche de cette ancienne banquière de Goldman Sachs, qui réside en Suisse avec sa compagne d’origine sri-lankaise et leurs deux enfants, cela peut paraître paradoxal.
Et pourtant, cela colle parfaitement avec l’évolution récente de l’extrême droite mondiale, sa nature néolibérale – qu’elle revendique pleinement – et tout à la fois ultra-conservatrice.
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