Appel à exclure la « RASD » de l'Union africaine

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Lors d'un séminaire organisé, en milieu de semaine, par l'Institut Panafricain de Stratégies, un think tank sénégalais, sur le thème « penser la question du Sahara et promouvoir des solutions innovantes », des experts, des personnalités politiques, des universitaires et d'éminents membres de la société civile ouest-africaine ont appelé à la suspension de la « République arabe sahraouie démocratique (RASD) » de l'Union africaine.
Une trentaine d'experts, de personnalités politiques, de membres de groupes de (...)

- Monde / République Arabe Sahraouie démocratique (RASD), Sahara Marocain, Sénégal, Union Africaine (UA)

Appel à exclure la « RASD » de l'Union africaine
 

Adhésion de la “rasd” à l’OUA : une “anomalie historique” que l’UA doit corriger (Député cap-verdien)​




L’adhésion de la pseudo “rasd” à l’Organisation de l’Unité africaine (OUA) est une “anomalie historique” que l’Union africaine (UA) se doit de corriger, a indiqué le député de l’Assemblée nationale du Cap-Vert, Me Hélio Sanches.

“Il s’agit d’une anomalie historique héritée de l’OUA et qui décrédibilise l’Union africaine dans son acte constitutif stipulant qu’elle doit rassembler des Etats indépendants et souverains”, a-t-il déclaré à la MAP, en marge d’un séminaire sous-régional organisé, mercredi à Dakar, par l’Institut panafricain de stratégies (IPS), Think Tank sénégalais, sur le thème “Penser la Question du Sahara et promouvoir des solutions innovantes”.

C’est une “erreur historique” car la “rasd” n’est pas une entité étatique, a-t-il expliqué, ajoutant que juridiquement, un Etat doit avoir trois éléments constitutifs : le territoire, la population et un pouvoir à exercer, “alors que la rasd n’a rien de ces éléments de même qu’elle n’a aucune autorité à faire valoir”.

C’est dire, selon lui, que cette adhésion “a violé la charte de cette Organisation au même titre qu’elle a bafoué le droit international”.
Le Maroc avait pris la “sage” décision de quitter l’Organisation parce qu’il “n’était pas possible de cohabiter dans un bloc continental avec une entité qui n’est pas un Etat et qui, en plus, revendique une partie du territoire marocain”.


Maintenant, a relevé Me Sanchez, il est temps de “corriger cette anomalie historique en reconnaissant qu’effectivement, cette organisation a “commis une erreur historique et juridique car le Maroc a toujours eu un lien de souveraineté avec le Sahara comme prouvé par la Cour internationale de Justice qui a confirmé les liens historiques du Royaume avec le Sahara dont les populations prêtaient allégeance aux Sultans du Maroc”.

D’après le député cap-verdien, corriger c’est aussi “trouver une solution dans laquelle l’Union africaine, qui a succédé à l’OUA, puisse aider l’ONU qui est saisie du dossier à trouver un règlement durable et définitif du dossier”.

La contribution de l’UA à cette question, a insisté Me Sanchez, implique l’expulsion de la “rasd”. “Corriger l’anomalie c’est expulser la rasd”, a-t-il résumé.
“L’expulsion de la rasd de l’UA contribuerait au règlement de la question du Sahara, surtout que le Maroc a présenté une proposition de large autonomie que l’ONU qualifie de sérieuse, crédible et réaliste”.

 
l'anomalie est flagrante au plus haut point, c'était une histoire de bakchich avec le portefeuille de Kadhafi avant qu'il se rétracte.. et surtout des animaux de la junte de l'est hada makan

Sinon faut faire les choses entièrement avec des représentants dont certains beaucoup plus légitime, du Tigré en Ethiopie, du Cabinda en Angola, des Touaregs le MAK, la Casamance au Sénégal, les séparatistes au Congo et la liste est encore très longue, doivent aussi avoir leurs sièges.
 
La suspension, voire l’expulsion de la “rasd” de l’UA, ne doit pas être considérée comme un tabou ou un objectif irréalisable
Actualités

Mercredi 28 Juillet 2021


La suspension, voire l’expulsion de la “rasd” de l’UA, ne doit pas être considérée comme un tabou ou un objectif irréalisable


Medi1News + MAP

La suspension, voire l’expulsion, de la “rasd”, un groupe armé qui n’a pas les attributs d’un Etat souverain, de l’Union africaine (UA) ne doit pas être considérée comme un tabou ou un objectif irréalisable, ont estimé mardi les participants à un séminaire tenu à Accra sous le thème “L’impératif de la relance économique : Comment la résolution de la question du Sahara peut-elle renforcer l’intégration régionale et continentale de l’Afrique”.

Les participants à l’événement organisé par le think tank ghanéen Imani Center for Policy and Education ont critiqué à cet égard l’admission dans l’Organisation de l’unité africaine (OUA), puis son maintien par l’UA, d’une “entité non étatique, qui est depuis une source d’obstructions et de divisions”.

Selon les participants, l’UA devrait corriger cet “héritage encombrant” et cette “erreur historique”, a indiqué, dans un communiqué, l’Imani Center for Policy and Education. Ainsi, la suspension, voire l’expulsion, de la “rasd”, un groupe armé n’ayant aucun des attributs d’un État souverain, ne doit pas être considérée comme un tabou ou un objectif hors de portée, ont-ils souligné.
“Sa réalisation ne se veut pas une ambition exclusivement marocaine, mais une ambition qui pousse les États africains à mettre fin aux divisions superflues, et à arrêter l’instrumentalisation d’une organisation censée servir un idéal et un objectif panafricain.” Les participants à l’événement ont déclaré que les blocages politiques, tels que la question du Sahara, constituent aujourd’hui un obstacle majeur à l’intégration économique de l’Afrique.

Ils ont souligné, en ce sens, la nécessité de trouver une solution réaliste et définitive à ce différend de longue date, qui ne peut que constituer une percée dans la consolidation régionale et continentale de l’Afrique, surtout dans le contexte actuel, marqué par l’urgence induite par les répercussions économiques et sociales de la pandémie du COVID-19.
Plusieurs participants ont affirmé que la résolution de la question du Sahara est une étape nécessaire pour renforcer l’intégration économique du continent, compte tenu de sa dynamique actuelle marquée par l’exclusivité du processus des Nations Unies et la prééminence du plan d’autonomie marocain comme solution politique “sincère, réaliste, crédible et inclusive”.
 
Dans le contexte actuel, marqué par l’urgence de la relance économique – pour l’unité, l’intégration et la sécurité globale du continent – le récent incident de Guerguerat démontre la nécessité de dépasser les blocages politiques et les positions idéologiques improductives, ont-ils souligné.
Les participants ont analysé en détail l’obstruction pendant trois semaines par le Polisario d’une route vitale et stratégique – reliant l’Europe, l’Afrique du Nord et l’Afrique de l’Ouest – qui a mis en danger les pays voisins, la région et la sécurité économique de tout le continent. Cet incident a également mis en évidence l’importance et le poids de la coopération entre le Maroc et les pays d’Afrique de l’Ouest, a-t-on ajouté.
Par ailleurs, les participants ont passé en revue les solutions dont dispose l’UA pour rééquilibrer sa position sur la question et jouer pleinement son rôle de neutralité en contribuant à promouvoir une solution durable à un différend qui entrave le fonctionnement de l’UA ainsi que l’intégration globale du continent.

Reconnaissant la dynamique actuelle autour de la question du Sahara, les participants ont relevé que le processus du Conseil de sécurité des Nations Unies pourrait être soutenu par la contribution du Ghana pour atteindre une solution finale et réaliste, à la lumière de son prochain statut de membre non permanent du Conseil de sécurité.
Cet événement a rassemblé plusieurs parties prenantes ghanéennes et ouest-africaines, notamment d’éminents décideurs politiques, des experts, des universitaires, des chefs d’entreprise, des représentants de groupes de réflexion et de la société civile de Gambie, du Ghana, du Liberia, du Nigeria et du Sénégal.

Le séminaire visait à débattre et à discuter des défis actuels de l’UA de manière objective, scientifique et impartiale, dans le cadre d’un exercice hautement intellectuel et basé sur les faits, avec des experts crédibles et des décideurs influents. Accra étant l’hôte du secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA), les discussions ont porté sur les défis de l’intégration économique régionale et continentale, avec un accent particulier sur le rôle des communautés économiques régionales.
Les participants ont souligné l’urgence d’une telle intégration et ont appelé à la mise en œuvre complète de la ZLECA et à sa protection contre tout blocage qui entrave l’idéal d’intégration du continent sur le terrain, comme l’a affirmé et soutenu l’UA.
Alors que l’intégration économique représente une urgence et une étape majeure dans la consolidation et le développement de l’Afrique, elle serait mise en péril si l’UA ne rationalise pas son architecture institutionnelle.
Selon les débats, la consolidation d’une telle architecture impose à l’UA d’achever sa réforme institutionnelle et de renforcer sa résilience face aux agendas séparatistes et sécessionnistes, qui constituent une menace réelle dans de nombreux pays africains.

UA
 
Dans le contexte actuel, marqué par l’urgence de la relance économique – pour l’unité, l’intégration et la sécurité globale du continent – le récent incident de Guerguerat démontre la nécessité de dépasser les blocages politiques et les positions idéologiques improductives, ont-ils souligné.
Les participants ont analysé en détail l’obstruction pendant trois semaines par le Polisario d’une route vitale et stratégique – reliant l’Europe, l’Afrique du Nord et l’Afrique de l’Ouest – qui a mis en danger les pays voisins, la région et la sécurité économique de tout le continent. Cet incident a également mis en évidence l’importance et le poids de la coopération entre le Maroc et les pays d’Afrique de l’Ouest, a-t-on ajouté.
Par ailleurs, les participants ont passé en revue les solutions dont dispose l’UA pour rééquilibrer sa position sur la question et jouer pleinement son rôle de neutralité en contribuant à promouvoir une solution durable à un différend qui entrave le fonctionnement de l’UA ainsi que l’intégration globale du continent.

Reconnaissant la dynamique actuelle autour de la question du Sahara, les participants ont relevé que le processus du Conseil de sécurité des Nations Unies pourrait être soutenu par la contribution du Ghana pour atteindre une solution finale et réaliste, à la lumière de son prochain statut de membre non permanent du Conseil de sécurité.
Cet événement a rassemblé plusieurs parties prenantes ghanéennes et ouest-africaines, notamment d’éminents décideurs politiques, des experts, des universitaires, des chefs d’entreprise, des représentants de groupes de réflexion et de la société civile de Gambie, du Ghana, du Liberia, du Nigeria et du Sénégal.

Le séminaire visait à débattre et à discuter des défis actuels de l’UA de manière objective, scientifique et impartiale, dans le cadre d’un exercice hautement intellectuel et basé sur les faits, avec des experts crédibles et des décideurs influents. Accra étant l’hôte du secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA), les discussions ont porté sur les défis de l’intégration économique régionale et continentale, avec un accent particulier sur le rôle des communautés économiques régionales.
Les participants ont souligné l’urgence d’une telle intégration et ont appelé à la mise en œuvre complète de la ZLECA et à sa protection contre tout blocage qui entrave l’idéal d’intégration du continent sur le terrain, comme l’a affirmé et soutenu l’UA.
Alors que l’intégration économique représente une urgence et une étape majeure dans la consolidation et le développement de l’Afrique, elle serait mise en péril si l’UA ne rationalise pas son architecture institutionnelle.
Selon les débats, la consolidation d’une telle architecture impose à l’UA d’achever sa réforme institutionnelle et de renforcer sa résilience face aux agendas séparatistes et sécessionnistes, qui constituent une menace réelle dans de nombreux pays africains.

UA
Les vieux papy n'ont plus le moyen d' entrenir la fidélité des Républiques bannières à coup de Petrodinards..!! giphy (2).gif
 
Lors d'un séminaire organisé, en milieu de semaine, par l'Institut Panafricain de Stratégies, un think tank sénégalais, sur le thème « penser la question du Sahara et promouvoir des solutions innovantes », des experts, des personnalités politiques, des universitaires et d'éminents membres de la société civile ouest-africaine ont appelé à la suspension de la « République arabe sahraouie démocratique (RASD) » de l'Union africaine.
Une trentaine d'experts, de personnalités politiques, de membres de groupes de (...)

- Monde / République Arabe Sahraouie démocratique (RASD), Sahara Marocain, Sénégal, Union Africaine (UA)

Appel à exclure la « RASD » de l'Union africaine


union africaine, rasd, maroc, algérie,senagal, mauritanie, mali, lybie, egypte, et toutes les autres entités fabriquées par les envahisseurs ( en fait toutes les frontières fantoches politiques), se disputent entre elles, c'est comique, aucune d'elle n'a de légitimité, elles sont toutes dans un jeu fixé par leurs envahisseurs et se plaisent dans cette cage dorée, tout en s'insultant et bombant leur frêle torse les unes contre les autres, en faisant du sr place pendant que leurs envahisseurs de leur côté avancent.
 
Retour
Haut