Quelque 145 000 propositions de parcours d’accompagnement ont été envoyées aux étudiants sur Parcoursup
Cela pourrait être l’équivalent du « CP à douze » pour la ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal.
Entendez : une mesure recueillant une large adhésion chez les enseignants et marquante auprès du grand public.
Le développement de parcours d’accompagnement et de remise à niveau à l’université, par l’intermédiaire des propositions « oui si » reçues par 145 000 candidats sur la plate-forme d’admission Parcoursup cet été, constitue l’une des principales nouveautés de la loi relative à l’orientation et et à la réussite des étudiants.
Ces nouveaux cursus personnalisés promis aux étudiants les plus fragiles doivent permettre d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement pour cette réforme, telles la lutte contre l’échec en licence et l’ouverture sociale de l’enseignement supérieur.
Mais, derrière l’ambition, la réalité de ces parcours est contrastée pour cette première année de mise en œuvre, alors que la rentrée universitaire est désormais bien entamée. Avec une large palette de dispositifs plus ou moins importants, selon les établissements interrogés par Le Monde.
Si certaines universités, comme Poitiers, ont préféré ne pas proposer cette nouvelle option, pour des raisons de moyens, d’autres, plus nombreuses, s’y sont lancées avec une partie de leurs licences. « Plus de la moitié des universités ont développé des parcours “oui si” », affirme François Germinet, de la Conférence des présidents d’université, qui note déjà de premiers retours positifs, avec une moindre « évaporation des étudiants » ressentie à l’issue du premier mois de cours, où interviennent en général de nombreux abandons. « Mais nous n’avions ni le temps ni les moyens de développer des dispositifs de grande ampleur », souligne-t-il.
Lors de sa conférence de presse de rentrée, Frédérique Vidal a comptabilisé 650 initiatives d’accompagnement
mam
Cela pourrait être l’équivalent du « CP à douze » pour la ministre de l’enseignement supérieur, Frédérique Vidal.
Entendez : une mesure recueillant une large adhésion chez les enseignants et marquante auprès du grand public.
Le développement de parcours d’accompagnement et de remise à niveau à l’université, par l’intermédiaire des propositions « oui si » reçues par 145 000 candidats sur la plate-forme d’admission Parcoursup cet été, constitue l’une des principales nouveautés de la loi relative à l’orientation et et à la réussite des étudiants.
Ces nouveaux cursus personnalisés promis aux étudiants les plus fragiles doivent permettre d’atteindre les objectifs fixés par le gouvernement pour cette réforme, telles la lutte contre l’échec en licence et l’ouverture sociale de l’enseignement supérieur.
Mais, derrière l’ambition, la réalité de ces parcours est contrastée pour cette première année de mise en œuvre, alors que la rentrée universitaire est désormais bien entamée. Avec une large palette de dispositifs plus ou moins importants, selon les établissements interrogés par Le Monde.
Si certaines universités, comme Poitiers, ont préféré ne pas proposer cette nouvelle option, pour des raisons de moyens, d’autres, plus nombreuses, s’y sont lancées avec une partie de leurs licences. « Plus de la moitié des universités ont développé des parcours “oui si” », affirme François Germinet, de la Conférence des présidents d’université, qui note déjà de premiers retours positifs, avec une moindre « évaporation des étudiants » ressentie à l’issue du premier mois de cours, où interviennent en général de nombreux abandons. « Mais nous n’avions ni le temps ni les moyens de développer des dispositifs de grande ampleur », souligne-t-il.
Lors de sa conférence de presse de rentrée, Frédérique Vidal a comptabilisé 650 initiatives d’accompagnement
mam