Après Benalal, sekakki...

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La terreur des flics s'évade(24/07/2009)


Ashraf Sekkaki et 2 autres détenus ont fui hier de la prison de Bruges en hélicoptère. Le ministre De Clerck annonce des mesures à court terme


BRUGES Trois détenus se sont évadés jeudi de la prison de Bruges. Il s'agit de Mohammed Johry, Abdel Had Kahjary Mulloul et Ashraf Sekkaki. Selon le procureur de Bruges Marc Florens, tous les trois ont un passé judiciaire assez chargé.

Un couple , qui avait loué un hélicoptère de tourisme, a contraint le pilote à se poser dans la cour intérieure de la prison. L'appareil a pris les détenus à son bord avant de prendre la fuite. Un homme qui avait pris part au détournement de l'appareil n'a toutefois pas pu embarquer et a été capturé.

L'hélicoptère a été retrouvé dans les environs de la E40 à Aalter. Les malfrats ont ensuite carjacké une femme, qu'ils ont prise en otage avant de l'abandonner à Melle. Ils se seraient enfuis en direction de la côte belge à bord d'une Mercedes noire.

Bien connu en région flamande, Ashraf Sekkaki compte 16 faits de violence à son actif, dont plusieurs tiger-kidnappings. Il s'est déjà échappé de la prison de Turnhout en septembre 2003, pour une cavale qui avait duré cinq mois. Malgré son jeune âge, il totalise dix années d'enfermement. Il est décrit comme particulièrement brutal, ce qui lui a valu le surnom de terreur des flics (en néerlandais: de schrik van de flikken).

Sekkaki a séjourné dans la zone de haute sécurité de la prison de Bruges qui est protégée par des filets. Mais les détenus ne peuvent pas y rester en permanence et Sekkaki était donc repassé dans une section moins stricte dans laquelle la zone de promenade n'est pas pourvue de filets.

L'homme avait déclaré voici quelques mois que la vie en haute sécurité à Bruges était comparable au centre de Guantanamo.

Selon le porte-parole du ministre de la Justice, "aucune violence excessive" n'a été utilisée lors de l'évasion d'hier et "personne n'a été gravement blessé".




Pas d'arme retrouvée mais le complice sous mandat



La fouille de la prison de Bruges entamée vendredi matin afin de retrouver une arme n'a pas livré de résultat. Le complice de 22 ans qui avait dû rester dans la cour intérieure de la prison pour permettre à l'hélicoptère de repartir a été placé vendredi après-midi sous mandat d'arrêt. Il compraîtra mardi en chambre du conseil. Selon le parquet de Bruges, l'objet qui avait été brandi par un détenu avant que l'appareil n'atterrisse dans la cour de l'établissement pénitentiaire ne serait pas une arme mais une pièce de vêtement. Aucun témoin de la scène n'a pu confirmer avoir réellement aperçu une arme. La fouille de la prison n'a pas non plus donné de résultat.



© La Dernière Heure 2009





Triple évasion à Bruges: le parquet demande arrestation du complice(24/07/2009)
Lire aussiEvasions de Bruges - Pilote : "C'était comme dans un film"

La terreur des flics s'évade

Prison gantoise sous surveillance après l'évasion de Bruges

Le complice, qui avait contrait le pilote d'un hélicoptère à se poser dans le cour intérieure de la prison, était resté, dans des circonstances qui restent à établir, dans la cour, après le départ de l'appareil



BRUGES Le parquet de Bruges a demandé vendredi l'arrestation de l'homme de 22 ans, complice de l'évasion de trois détenus de la prison de Bruges jeudi, pour prise d'otage.

Le complice qui, en compagnie d'une femme, avait contrait le pilote d'un hélicoptère à se poser dans le cour intérieure de la prison, ce qui avait permis à trois détenus de monter à bord, était resté, dans des circonstances qui restent à établir, dans la cour, après le départ de l'appareil. C'est ce qu'a indiqué vendredi le parquet qui a aussi précisé que trois et non deux complices au total auraient été impliqués dans la triple évasion.

Le jeune homme de 22 ans a été présenté vendredi au juge d'instruction. Il aurait contraint, avec une femme, mais aussi avec un autre homme, le pilote d'hélicoptère à se poser dans le cour de la prison, jeudi vers 17H40. Ces trois complices de l'évasion étaient alors à bord de l'appareil conduit par le pilote. L'identité du jeune homme, qui est resté dans le cour dans des circonstances qui doivent encore être déterminées avec précision, n'a pour l'instant pas été révélée.

Le parquet de Bruges a par ailleurs confirmé que Ashraf Sekkaki, Mohammed Johri et Abdelhaq Melloul-Khayari sont toujours en fuite.

Vendredi matin, une réunion s'est déroulée à Bruges rassemblant les différents services qui travaillent sur l'enquête.

Le porte-parole du syndicat chrétien CSC Luc Neyrinck a pour sa part précisé que les gardiens de la prison de Bruges ont repris leur service normalement vendredi matin, démentant ainsi des rumeurs de grève dans l'établissement où s'est déroulée cette triple évasion.


© La Dernière Heure 2009
 
j ai lu que dans la presse flamande (le soit disant de morgen progressiste) on insiste sur l origine marocaine de l un ou l autre evadé....

Pourtant ils sont tous nées en Belgique, grandi en Belgique et on eu une education dans les ecoles belges.... je suis sûr qu ils ont ete moins à l etranger en vacance ou pour un stage ou pour un job :D que la moyenne belge, ce sont donc des belges pur crû....


Alors pourquoi que a chaque fois que il y a quelque chose de negatif la presse flamande insiste sur l origine ethnique de la personne?
 
La justice voulait donner une chance à SekkakiBELGA

samedi 25 juillet 2009, 16:06

Évasion en hélicoptère Pour la première fois en dix ans, la justice semblait vouloir donner sa chance à Ashraf Sekkaki, un des trois détenus qui se sont évadés en hélicoptère de la prison de Bruges jeudi soir. C’est ce qui ressort d’un récent rapport du service psychosocial de la prison de Bruges.
Ashraf Sekkaki,©Belga
« Nous souhaitons une approche pas à pas dans laquelle il se maintient plus longtemps dans un régime normal », peut-on lire dans ce rapport sur Sekkaki relayé par De Morgen.

Le rapport qualifie de « prématurée » une libération conditionnelle.

Les auteurs du rapport évoquent le vécu de Sekkaki qui a développé, lorsqu’il était enfant, une double identité : fils modèle à la maison mais désœuvré traînant dans les rues hors du cadre familial. À treize ans, il est placé une première fois sous surveillance par le tribunal de la jeunesse de Malines pour « racket, vol avec effraction ou escalade et détention d’armes prohibées ». Fin 1998, il est détenu pour la première fois dans une institution fermée. En 1999, alors qu’il a seize ans, il entre pour la première fois en prison[/B]:eek:. En 2002, il est interné.

« Maintenir l’intéressé en détention pour une période indéterminée, sans envisager son avenir, revient à prévoir de sérieux problèmes en prison ou à l’extérieur, s’il devait parvenir à s’évader. Lui faire partager la responsabilité, avec un très fort contrôle, offre davantage d’issues à long terme », avait écrit un expert psychiatre en 1996. Le récent rapport concernant Sekkaki souligne cette analyse.

(D’après Belga)
 
il a ete mis en prison à 16 ans? :eek: je pensais qiue c etait que a partir de 18 ans qu on pouvait emprisonner les gens?


puis il a eu plus de 10 ans de prison pour du racket :eek:

j ai vu que dans la dh des personne avaient eu moins de 5 ans pour des meurtres....mais ces personnes n etaient pas d origine etrangere...



La justice voulait donner une chance à SekkakiBELGA

samedi 25 juillet 2009, 16:06

Évasion en hélicoptère Pour la première fois en dix ans, la justice semblait vouloir donner sa chance à Ashraf Sekkaki, un des trois détenus qui se sont évadés en hélicoptère de la prison de Bruges jeudi soir. C’est ce qui ressort d’un récent rapport du service psychosocial de la prison de Bruges.
Ashraf Sekkaki,©Belga
« Nous souhaitons une approche pas à pas dans laquelle il se maintient plus longtemps dans un régime normal », peut-on lire dans ce rapport sur Sekkaki relayé par De Morgen.

Le rapport qualifie de « prématurée » une libération conditionnelle.

Les auteurs du rapport évoquent le vécu de Sekkaki qui a développé, lorsqu’il était enfant, une double identité : fils modèle à la maison mais désœuvré traînant dans les rues hors du cadre familial. À treize ans, il est placé une première fois sous surveillance par le tribunal de la jeunesse de Malines pour « racket, vol avec effraction ou escalade et détention d’armes prohibées ». Fin 1998, il est détenu pour la première fois dans une institution fermée. En 1999, alors qu’il a seize ans, il entre pour la première fois en prison[/B]. En 2002, il est interné.

« Maintenir l’intéressé en détention pour une période indéterminée, sans envisager son avenir, revient à prévoir de sérieux problèmes en prison ou à l’extérieur, s’il devait parvenir à s’évader. Lui faire partager la responsabilité, avec un très fort contrôle, offre davantage d’issues à long terme », avait écrit un expert psychiatre en 1996. Le récent rapport concernant Sekkaki souligne cette analyse.

(D’après Belga)
 
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