La police des mœurs qui s'était provisoirement retirée des rues sous la pression des manifestants, a de nouveau intensifié la répression. Elle ne craint pas d'utiliser à nouveau la violence, comme le montre le cas de la jeune Armita Garavand, qui tient en haleine depuis des jours l'opinion publique en Iran
La jeune fille de 16 ans était dimanche à Téhéran et se rendait à l'école d'art et de design qu'elle fréquente. Il y a eu une confrontation avec la police des mœurs dans le métro apparemment parce qu'elle ne portait pas de foulard.
Comme l'a rapporté Exilradio Zamaneh mardi, les policiers l'ont poussée si fort qu'elle s'est cognée violemment la tête et a perdu connaissance. La chaîne a cité plusieurs témoins oculaires de l'incident.
Armita a été emmenée à l’hôpital de l’armée de l’air de Fajr, où elle est depuis lors entre la vie et la mort. Les forces de sécurité ont bouclé sa chambre et interdisent toute visite.
La jeune fille de 16 ans était dimanche à Téhéran et se rendait à l'école d'art et de design qu'elle fréquente. Il y a eu une confrontation avec la police des mœurs dans le métro apparemment parce qu'elle ne portait pas de foulard.
Comme l'a rapporté Exilradio Zamaneh mardi, les policiers l'ont poussée si fort qu'elle s'est cognée violemment la tête et a perdu connaissance. La chaîne a cité plusieurs témoins oculaires de l'incident.
Armita a été emmenée à l’hôpital de l’armée de l’air de Fajr, où elle est depuis lors entre la vie et la mort. Les forces de sécurité ont bouclé sa chambre et interdisent toute visite.