Les troubles de comportement, les difficultés grandissantes à communiquer, les besoins permanents d’attention, de sécurité et de soins «représentent une lourde tâche pour celui ou celle qui veille sur la personne atteinte. Cette “mission difficile” peut avoir comme conséquence un découragement moral, voire un épuisement chez l’aidant principal ou soignant familial», avertissent des chercheurs spécialisés. Au Maroc, la famille est abandonnée à son sort, affrontant seule le malade. Et heureusement qu’il y a la famille car son rôle reste d’ailleurs d’une extrême importance, affirment les spécialistes, dans la mesure où le malade a besoin d’affection et de tout ce qui lui rappelle son passé heureux.
L’absence de structures de prise en charge et la famille reste le seul recours.
L’absence de structures de prise en charge et la famille reste le seul recours.