Arabie Saoudite : les confessions dangereuses

petitbijou

Casablanca d'antan
VIB
Mazen Abdul-Jawad, 32 ans, divorcé et père de quatre enfants, aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Depuis le 7 août, ce Saoudien employé de Saudi Airlines est derrière les verrous. Motif : participant, le 15 juillet, à Ligne rouge, une émission de la chaîne libanaise par satellite LBC, il a raconté par le menu détail sa vie sexuelle. Une confession (livrée depuis sa propre chambre à coucher) que les très chastes autorités de Riyad, où le programme a notamment été diffusé, n’ont pas du tout goûtée. Outre l’arrestation de l’impudent, elles ont ordonné, les 9 et 10 août, la fermeture des bureaux de LBC à Djeddah ainsi que dans la capitale saoudienne.

Mazen Abdul-Jawad avait pourtant d’instructives expériences à faire partager. Non pas son premier rapport sexuel à l’âge de 14 ans, qui n’a rien que de très banal, mais plutôt ce stratagème pour aborder les Saoudiennes dans les très rares espaces mixtes du pays : dans un « mall », par exemple, il suffit de mettre son téléphone portable sur Bluetooth, ce qui permet de se connecter aux autres appareils branchés sur cette fonction, de récolter ainsi leurs numéros et de prendre rendez-vous ultérieurement.:D Mazen Abdul-Jawad s’est également livré à une démonstration de sex toys, qui, selon son avocat, ont été fournis par la chaîne. L’histoire ne dit pas si l’infortuné bavard a pu les emporter derrière les barreaux. Il pourrait être poursuivi pour « apologie du vice » et risque vingt ans de prison.

Jeune Afrique

ps : une spéciale pensée à Nation
 
Mazen Abdul-Jawad, 32 ans, divorcé et père de quatre enfants, aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Depuis le 7 août, ce Saoudien employé de Saudi Airlines est derrière les verrous. Motif : participant, le 15 juillet, à Ligne rouge, une émission de la chaîne libanaise par satellite LBC, il a raconté par le menu détail sa vie sexuelle. Une confession (livrée depuis sa propre chambre à coucher) que les très chastes autorités de Riyad, où le programme a notamment été diffusé, n’ont pas du tout goûtée. Outre l’arrestation de l’impudent, elles ont ordonné, les 9 et 10 août, la fermeture des bureaux de LBC à Djeddah ainsi que dans la capitale saoudienne.

Mazen Abdul-Jawad avait pourtant d’instructives expériences à faire partager. Non pas son premier rapport sexuel à l’âge de 14 ans, qui n’a rien que de très banal, mais plutôt ce stratagème pour aborder les Saoudiennes dans les très rares espaces mixtes du pays : dans un « mall », par exemple, il suffit de mettre son téléphone portable sur Bluetooth, ce qui permet de se connecter aux autres appareils branchés sur cette fonction, de récolter ainsi leurs numéros et de prendre rendez-vous ultérieurement.:D Mazen Abdul-Jawad s’est également livré à une démonstration de sex toys, qui, selon son avocat, ont été fournis par la chaîne. L’histoire ne dit pas si l’infortuné bavard a pu les emporter derrière les barreaux. Il pourrait être poursuivi pour « apologie du vice » et risque vingt ans de prison.

Jeune Afrique

ps : une spéciale pensée à Nation
moralité
bah les saoudiens sont des hommes comme les autres :D
 
Mazen Abdul-Jawad, 32 ans, divorcé et père de quatre enfants, aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Depuis le 7 août, ce Saoudien employé de Saudi Airlines est derrière les verrous. Motif : participant, le 15 juillet, à Ligne rouge, une émission de la chaîne libanaise par satellite LBC, il a raconté par le menu détail sa vie sexuelle. Une confession (livrée depuis sa propre chambre à coucher) que les très chastes autorités de Riyad, où le programme a notamment été diffusé, n’ont pas du tout goûtée. Outre l’arrestation de l’impudent, elles ont ordonné, les 9 et 10 août, la fermeture des bureaux de LBC à Djeddah ainsi que dans la capitale saoudienne.

Mazen Abdul-Jawad avait pourtant d’instructives expériences à faire partager. Non pas son premier rapport sexuel à l’âge de 14 ans, qui n’a rien que de très banal, mais plutôt ce stratagème pour aborder les Saoudiennes dans les très rares espaces mixtes du pays : dans un « mall », par exemple, il suffit de mettre son téléphone portable sur Bluetooth, ce qui permet de se connecter aux autres appareils branchés sur cette fonction, de récolter ainsi leurs numéros et de prendre rendez-vous ultérieurement.Mazen Abdul-Jawad s’est également livré à une démonstration de sex toys, qui, selon son avocat, ont été fournis par la chaîne. L’histoire ne dit pas si l’infortuné bavard a pu les emporter derrière les barreaux. Il pourrait être poursuivi pour « apologie du vice » et risque vingt ans de prison.

Jeune Afrique

ps : une spéciale pensée à Nation


MDRRRR le journaliste il est sérieux lorsqu'il écrit ça :eek:
il parlait du sex toy en or et diamant peut être :D

la méthode du bluetooth est très connu !!
 
non jamais testée malheureusement(j'en ai jamais vues des seules), je me souviens juste d'une discussion avec tanja, on lui avait dit en egypte avant son départ pour l'arabie de se méfier des saoudiennes, apparemment elles draguent.
pourquoi malheureusement? :rolleyes:

tu aurais aimé gouté afrite!!!dis toi juste que si leurs hommes vont aller voir ailleurs c'est qu'il y a une raison hein :D
 
Mazen Abdul-Jawad, 32 ans, divorcé et père de quatre enfants, aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Depuis le 7 août, ce Saoudien employé de Saudi Airlines est derrière les verrous. Motif : participant, le 15 juillet, à Ligne rouge, une émission de la chaîne libanaise par satellite LBC, il a raconté par le menu détail sa vie sexuelle. Une confession (livrée depuis sa propre chambre à coucher) que les très chastes autorités de Riyad, où le programme a notamment été diffusé, n’ont pas du tout goûtée. Outre l’arrestation de l’impudent, elles ont ordonné, les 9 et 10 août, la fermeture des bureaux de LBC à Djeddah ainsi que dans la capitale saoudienne.

Mazen Abdul-Jawad avait pourtant d’instructives expériences à faire partager. Non pas son premier rapport sexuel à l’âge de 14 ans, qui n’a rien que de très banal, mais plutôt ce stratagème pour aborder les Saoudiennes dans les très rares espaces mixtes du pays : dans un « mall », par exemple, il suffit de mettre son téléphone portable sur Bluetooth, ce qui permet de se connecter aux autres appareils branchés sur cette fonction, de récolter ainsi leurs numéros et de prendre rendez-vous ultérieurement.:Mazen Abdul-Jawad s’est également livré à une démonstration de sex toys, qui, selon son avocat, ont été fournis par la chaîne. L’histoire ne dit pas si l’infortuné bavard a pu les emporter derrière les barreaux. Il pourrait être poursuivi pour « apologie du vice » et risque vingt ans de prison.

Jeune Afrique

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J'ai mis la fonction bluetooth sur mon portable,
Tu crois que je vais avoir tous les numeros des bladinettes:rolleyes::D

N'empeche,il fallait y penser,LOL
 
Mazen Abdul-Jawad, 32 ans, divorcé et père de quatre enfants, aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Depuis le 7 août, ce Saoudien employé de Saudi Airlines est derrière les verrous. Motif : participant, le 15 juillet, à Ligne rouge, une émission de la chaîne libanaise par satellite LBC, il a raconté par le menu détail sa vie sexuelle. Une confession (livrée depuis sa propre chambre à coucher) que les très chastes autorités de Riyad, où le programme a notamment été diffusé, n’ont pas du tout goûtée. Outre l’arrestation de l’impudent, elles ont ordonné, les 9 et 10 août, la fermeture des bureaux de LBC à Djeddah ainsi que dans la capitale saoudienne.

Mazen Abdul-Jawad avait pourtant d’instructives expériences à faire partager. Non pas son premier rapport sexuel à l’âge de 14 ans, qui n’a rien que de très banal, mais plutôt ce stratagème pour aborder les Saoudiennes dans les très rares espaces mixtes du pays : dans un « mall », par exemple, il suffit de mettre son téléphone portable sur Bluetooth, ce qui permet de se connecter aux autres appareils branchés sur cette fonction, de récolter ainsi leurs numéros et de prendre rendez-vous ultérieurement.:D Mazen Abdul-Jawad s’est également livré à une démonstration de sex toys, qui, selon son avocat, ont été fournis par la chaîne. L’histoire ne dit pas si l’infortuné bavard a pu les emporter derrière les barreaux. Il pourrait être poursuivi pour « apologie du vice » et risque vingt ans de prison.

Jeune Afrique

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Voila un bon musulman ............. qui sera pendu ................ parce qu'il osé dire que le sexe pas Hallal pousse dans le pays hautement musulman, la référence............
 
Tout est détournable (ou contournable) même en Arabie Saoudite et encore plus en Iran tu peux rencontrer des filles dans l'intimité.
Il suffit juste de connaître les codes, les rouages et ça peut aller très vite..
 
Mazen Abdul-Jawad, 32 ans, divorcé et père de quatre enfants, aurait mieux fait de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Depuis le 7 août, ce Saoudien employé de Saudi Airlines est derrière les verrous. Motif : participant, le 15 juillet, à Ligne rouge, une émission de la chaîne libanaise par satellite LBC, il a raconté par le menu détail sa vie sexuelle. Une confession (livrée depuis sa propre chambre à coucher) que les très chastes autorités de Riyad, où le programme a notamment été diffusé, n’ont pas du tout goûtée. Outre l’arrestation de l’impudent, elles ont ordonné, les 9 et 10 août, la fermeture des bureaux de LBC à Djeddah ainsi que dans la capitale saoudienne.

Mazen Abdul-Jawad avait pourtant d’instructives expériences à faire partager. Non pas son premier rapport sexuel à l’âge de 14 ans, qui n’a rien que de très banal, mais plutôt ce stratagème pour aborder les Saoudiennes dans les très rares espaces mixtes du pays : dans un « mall », par exemple, il suffit de mettre son téléphone portable sur Bluetooth, ce qui permet de se connecter aux autres appareils branchés sur cette fonction, de récolter ainsi leurs numéros et de prendre rendez-vous ultérieurement.:D Mazen Abdul-Jawad s’est également livré à une démonstration de sex toys, qui, selon son avocat, ont été fournis par la chaîne. L’histoire ne dit pas si l’infortuné bavard a pu les emporter derrière les barreaux. Il pourrait être poursuivi pour « apologie du vice » et risque vingt ans de prison.

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ils font les pieux et condamnent ce mec , mais en vrai c'est des obssédé par exellence , ce qui se passe en arabie saoudite ne peut pas etre décrit tellement c grave , il faut y vivre pour voir , le truc du blutooth ce n'est vraiment rien devant ce qui se passe , les **** ils boivent les parfums parceque l'alcool est interdit et on en trouve pa,si jamais une femme mariée plait à un homme prince riche on l'enlève à son mari ( l'homme concerné il na jamais pu voir sa femme jusk'a mnt ) , ils pratiquent la pedofilie a tord et a travers , une fois dans un supermarché on a enlevé une petite fille a sa maman la femme criait et a demandé de fermé toutes les portes apres on a trouvé la petite fille perdant jetée dans un rayon ...............etc bref plein de choses a raconter je vais pas en finir :eek:

ils font les pieux alors qu'en vrai c des animaux
 
ils font les pieux et condamnent ce mec , mais en vrai c'est des obssédé par exellence , ce qui se passe en arabie saoudite ne peut pas etre décrit tellement c grave , il faut y vivre pour voir , le truc du blutooth ce n'est vraiment rien devant ce qui se passe , les **** ils boivent les parfums parceque l'alcool est interdit et on en trouve pa,si jamais une femme mariée plait à un homme prince riche on l'enlève à son mari ( l'homme concerné il na jamais pu voir sa femme jusk'a mnt ) , ils pratiquent la pedofilie a tord et a travers , une fois dans un supermarché on a enlevé une petite fille a sa maman la femme criait et a demandé de fermé toutes les portes apres on a trouvé la petite fille perdant jetée dans un rayon ...............etc bref plein de choses a raconter je vais pas en finir :eek:

ils font les pieux alors qu'en vrai c des animaux

T'as vécu en Arabie Saoudite?

T'exagères surtout pour l'alcool car tu peux t'en procurer, il n'y a que le Koweit ou rien ne passe
 
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