Au Maroc et en Tunisie, la liberté dexpression, dassociation et de réunion restait soumise à des restrictions, note le document. Les médias restaient soumis aussi à de sévères restrictions. Des défenseurs des droits humains et des journalistes ont été harcelés par les autorités. En Algérie, des musulmans convertis à dautres religions ainsi que des personnes considérées comme ayant dénigré les préceptes de lislam ont fait lobjet de poursuites.
En Tunisie et au Maroc, les forces de sécurité ont fait usage dune force excessive pour disperser des manifestations. En Algérie et au Maroc, des migrants en situation irrégulière ont été arrêtés et incarcérés pour une durée indéterminée.
Au Maroc, certaines allégations de torture nont fait lobjet daucune enquête et les victimes datteintes aux droits humains commises dans le passé navaient pas véritablement accès à la justice, est-il mentionné. En Algérie, des personnes soupçonnées dactes de terrorisme ont été incarcérées sans contact avec le monde extérieur... En Tunisie, des procès débouchaient sur des condamnations à de lourdes peines demprisonnement, fait savoir Amnesty.
En Tunisie et au Maroc, les forces de sécurité ont fait usage dune force excessive pour disperser des manifestations. En Algérie et au Maroc, des migrants en situation irrégulière ont été arrêtés et incarcérés pour une durée indéterminée.
Au Maroc, certaines allégations de torture nont fait lobjet daucune enquête et les victimes datteintes aux droits humains commises dans le passé navaient pas véritablement accès à la justice, est-il mentionné. En Algérie, des personnes soupçonnées dactes de terrorisme ont été incarcérées sans contact avec le monde extérieur... En Tunisie, des procès débouchaient sur des condamnations à de lourdes peines demprisonnement, fait savoir Amnesty.