Arrivé en 2020 sans parler français, un Marocain triomphe en concours d'éloquence

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Mohammed Belaaraj, d'origine marocaine, a remporté début avril un concours d'éloquence organisé dans la ville de Mont-de-Marsan. Un exploit pour ce jeune homme de 18 ans, né en Espagne et qui, il y a encore quatre ans, ne parlait pas français.
Arrivé en France à la rentrée 2020, en pleine crise du Covid-19, Mohammed Belaaraj, né et ayant grandi en Espagne, près de Valence, ne s'exprimait pas en français. Mais en quatre ans, il a apprivoisé la langue de Molière, au point de remporter un (…)

- France / France, Espagne, MRE

Arrivé en 2020 sans parler français, un Marocain triomphe en concours d'éloquence
 
Mohammed Belaaraj, d'origine marocaine, a remporté début avril un concours d'éloquence organisé dans la ville de Mont-de-Marsan. Un exploit pour ce jeune homme de 18 ans, né en Espagne et qui, il y a encore quatre ans, ne parlait pas français.
Arrivé en France à la rentrée 2020, en pleine crise du Covid-19, Mohammed Belaaraj, né et ayant grandi en Espagne, près de Valence, ne s'exprimait pas en français. Mais en quatre ans, il a apprivoisé la langue de Molière, au point de remporter un (…)

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Arrivé en 2020 sans parler français, un Marocain triomphe en concours d'éloquence


Une étudiante marocaine a fait de même à Bruxelles. Elle a surmonté sa timidité. La Bruxelloise Soumaya Bouali remporte le titre de meilleure oratrice francophone Soumaya Bouali, 21 ans, est sortie lauréate du concours national d’éloquence pour les jeunes.

La finale s’est tenue cet après-midi au Parlement européen, devant un public de 400 personnes.

Avec des mots simples mais puissants, elle a invité son audience à se reconnecter à soi :“On essaie d’aller vite sans écouter son cœur. On devient trop rationnel, et on oublie de penser à nos émotions.”

Sans réelle expérience dans le domaine, cette étudiante en communication à l’ULB voit ce concours comme un véritable challenge. “Je participe pour vaincre ma timidité. Dans mon texte, je parle de suivre son cœur. Alors aujourd’hui, je suis le mien.”

Comme elle, près de 200 jeunes se sont lancés dans l’aventure, mais seuls quelques-uns ont accédé à la grande finale. Un moment plus fort qu’une simple compétition : un lieu d’échange, de réflexion, de bienveillance.


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