Attendre un enfant.......

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Les mains posées sur son ventre elle pensait à la vie qu’en elle, elle portait, cette partie d’elle-même fruit de son amour qui verrait bientôt le jour. Elle y pensait, à chaque instant, dans le sourire de son mari ou dans le regard de son premier enfant, elle le voyait. Elle imaginait la vie à ses côtés, dans les bras de son père, jouant plus tard avec son grand frère. Un avenir tout tracé si Dieu le voulait. Elle avait préparé sa venue, mieux à même d’y faire face car elle avait déjà vécu tout cela. Les jours passaient et elle attendait avec impatience de faire la connaissance de ce petit ange que déjà si fort elle aimait.

Ce fut un matin que je me rendis compte que l’amour d’une mère était inconditionnel quand on apprit à cette future maman que son enfant naitrait différent, les médecins aillant détecté une anomalie, l’enfant selon eux ne naitrait pas normal. Cette idée de la normalité qu’une maman qui porte un enfant en elle ne peut pas comprendre, elle me répétait que quoi qu’il arrive, quoi qu’il traverse, elle l’aimerait. L’amour sans limite d’une mère qui ferait tous les sacrifices pour que son enfant aie une vie normale dans ce monde brutal qui tend si facilement à mettre les gens à l’écart car ils ne sont pas comme les autres.

Les mains posées sur son ventre, elle pensait à la vie que son amour aurait, au-delà des drames au-delà des larmes elle l’aimait, et c’est avec espoir et bonheur que sa grossesse continuait. Elle y croyait, elle avait fait le vœu de donner toutes les chances à son enfant et de se battre pour lui car elle ne voulait que son bonheur qu’importe ce qu’elle devrait faire pour lui permettre d’y accéder. Les semaines s’écoulaient.

Ce fut un matin que je me rendis compte que la douleur d’une mère peut être infinie quand arrivée à la maternité au lieu de la joie au cœur de découvrir ce petit ange déjà chéri, je découvris la douleur d’une maman de la perte de son enfant, le cœur meurtri. L’enfant n’avait pas survécu, ce qui devait être un jour de fête fut un jour de deuil. Le fait d’être croyant dans de tels instants est salvateur , se raccrocher à la pensée que Dieu a épargné à cet être déjà tant aimé les douleurs de cette vie, dans Sa miséricorde en lui accordant une place au paradis sans l’ombre d’un pêché sur son âme pure et éternelle.
 
Les mains posées sur son ventre elle pensait à la vie qu’en elle, elle portait, cette partie d’elle-même fruit de son amour qui verrait bientôt le jour. Elle y pensait, à chaque instant, dans le sourire de son mari ou dans le regard de son premier enfant, elle le voyait. Elle imaginait la vie à ses côtés, dans les bras de son père, jouant plus tard avec son grand frère. Un avenir tout tracé si Dieu le voulait. Elle avait préparé sa venue, mieux à même d’y faire face car elle avait déjà vécu tout cela. Les jours passaient et elle attendait avec impatience de faire la connaissance de ce petit ange que déjà si fort elle aimait.

Ce fut un matin que je me rendis compte que l’amour d’une mère était inconditionnel quand on apprit à cette future maman que son enfant naitrait différent, les médecins aillant détecté une anomalie, l’enfant selon eux ne naitrait pas normal. Cette idée de la normalité qu’une maman qui porte un enfant en elle ne peut pas comprendre, elle me répétait que quoi qu’il arrive, quoi qu’il traverse, elle l’aimerait. L’amour sans limite d’une mère qui ferait tous les sacrifices pour que son enfant aie une vie normale dans ce monde brutal qui tend si facilement à mettre les gens à l’écart car ils ne sont pas comme les autres.

Les mains posées sur son ventre, elle pensait à la vie que son amour aurait, au-delà des drames au-delà des larmes elle l’aimait, et c’est avec espoir et bonheur que sa grossesse continuait. Elle y croyait, elle avait fait le vœu de donner toutes les chances à son enfant et de se battre pour lui car elle ne voulait que son bonheur qu’importe ce qu’elle devrait faire pour lui permettre d’y accéder. Les semaines s’écoulaient.

Ce fut un matin que je me rendis compte que la douleur d’une mère peut être infinie quand arrivée à la maternité au lieu de la joie au cœur de découvrir ce petit ange déjà chéri, je découvris la douleur d’une maman de la perte de son enfant, le cœur meurtri. L’enfant n’avait pas survécu, ce qui devait être un jour de fête fut un jour de deuil. Le fait d’être croyant dans de tels instants est salvateur , se raccrocher à la pensée que Dieu a épargné à cet être déjà tant aimé les douleurs de cette vie, dans Sa miséricorde en lui accordant une place au paradis sans l’ombre d’un pêché sur son âme pure et éternelle.

Plus je lisais et plus j'avais des frissons .... Ton histoire est trop trop touchante
 
Je sais pas pourquoi mais je me dis qu'une rubrique histoire serait bien sur bladi, on pourrait y lire des jolis textes comme celui-ci ou des poèmes.
 
Les mains posées sur son ventre elle pensait à la vie qu’en elle, elle portait, cette partie d’elle-même fruit de son amour qui verrait bientôt le jour. Elle y pensait, à chaque instant, dans le sourire de son mari ou dans le regard de son premier enfant, elle le voyait. Elle imaginait la vie à ses côtés, dans les bras de son père, jouant plus tard avec son grand frère. Un avenir tout tracé si Dieu le voulait. Elle avait préparé sa venue, mieux à même d’y faire face car elle avait déjà vécu tout cela. Les jours passaient et elle attendait avec impatience de faire la connaissance de ce petit ange que déjà si fort elle aimait.

Ce fut un matin que je me rendis compte que l’amour d’une mère était inconditionnel quand on apprit à cette future maman que son enfant naitrait différent, les médecins aillant détecté une anomalie, l’enfant selon eux ne naitrait pas normal. Cette idée de la normalité qu’une maman qui porte un enfant en elle ne peut pas comprendre, elle me répétait que quoi qu’il arrive, quoi qu’il traverse, elle l’aimerait. L’amour sans limite d’une mère qui ferait tous les sacrifices pour que son enfant aie une vie normale dans ce monde brutal qui tend si facilement à mettre les gens à l’écart car ils ne sont pas comme les autres.

Les mains posées sur son ventre, elle pensait à la vie que son amour aurait, au-delà des drames au-delà des larmes elle l’aimait, et c’est avec espoir et bonheur que sa grossesse continuait. Elle y croyait, elle avait fait le vœu de donner toutes les chances à son enfant et de se battre pour lui car elle ne voulait que son bonheur qu’importe ce qu’elle devrait faire pour lui permettre d’y accéder. Les semaines s’écoulaient.

Ce fut un matin que je me rendis compte que la douleur d’une mère peut être infinie quand arrivée à la maternité au lieu de la joie au cœur de découvrir ce petit ange déjà chéri, je découvris la douleur d’une maman de la perte de son enfant, le cœur meurtri. L’enfant n’avait pas survécu, ce qui devait être un jour de fête fut un jour de deuil. Le fait d’être croyant dans de tels instants est salvateur , se raccrocher à la pensée que Dieu a épargné à cet être déjà tant aimé les douleurs de cette vie, dans Sa miséricorde en lui accordant une place au paradis sans l’ombre d’un pêché sur son âme pure et éternelle.

J'ai déja lu cette histoire touchante quelque part ;)
 
Tu l'as lu où?car ça se serait vraiment surnaturel qu'on arrive à me piquer une histoire que j'ai écrit cet après midi :oh:

o9ssimo billah que je connaissais le texte juste en lisant le titre ! en lisant la première ligne je connaissais !

suis je devenue madame soleil ? ou jl'ai lu dans une vie antérieur ?
 
Très émouvant comme histoire, je reconnais là ton talent Semiramis, très posée et très intelligente comme fille, ton talent de romancière je dirais presque d'écrivain ne me surprend pas, tu as tout pour séduire ............................................ des lecteurs et bien sûr d'autres personnes :love:
 
Très émouvant comme histoire, je reconnais là ton talent Semiramis, très posée et très intelligente comme fille, ton talent de romancière je dirais presque d'écrivain ne me surprend pas, tu as tout pour séduire ............................................ des lecteurs et bien sûr d'autres personnes :love:

Je suis flattée Djebala lol merci ;)
 
Les mains posées sur son ventre elle pensait à la vie qu’en elle, elle portait, cette partie d’elle-même fruit de son amour qui verrait bientôt le jour. Elle y pensait, à chaque instant, dans le sourire de son mari ou dans le regard de son premier enfant, elle le voyait. Elle imaginait la vie à ses côtés, dans les bras de son père, jouant plus tard avec son grand frère. Un avenir tout tracé si Dieu le voulait. Elle avait préparé sa venue, mieux à même d’y faire face car elle avait déjà vécu tout cela. Les jours passaient et elle attendait avec impatience de faire la connaissance de ce petit ange que déjà si fort elle aimait.

Ce fut un matin que je me rendis compte que l’amour d’une mère était inconditionnel quand on apprit à cette future maman que son enfant naitrait différent, les médecins aillant détecté une anomalie, l’enfant selon eux ne naitrait pas normal. Cette idée de la normalité qu’une maman qui porte un enfant en elle ne peut pas comprendre, elle me répétait que quoi qu’il arrive, quoi qu’il traverse, elle l’aimerait. L’amour sans limite d’une mère qui ferait tous les sacrifices pour que son enfant aie une vie normale dans ce monde brutal qui tend si facilement à mettre les gens à l’écart car ils ne sont pas comme les autres.

Les mains posées sur son ventre, elle pensait à la vie que son amour aurait, au-delà des drames au-delà des larmes elle l’aimait, et c’est avec espoir et bonheur que sa grossesse continuait. Elle y croyait, elle avait fait le vœu de donner toutes les chances à son enfant et de se battre pour lui car elle ne voulait que son bonheur qu’importe ce qu’elle devrait faire pour lui permettre d’y accéder. Les semaines s’écoulaient.

Ce fut un matin que je me rendis compte que la douleur d’une mère peut être infinie quand arrivée à la maternité au lieu de la joie au cœur de découvrir ce petit ange déjà chéri, je découvris la douleur d’une maman de la perte de son enfant, le cœur meurtri. L’enfant n’avait pas survécu, ce qui devait être un jour de fête fut un jour de deuil. Le fait d’être croyant dans de tels instants est salvateur , se raccrocher à la pensée que Dieu a épargné à cet être déjà tant aimé les douleurs de cette vie, dans Sa miséricorde en lui accordant une place au paradis sans l’ombre d’un pêché sur son âme pure et éternelle.

Si c'est toi qui a écrit ça, Chapeau ;-)
Tu as réussi à m'arracher une larme ....

C'est un sujet dont on parle tellement peu ...
Choisir de ne pas interrompre sa grossesse, et donner vie à un enfant malade/handicapé, c'est courageux et beau...
 
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