Vous connaissez?
je decouvre...et j'aime bien le genre...
une petite biographie s'impose :
Anis naît en 1977, à Pontoise, d'un père réfugié marocain et d'une mère d’origine russe. Son prénom et nom de scène signifie dans sa langue paternelle « espoir » ou « compagnon ». Avec une telle identité, il ne peut se plaindre. Son premier album, marqué par son optimisme, s’intitule « La Chance… ». Réalisé par Michel « Mitch » Olivier, mixeur d’Assia ou de Disiz La Peste, il contient du bonheur et l’envie de se sortir des galères, de la légèreté et des thèmes graves, du swing ! Sorti en octobre 2005, en plein incendie des banlieues, son opus aux sonorités blues, jazz et sons non identifiés remonte le moral. En écoutant ce grand admirateur de Tété, on entend la joie résonnée dans les tours de béton, on sent un vent d'évasion. Mais l’enfant de banlieue n’est pas un enfant des cités. S’il parle de sa vie en rose, c'est qu'il a les bonnes lunettes. Il ne cherche pas à minimiser la réalité des barres, des dégradations, des problèmes d'intégration. Il raconte juste son histoire, chanceuse ou plus « relou », à coups de jeux de mots et de mots justes. Anis grandit sous l’influence de Tom Waits et d’Edith Piaf. A l’école, il prend plaisir à chanter au milieu de ses camarades de classe. Ensuite, il y perd son temps. A 17 ans, il quitte donc le lycée, prend quelques cours de piano et joue en autodidacte de la guitare. Reggae, punk, hip-hop : il fait partie de divers groupes de Cergy. Puis il quitte son quartier de la Préfecture pour s’installer à Paris, dans une chambre de bonne. Intérimaire, serveur, déménageur, il se consacre à la musique dans le métro. Repéré dans les lignes souterraines, Anis enregistre une maquette qui circule jusque dans les couloirs de France Inter. Diffusé en radio à l’automne 2003, il fait l’Olympia en première partie de Tété en mai 2004. Fort de son expérience scénique, il part à la conquête des maisons de disques. En mai 2005, il enregistre son premier album dans le studio Gang, à Paris, clouté de disques d’or. Dans l’aura de Michel Berger, Véronique Sanson ou Teri Moïse, il travaille sous la direction de Mitch Olivier. Entre deux prises de voix, Anis boit du lait, heureux de sa séance et attentif à ses cordes vocales. Dans ses chansons chaloupées, dansantes, mais aussi mélancoliques, parfois agrémentées d'un air d'une autre époque, d'un vinyle qui grésille, Anis nous balade dans le flow, dans le métro, et dans un bistrot où son humour fréquente l' "exception culturelle". La clarinette d’André Villégier et le piano soutiennent la nostalgie. La guitare et l’harmonica frénétiques soulignent la concision des formules et la pertinence des mots. Le gospel en chœurs réveille l’âme de blues. Joyeux, « La chance… » contient aussi le spleen de ses parents : un reste de lutte pour l’existence. Optimiste, Anis n’oublie ni ses origines ni l’espoir des émigrés. Sa chance, c'est la nôtre : grâce à elle, on peut écouter ses atmosphères métissées, jamais entendues, et enthousiasmantes !
et bien sur... deux videos que j'ecoute en ce moment meme...^^^
http://www.youtube.com/watch?v=SMASJYgPOIU&feature=channel
sympa sa façon de dire des choses...avec une melodie qui fait sourire, c'est pas trop commun, (comme chez trio)
http://www.youtube.com/watch?v=hTMRnp7_eVU&feature=channel
celle la elle m'a fait rire des le debut....
j'aime aussi l'ambiance des clips ...
vraiment, j'adore.
et vous?
je decouvre...et j'aime bien le genre...
une petite biographie s'impose :
Anis naît en 1977, à Pontoise, d'un père réfugié marocain et d'une mère d’origine russe. Son prénom et nom de scène signifie dans sa langue paternelle « espoir » ou « compagnon ». Avec une telle identité, il ne peut se plaindre. Son premier album, marqué par son optimisme, s’intitule « La Chance… ». Réalisé par Michel « Mitch » Olivier, mixeur d’Assia ou de Disiz La Peste, il contient du bonheur et l’envie de se sortir des galères, de la légèreté et des thèmes graves, du swing ! Sorti en octobre 2005, en plein incendie des banlieues, son opus aux sonorités blues, jazz et sons non identifiés remonte le moral. En écoutant ce grand admirateur de Tété, on entend la joie résonnée dans les tours de béton, on sent un vent d'évasion. Mais l’enfant de banlieue n’est pas un enfant des cités. S’il parle de sa vie en rose, c'est qu'il a les bonnes lunettes. Il ne cherche pas à minimiser la réalité des barres, des dégradations, des problèmes d'intégration. Il raconte juste son histoire, chanceuse ou plus « relou », à coups de jeux de mots et de mots justes. Anis grandit sous l’influence de Tom Waits et d’Edith Piaf. A l’école, il prend plaisir à chanter au milieu de ses camarades de classe. Ensuite, il y perd son temps. A 17 ans, il quitte donc le lycée, prend quelques cours de piano et joue en autodidacte de la guitare. Reggae, punk, hip-hop : il fait partie de divers groupes de Cergy. Puis il quitte son quartier de la Préfecture pour s’installer à Paris, dans une chambre de bonne. Intérimaire, serveur, déménageur, il se consacre à la musique dans le métro. Repéré dans les lignes souterraines, Anis enregistre une maquette qui circule jusque dans les couloirs de France Inter. Diffusé en radio à l’automne 2003, il fait l’Olympia en première partie de Tété en mai 2004. Fort de son expérience scénique, il part à la conquête des maisons de disques. En mai 2005, il enregistre son premier album dans le studio Gang, à Paris, clouté de disques d’or. Dans l’aura de Michel Berger, Véronique Sanson ou Teri Moïse, il travaille sous la direction de Mitch Olivier. Entre deux prises de voix, Anis boit du lait, heureux de sa séance et attentif à ses cordes vocales. Dans ses chansons chaloupées, dansantes, mais aussi mélancoliques, parfois agrémentées d'un air d'une autre époque, d'un vinyle qui grésille, Anis nous balade dans le flow, dans le métro, et dans un bistrot où son humour fréquente l' "exception culturelle". La clarinette d’André Villégier et le piano soutiennent la nostalgie. La guitare et l’harmonica frénétiques soulignent la concision des formules et la pertinence des mots. Le gospel en chœurs réveille l’âme de blues. Joyeux, « La chance… » contient aussi le spleen de ses parents : un reste de lutte pour l’existence. Optimiste, Anis n’oublie ni ses origines ni l’espoir des émigrés. Sa chance, c'est la nôtre : grâce à elle, on peut écouter ses atmosphères métissées, jamais entendues, et enthousiasmantes !
et bien sur... deux videos que j'ecoute en ce moment meme...^^^
http://www.youtube.com/watch?v=SMASJYgPOIU&feature=channel
sympa sa façon de dire des choses...avec une melodie qui fait sourire, c'est pas trop commun, (comme chez trio)
http://www.youtube.com/watch?v=hTMRnp7_eVU&feature=channel
celle la elle m'a fait rire des le debut....
j'aime aussi l'ambiance des clips ...
vraiment, j'adore.
et vous?