Archives : al khattabi, fervent arabisant

Une récente découverte révèlerait les préférences de Mohamed Ben Abdelkrim al-Khattabi en matière d’éducation et d’enseignement. Elles vont à l’encontre de toutes les idées reçues.

Dans le débat récurrent au Maroc sur la langue « adéquate » pour l’enseignement, Abdelkrim al- Khattabi se serait volontiers rangé du côté des arabisants. Abderrahmane Tayyibi et Houcine El Idrissi, deux chercheurs en histoire, ont récemment mis la main sur des manuscrits originaux, attribués au résistant rifain. Dans ses notes en vue d’institutionnaliser sa « République du Rif », le héros de la guerre du Rif opte sans hésitation pour l’apprentissage et l’enseignement de la langue arabe. Radical, il souhaitait même bannir l’usage de la langue rifaine des enceintes de ses écoles, que ce soit en classe ou dans la cour de récréation. Les chercheurs ont présenté et analysé ces précieux documents dans un livre en arabe récemment paru sous le titre Éducation et enseignement dans le programme de Mohamed Ben Abdelkrim Al Khattabi (éditions Bouregreg). On y apprend notamment que Abdelkrim aurait souhaité un congé hebdomadaire qui s’étalerait entre jeudi et vendredi.
 
'Abdelkrim rahimahollah était pour la langue arabe, mais jamais il a pensait à supprimer la langue rifaine. Au contraire, il vantait souvent les mérites du peuple rifain, de sa longue histoire. Penses-tu que les chefs des 18 tribus du Rif auraient accepter une telle chose?

Non, mon ami.
J'ai un ami dont la soeur de son grand-père était l'épouse de 'abdelkrim, elle se nommé Mimunt boujibar. Et jamais, 'Abdelrkim n'avait changé à ce genre de chose. Par contre, il était pour éradiquer la musique dans le Rif.
 
'Abdelkrim rahimahollah était pour la langue arabe, mais jamais il a pensait à supprimer la langue rifaine. Au contraire, il vantait souvent les mérites du peuple rifain, de sa longue histoire. Penses-tu que les chefs des 18 tribus du Rif auraient accepter une telle chose?

Non, mon ami.
J'ai un ami dont la soeur de son grand-père était l'épouse de 'abdelkrim, elle se nommé Mimunt boujibar. Et jamais, 'Abdelrkim n'avait changé à ce genre de chose. Par contre, il était pour éradiquer la musique dans le Rif.

Il n'existe pas de peuple rifain. Ils sont issus d'un métissage de plusieurs peuples au cours des siècles....phéniciens, romains, byzantins, arabes, andalous.

Il existe des Rifains berbères ou berbérophones mais tous les Rifains ne sont pas tous des berbères.
 
Une récente découverte révèlerait les préférences de Mohamed Ben Abdelkrim al-Khattabi en matière d’éducation et d’enseignement. Elles vont à l’encontre de toutes les idées reçues.

Dans le débat récurrent au Maroc sur la langue « adéquate » pour l’enseignement, Abdelkrim al- Khattabi se serait volontiers rangé du côté des arabisants. Abderrahmane Tayyibi et Houcine El Idrissi, deux chercheurs en histoire, ont récemment mis la main sur des manuscrits originaux, attribués au résistant rifain. Dans ses notes en vue d’institutionnaliser sa « République du Rif », le héros de la guerre du Rif opte sans hésitation pour l’apprentissage et l’enseignement de la langue arabe. Radical, il souhaitait même bannir l’usage de la langue rifaine des enceintes de ses écoles, que ce soit en classe ou dans la cour de récréation. Les chercheurs ont présenté et analysé ces précieux documents dans un livre en arabe récemment paru sous le titre Éducation et enseignement dans le programme de Mohamed Ben Abdelkrim Al Khattabi (éditions Bouregreg). On y apprend notamment que Abdelkrim aurait souhaité un congé hebdomadaire qui s’étalerait entre jeudi et vendredi.
Salam Maroc,
Je confirme c'était avant tout un musulman....
 
Voila qui ne devrait pas plaire aux activistes amazigh comme Amkhlaw et al...

Toutes les langues berbères sont régionales comme le basque, le Flamand etc...donc elles ne peuvent unifier un pays..... Il est normal qu'elles soient enseignées ..........mais seules elles ne permettront pas aux jeunes d'aller loin dans le monde d'aujourd'hui

L'arabe est la langue du Coran...donc incontournable ....elle est enseignée dans tous les pays musulmans dits arabes ou non ( Sénégal, Indonésie, Turquie etc...)
Elle permet aux musulmans marocains de dialoguer avec tous les musulmans du Monde et avec les arabes non musulmans.
 
Une récente découverte révèlerait les préférences de Mohamed Ben Abdelkrim al-Khattabi en matière d’éducation et d’enseignement. Elles vont à l’encontre de toutes les idées reçues.

Dans le débat récurrent au Maroc sur la langue « adéquate » pour l’enseignement, Abdelkrim al- Khattabi se serait volontiers rangé du côté des arabisants. Abderrahmane Tayyibi et Houcine El Idrissi, deux chercheurs en histoire, ont récemment mis la main sur des manuscrits originaux, attribués au résistant rifain. Dans ses notes en vue d’institutionnaliser sa « République du Rif », le héros de la guerre du Rif opte sans hésitation pour l’apprentissage et l’enseignement de la langue arabe. Radical, il souhaitait même bannir l’usage de la langue rifaine des enceintes de ses écoles, que ce soit en classe ou dans la cour de récréation. Les chercheurs ont présenté et analysé ces précieux documents dans un livre en arabe récemment paru sous le titre Éducation et enseignement dans le programme de Mohamed Ben Abdelkrim Al Khattabi (éditions Bouregreg). On y apprend notamment que Abdelkrim aurait souhaité un congé hebdomadaire qui s’étalerait entre jeudi et vendredi.
Je suis justement entrain de le lire.....
 

Pièces jointes

  • Abdelkrim livre education2.jpg
    Abdelkrim livre education2.jpg
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Il n'existe pas de peuple rifain. Ils sont issus d'un métissage de plusieurs peuples au cours des siècles....phéniciens, romains, byzantins, arabes, andalous.

Il existe des Rifains berbères ou berbérophones mais tous les Rifains ne sont pas tous des berbères.

Tout les peuples sont issus du métissage.
 
Une récente découverte révèlerait les préférences de Mohamed Ben Abdelkrim al-Khattabi en matière d’éducation et d’enseignement. Elles vont à l’encontre de toutes les idées reçues.

Dans le débat récurrent au Maroc sur la langue « adéquate » pour l’enseignement, Abdelkrim al- Khattabi se serait volontiers rangé du côté des arabisants. Abderrahmane Tayyibi et Houcine El Idrissi, deux chercheurs en histoire, ont récemment mis la main sur des manuscrits originaux, attribués au résistant rifain. Dans ses notes en vue d’institutionnaliser sa « République du Rif », le héros de la guerre du Rif opte sans hésitation pour l’apprentissage et l’enseignement de la langue arabe. Radical, il souhaitait même bannir l’usage de la langue rifaine des enceintes de ses écoles, que ce soit en classe ou dans la cour de récréation. Les chercheurs ont présenté et analysé ces précieux documents dans un livre en arabe récemment paru sous le titre Éducation et enseignement dans le programme de Mohamed Ben Abdelkrim Al Khattabi (éditions Bouregreg). On y apprend notamment que Abdelkrim aurait souhaité un congé hebdomadaire qui s’étalerait entre jeudi et vendredi.

On sousentend deja que Abdelkrim etait contre la luangue arabe, etait un separatiste etc..notre plus grand resistant!!!! Comme si il devrait encore se justifier...
Abdelkrim parlait couremment l espagnole aussi ca ne l a pas empecher de combattre et humilier les espagnoles..
 
Une récente découverte révèlerait les préférences de Mohamed Ben Abdelkrim al-Khattabi en matière d’éducation et d’enseignement. Elles vont à l’encontre de toutes les idées reçues.

Dans le débat récurrent au Maroc sur la langue « adéquate » pour l’enseignement, Abdelkrim al- Khattabi se serait volontiers rangé du côté des arabisants. Abderrahmane Tayyibi et Houcine El Idrissi, deux chercheurs en histoire, ont récemment mis la main sur des manuscrits originaux, attribués au résistant rifain. Dans ses notes en vue d’institutionnaliser sa « République du Rif », le héros de la guerre du Rif opte sans hésitation pour l’apprentissage et l’enseignement de la langue arabe. Radical, il souhaitait même bannir l’usage de la langue rifaine des enceintes de ses écoles, que ce soit en classe ou dans la cour de récréation. Les chercheurs ont présenté et analysé ces précieux documents dans un livre en arabe récemment paru sous le titre Éducation et enseignement dans le programme de Mohamed Ben Abdelkrim Al Khattabi (éditions Bouregreg). On y apprend notamment que Abdelkrim aurait souhaité un congé hebdomadaire qui s’étalerait entre jeudi et vendredi.
Peut on voir ces manuscrits originaux ? il souhaitait bannir l’usage de la langue rifaine ? Ca fait rire , il faut savoir qu' il était professeur de cette langue !

http://www.alalam.ma/def.asp?codelangue=23&id_info=23522&date_ar=2010-2-16
 
Non monsieur, c pas une preuve ça… Khattabi était en espagne en 1907, ensuite il était journaliste à melilia jusqu'en 1915, ensuite en cabane, ensuite la guerre….et le reste tu connais.
Prend le temps a lire l'article et tu comrpendra par la suite que Amgahr Muhand était professeur de L'amazigh à Melilla !


En lisant “Le Télégramme du Rif”, du 10 juillet 1908, je trouve un article sur “L'académie d'Arabe”, écrit par l'illustre journaliste Cándido Lobera, qui informe des deux ans d'existence dans Melilla du dit centre, et en outre avec une fréquentation accrue. “ Le meilleur éloge qui peut lui être fait – écrit Lobera - est le brillant résultat des examens, preuve de vérité des aptitudes des élèves, pas d'essais théâtraux pour produire des effets d'éclair. Si méritoire, il est, le travail des professeurs, ce n'est pas moins celle des élèves. Il faut voir la force de volonté et la persévérance qui suppose d'assister à un cour, après le service pénible assigné à la garnison, ou le travail quotidien. Les élèves obtiennent comme récompense le "diplôme d'attitude" après avoir terminé avec réussite leur troisième cursus. Un prix de deux mille pesetas et l'autre de cinq cents leur sont accordés, respectivement pour les officielles et les troupes . ”

En insistant sur le sujet, dans “Le Télégramme du Rif”, du 1 mars 1927, je lis un article du fameux Abd-el-Krim, alors professeur à l'époque de l'Académie de Chelja. Mohamed Ben-Abd-el-Krim, dans une collaboration intituler ”La Langue Berbère”, signale que "Le berbère ou "schelja" offre divers dialectes, et celui que parlent nos concitoyens est le "tamasigt", mot dérivé de "madeguis", qui est le nom d’un des fondateurs des populations berbères de ces territoires. "

Celui qui seras après le fouet implacable des troupes espagnoles remarque que "Les maures n’écrivent pas le "schelja", mais pour son enseignement, il conviendrait de transcrire ses sons en espagnol ou en arabe, puisque à travers ces deux graphies, on peut exprimer facilement ses sons, fortement gutturaux et spirantisés". Et il remarque des difficultés de cette langue pour son apprentissage : "Son architecture grammaticale, bien qu'elle ne soit pas très compliquée, n’arrête pas de nous offrir des difficultés et surtout ce que représente la prononciation pour un européen, qui requiert de long exercice et une pratique continue.

Dans cette région, le "schelja" a reçu dans son dictionnaire pas mal de mots arabes; où elle se parle avec plus de pureté c'est au Sud, puisque là bas elle n'a pas subi l'influence d'autres langues"

Abd–el-Krim se montre très reconnaissant de sa nomination comme professeur et est très conscient de la responsabilité qu'il a assumé : "Honoré par cette nomination en tant que professeur de "schelja" dans l’Académie Officielle de cette ville, j'ai essayé d'être à la hauteur de la confiance faite en ma personne, en essayant de déployer tous mes efforts en faveur de cette finalité, c’est-à-dire, que dans peu de temps, il y aurait des personnes capables de s'entendre avec les autochtones. "

Il a une reconnaissance profonde pour le "vénérable" père franciscain Pierre Hilarión Sarriondia, un homme très cultivé, à qui : "revient le prestige d’avoir écrit une grammaire très complète de "schelja" dont la réalisation démontre ses profondes connaissances de la langue. Et quant à moi, dans mon devoir de professeur, appuyé par mon auxiliaire Mohamed Tah-Tah, je me propose de suivre sa méthode d'exposition et d'utiliser les sujets et les exercices que le livre contient." Comme chacun sait, l'oeuvre du lexicographe basque a été récemment rééditée par l'UNED de Melilla, au soin de Vicente Moga et de José Megías. Récemment, Manuel Ruiz Morales, directeur du Séminaire de Tamazight, se félicitait dans la presse locale des rééditions de la “Gramática de la Lengua Rifeña”, de Sarriondia et de l'oeuvre “Diccionario Español-Rifeño” du père franciscain Esteban Ibáñez.

Une autre figure étroitement lié à l'histoire de cette Académie Arabe et de Chelja est celle de Cándido López Castillejos. Dans une lettre écrite il y a quelques années, que me remetta l'historien Juan Díez, on note que le militaire “s'est présenté une fois à quelques concours pour être interprète en langue arabe pour le Haut Commissariat de l'Espagne au Maroc, et il est sorti numéro un. Il a renoncé à cette place, puisqu'il avait les moyens pour vivre, il s'est seulement présenté pour se donner le grand plaisir de démontrer sa valeur”.

[...]

Dans “Le Télégramme” du 29 juin 1918, dans une description sur “Les examens d'arabe” qu'ils auront lieu le 2 juillet prochain dans l'Académie, nous retrouvons déjà ensemble, comme des membres du jury examinateur, Abd–el-Krim et López Castillejos. Le président du jury était diriger par le second général M. Monteverde, et les autres jury était le colonel Sr. Gil, le lieutenant colonel Sr. Riquelme, le commandant Sr. Salvador Vilá, en plus du premier lieutenant López Castillejos, épaulé des interprètes M. Marín et M. Gómez et le "Kadi AlKudat" (le Juge des Juges) du Bureau Central Indigène, Sidi-Abd-el-Krim. Entre-temps, López Castillejos est promu capitaine le 19 août 1918.

Il y a quelques jours, le colonel Benito Gallardo, collègue de l'Association d'Études Melillenses, me remettait en main propre la feuille de services de Cándido López Castillejos, comme capitaine d'infanterie. Par elle nous pouvons savoir qu'il a été nommé professeur de la classe chelja, affectais à l'Académie Arabe, par un ordre royal du 15 février 1918.

Un neveu de López Castillejos, Nicolás Rodríguez López, me fait savoir qu'il conserve une photo jaunâtre où peuvent être vus dans cette Académie les professeurs Cándido López Castillejos et Mohamed Ben-Abd-el-Krim. Une photo historique !

Le 12 octobre 1918, dans une note sur l'Académie d'Arabe, le journal de mlich commentait l'ouverture du nouveau cours de l'Académie d'arabe, présidée par le général Monteverde. Dans l'estrade siégeaient le directeur de l'Académie le colonel d'État-Major, Juan Gil; le professeur, le colonel José Riquelme; les interprètes Francisco Marín et Bonifacio Gómez; le capitaine Cándido López Castillejos; le Kadi AlKudat du Bureau Central indigène Sidi Mohamed Abd-el-Krim, et le professeur secrétaire commandant Salvador Vilá. On sait qu'Abd-el-Krim donnait des cours de "chelja" à des chefs, à des employés et à des compatriotes assimilés; tandis que López Castillejos le faisait aux troupe et à des compatriotes assimilés. Cours de 1er et de 2eme cursus, mardi, jeudi et samedis, de 16 à 17, 15 heures.

L'Académie d'Arabe et de Chelja de Melilla, créé en 1906, a été supprimée par décret royal du 21 septembre 1929, durant le premier gouvernement de Rivera.

source :
InfoMelilla.com
José Marqués López
 
Si on veut vulgariser le personnage, je dirais que c'était un individu qui pouvait manger à tout râtelier servant sa stratégie. Jamais personnage n'aura tenu moult discours aussi contradictoire, et pour comprendre le fil conducteur de sa pensée, faut situer dans le temps ses déclarations et ainsi on réalisera qu'ils étaient avant tout là pour plaire à ses alliés du moment.

Que ces déclarations soient vrais ou fausses, je suis sûr qu'il aurait pu tenir ce genre de propos quant il était perdu en Egypte, de même que je suis sûr que les rifains lui auraient tourné le dos s'il avait essayé d'exclure la langue rifaine et d'ailleurs je ne le crois pas assez fou pour passer de la théorie à la pratique , pas plus qu'il ne l'a été malgré ses déclarations sur la laïcité nettement contredites par la constitution rifaine.
 
Non monsieur, c pas une preuve ça… Khattabi était en espagne en 1907, ensuite il était journaliste à melilia jusqu'en 1915, ensuite en cabane, ensuite la guerre….et le reste tu connais.
Tu fais expres de ne pas citer son passage a Al kairwain a Fes!?
Pour lui Melilia est marocaine..tu ne cite pas non plus le nom de son journal..
S il a reussi a battre les espagnoles c est aussi parcequ il les connaissait tres bien.
En francais
 
L'arabe est la langue du Coran...donc incontournable ....elle est enseignée dans tous les pays musulmans dits arabes ou non ( Sénégal, Indonésie, Turquie etc...)
Elle permet aux musulmans marocains de dialoguer avec tous les musulmans du Monde et avec les arabes non musulmans.

Absolument pas. Pour avoir pas mal voyagé dans le monde dit musulman, je peux t'assurer que le nombre de locuteur arabe en dehors du monde arabe est marginal. Ce n'est pas parce que beaucoup de musulmans récite des sourates du Coran en arabe qu'ils comprennent la langue arabe, c'est juste qu'ils les ont appris par coeur.

Au XXIe siècle, quand un Sénégalais, un Turc et un Indonésien veulent communiquer entre eux, ils le font en...........anglais qui est aujourd'hui et de loin la première langue du monde musulman.
 
On est en train de regarder Abdelkrim avec nos yeux du 21 ème siècle
alors que tout ce qui nous semble paradoxe ne l'était pas pour lui et pour
son époque
Arabisant ,berbèriste,traditionaliste, moderniste,laïque, religieux
il était tout à la fois pourquoi vouloir le mettre dans une case
 
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