Au pays du mépris. Voyage dans l'arrogance "à la française"

Une découverte

Au pays du mépris. Voyage dans l'arrogance "à la française" - Martin Winckler (2024)​


« En 2009, j’ai émigré au Canada. J’ai quitté la France parce que j’y étouffais. Émotionnellement et moralement.
Quand on me demandait, de manière plutôt condescendante, si je partais “pour les grands espaces”, je répondais : “Là-bas, l’espace mental est beaucoup plus vaste.” Quinze ans plus tard, je n’ai pas changé d’avis. »

Hors de nos frontières, Martin Winckler s’est souvent entendu demander s’il était vraiment français. Quand il s’en étonnait, on lui déclarait : « Vous n’êtes pas arrogant, comme beaucoup de Français que nous recevons. » Ce pamphlet, dont le fil rouge est sa propre vie – ses racines algériennes, son enfance à Pithiviers, sa formation et son exercice médical, sa découverte du monde de l’édition et des médias, sa rencontre avec d’autres cultures –, est né de ces remarques.
À ses yeux, le « pays des Lumières » est en réalité celui du mépris, de l’arrogance, de l’élitisme et du harcèlement moral. C’est un pays bloqué dans son archaïsme, qui refuse les évolutions acceptées ailleurs, et où il est très mal vu de « sortir du moule » et de ne pas se conformer à ce qu’on attend de nous. École, université, monde professionnel, médias, politique… rien n’échappe à sa dénonciation de la « toxicité » d’une société française « cruelle, autoritaire, somptuaire et avare, masculiniste et sexiste, narcissique et xénophobe, qui se targue d’être universaliste mais se comporte en réalité de manière sectaire ».



 

Pièces jointes

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Avis laissé en France le 30 septembre 2024 Sur Amazon

Ce nouvel essai de Martin Winckler décrit une société française « cruelle, autoritaire, somptuaire et avare, masculiniste et sexiste, narcissique et xénophobe, qui se targue d’être universaliste mais se comporte en réalité de manière sectaire ».
Vu son sujet, il est probable que le livre va irriter, agacer, déranger, et je ne doute pas que la lecture du quatrième de couverture ou même de ces quelques lignes en braquera plus d'un. J'aurais tendance à penser que si vous vous braquez, c'est ce que ce livre est fait pour vous.

La présentation de l'éditeur parle de pamphlet. Je ne pense pas que ce soit un pamphlet : il y a quelque chose de rageux, de méchant dans les pamphlets que je ne retrouve pas dans l'essai. Il y a de la colère, certes, mais pas de méchanceté cinglante. Une des forces de ce livre, c'est qu'il parle de mépris, sans jamais être méprisant. Les travers que Winckler dénonce, il en a fait les frais, il en a été témoin, mais lui-même ne s'en absout pas. Parce que l'auteur parle très largement de lui, de son expérience, de son éveil, de ses prises de conscience, de son trajet, on peut tous s'y identifier.

Winckler a manifestement écrit son livre avant la dissolution et les élections de juin 2024, où le RN a fait la percée que l'on sait. Il a attendu les résultats des législatives pour rajouter un post-scriptum, fait de mots simples et d'une grande sagesse : j'aurais aimé lire ces lignes au moment où éditorialistes, journalistes et professionnels des débats télévisés y allaient de leur cacophonie. C'est dire si je pense ce livre salutaire dans le contexte actuel.

Car le mépris est bien à l'origine des tensions, des blocages, du mal-être particulièrement palpables en ce moment et qui créent une atmosphère étouffante dans la société française. Il y a bien sûr le mépris vertical : celui du puissant envers le faible, de celui qui sait et qui est instruit contre celui qui ne sait pas ou qui est ignorant, celui du sommet vers la base, celui qui se dégage des hiérarchies où s’entretiennent rapports de domination et infantilisation . Mais il y a aussi un mépris horizontal : envers celui qui ne pense pas comme nous, qui ne parle pas comme nous, qui ne s'habille pas comme nous, envers celui qui a un sexe différent, une sexualité différente, une apparence différente, un accent différent, des coutumes différentes. Ce mépris qui se manifeste dans les rapports sociaux français se révèle le symptôme d’un pays où les privilèges, l'appartenance à un cercle (ou plusieurs) et les rapports fondés sur le pouvoir sont tellement prégnants. Là où la différence de l'autre devrait nous enrichir, elle nous dérange, elle nous inquiète, voire nous menace. En parlant de lui, de ce à quoi il a été confronté, en admettant aussi ses erreurs, Winckler nous invite à une introspection, et à nous demander ce que nous pouvons changer en nous-mêmes pour que beaucoup de choses changent autour de nous, et dans notre rapport à l'autre.
En aucune façon, cette introspection n'est une injonction de l'auteur. Winckler n'est pas moraliste, et encore moins gourou. Mais il me paraît bien difficile de ne pas être interpellé, même ému par les faits qu’il rapporte, et dont beaucoup sont puisés dans son expérience et dans ses rencontres. Les pages très personnelles qu'il nous livre sur son expérience d'étudiant en médecine, sur ce que lui a transmis son père, également médecin, sont particulièrement touchantes. Le long développement qu'il fait sur l'aide à mourir, qui rencontre tant de résistance en France, est absolument lumineux. Nous sommes tous concernés.

Je vois déjà les boucliers se lever : "encore du French bashing, y'en a marre"... Il ne s'agit pas de ça. J'ai ressenti un vrai soulagement en lisant ce livre. C'est un livre qui fait du bien : il met des mots sur nos maux. Que ce soit durant notre scolarité ou nos études, dans le cadre de notre travail ou de notre vie familiale, dans notre intimité ou sur les réseaux sociaux, nous avons tous subi des attitudes hautaines, des humiliations souvent difficiles à surmonter, et, pire, difficiles à ne pas reproduire. Cet essai permet d'être lucide, et invite ainsi à changer les choses. Comme l'écrivait Gramsci, que Winckler cite fort à propos : "Seule la vérité est révolutionnaire".
 
Ma nièce a vécu au Japon puis après direction le Canada, elle en est revenue lessivée (récemment)
Pour elle, même si l'atmosphère est toujours meilleure qu'en France, elle n'a qu'une hâte retourner vivre au Japon où elle se sent en sécurité
Moralité, chaque société a ses défauts voire les défauts de ses qualités
La France vieillit mal, soit, on ne peut pas être et avoir été. Le Canada c'est un bébé à l'échelle des grandes nations, il a le temps de se manger des murs....
 
Avis laissé en France le 30 septembre 2024 Sur Amazon

Ce nouvel essai de Martin Winckler décrit une société française « cruelle, autoritaire, somptuaire et avare, masculiniste et sexiste, narcissique et xénophobe, qui se targue d’être universaliste mais se comporte en réalité de manière sectaire ».
Vu son sujet, il est probable que le livre va irriter, agacer, déranger, et je ne doute pas que la lecture du quatrième de couverture ou même de ces quelques lignes en braquera plus d'un. J'aurais tendance à penser que si vous vous braquez, c'est ce que ce livre est fait pour vous.

La présentation de l'éditeur parle de pamphlet. Je ne pense pas que ce soit un pamphlet : il y a quelque chose de rageux, de méchant dans les pamphlets que je ne retrouve pas dans l'essai. Il y a de la colère, certes, mais pas de méchanceté cinglante. Une des forces de ce livre, c'est qu'il parle de mépris, sans jamais être méprisant. Les travers que Winckler dénonce, il en a fait les frais, il en a été témoin, mais lui-même ne s'en absout pas. Parce que l'auteur parle très largement de lui, de son expérience, de son éveil, de ses prises de conscience, de son trajet, on peut tous s'y identifier.

Winckler a manifestement écrit son livre avant la dissolution et les élections de juin 2024, où le RN a fait la percée que l'on sait. Il a attendu les résultats des législatives pour rajouter un post-scriptum, fait de mots simples et d'une grande sagesse : j'aurais aimé lire ces lignes au moment où éditorialistes, journalistes et professionnels des débats télévisés y allaient de leur cacophonie. C'est dire si je pense ce livre salutaire dans le contexte actuel.

Car le mépris est bien à l'origine des tensions, des blocages, du mal-être particulièrement palpables en ce moment et qui créent une atmosphère étouffante dans la société française. Il y a bien sûr le mépris vertical : celui du puissant envers le faible, de celui qui sait et qui est instruit contre celui qui ne sait pas ou qui est ignorant, celui du sommet vers la base, celui qui se dégage des hiérarchies où s’entretiennent rapports de domination et infantilisation . Mais il y a aussi un mépris horizontal : envers celui qui ne pense pas comme nous, qui ne parle pas comme nous, qui ne s'habille pas comme nous, envers celui qui a un sexe différent, une sexualité différente, une apparence différente, un accent différent, des coutumes différentes. Ce mépris qui se manifeste dans les rapports sociaux français se révèle le symptôme d’un pays où les privilèges, l'appartenance à un cercle (ou plusieurs) et les rapports fondés sur le pouvoir sont tellement prégnants. Là où la différence de l'autre devrait nous enrichir, elle nous dérange, elle nous inquiète, voire nous menace. En parlant de lui, de ce à quoi il a été confronté, en admettant aussi ses erreurs, Winckler nous invite à une introspection, et à nous demander ce que nous pouvons changer en nous-mêmes pour que beaucoup de choses changent autour de nous, et dans notre rapport à l'autre.
En aucune façon, cette introspection n'est une injonction de l'auteur. Winckler n'est pas moraliste, et encore moins gourou. Mais il me paraît bien difficile de ne pas être interpellé, même ému par les faits qu’il rapporte, et dont beaucoup sont puisés dans son expérience et dans ses rencontres. Les pages très personnelles qu'il nous livre sur son expérience d'étudiant en médecine, sur ce que lui a transmis son père, également médecin, sont particulièrement touchantes. Le long développement qu'il fait sur l'aide à mourir, qui rencontre tant de résistance en France, est absolument lumineux. Nous sommes tous concernés.

Je vois déjà les boucliers se lever : "encore du French bashing, y'en a marre"... Il ne s'agit pas de ça. J'ai ressenti un vrai soulagement en lisant ce livre. C'est un livre qui fait du bien : il met des mots sur nos maux. Que ce soit durant notre scolarité ou nos études, dans le cadre de notre travail ou de notre vie familiale, dans notre intimité ou sur les réseaux sociaux, nous avons tous subi des attitudes hautaines, des humiliations souvent difficiles à surmonter, et, pire, difficiles à ne pas reproduire. Cet essai permet d'être lucide, et invite ainsi à changer les choses. Comme l'écrivait Gramsci, que Winckler cite fort à propos : "Seule la vérité est révolutionnaire".
.

C tout juste s'il ne sera pas catalogué islamiste

frère musulman puisque c'est ce qui est en

vogue actuellement dès qu'on met le doigt sur

maux et les mots...français.


.
 
Ma nièce a vécu au Japon puis après direction le Canada, elle en est revenue lessivée (récemment)
Pour elle, même si l'atmosphère est toujours meilleure qu'en France, elle n'a qu'une hâte retourner vivre au Japon où elle se sent en sécurité
Moralité, chaque société a ses défauts voire les défauts de ses qualités
La France vieillit mal, soit, on ne peut pas être et avoir été. Le Canada c'est un bébé à l'échelle des grandes nations, il a le temps de se manger des murs....

oui mais il y a une difference entre vivre dans un pays en tant qu'etranger et y vivre en tant que natif
car beaucoup d'etranger aime la corée et japon car il en ont une vision romantique notament grace au drama ou manga
alors que pour un coreen la pression de la societé correene est elle que la pluspart veulent se sauvé de leur propre pays

pour connaitre un pays il faut vraiment s'imergé c à dire couper tout attache avec son pays d'origine
et vivre reelement a la japonaise mais meme là cette experience a ces limites car on la vivra en tant qu'etranger vivant au japon
les japonais ne traitera pas un etranger comme un natif ...

:)
 
Dernière édition:
.

C tout juste s'il ne sera pas catalogué islamiste

frère musulman puisque c'est ce qui est en

vogue actuellement dès qu'on met le doigt sur

maux et les mots...français.


.

n'importe quoi tu confond critique qui est un art en france
et insulte et haine gratuite qui est un art chez les (je m'auto censure)

ne confond pas tout c vous les qui ne supporté pas la critique
des que l'on vous critique vous insulté les gens d'islamophobe
 
Une découverte

Au pays du mépris. Voyage dans l'arrogance "à la française" - Martin Winckler (2024)​


« En 2009, j’ai émigré au Canada. J’ai quitté la France parce que j’y étouffais. Émotionnellement et moralement.
Quand on me demandait, de manière plutôt condescendante, si je partais “pour les grands espaces”, je répondais : “Là-bas, l’espace mental est beaucoup plus vaste.” Quinze ans plus tard, je n’ai pas changé d’avis. »

Hors de nos frontières, Martin Winckler s’est souvent entendu demander s’il était vraiment français. Quand il s’en étonnait, on lui déclarait : « Vous n’êtes pas arrogant, comme beaucoup de Français que nous recevons. » Ce pamphlet, dont le fil rouge est sa propre vie – ses racines algériennes, son enfance à Pithiviers, sa formation et son exercice médical, sa découverte du monde de l’édition et des médias, sa rencontre avec d’autres cultures –, est né de ces remarques.
À ses yeux, le « pays des Lumières » est en réalité celui du mépris, de l’arrogance, de l’élitisme et du harcèlement moral. C’est un pays bloqué dans son archaïsme, qui refuse les évolutions acceptées ailleurs, et où il est très mal vu de « sortir du moule » et de ne pas se conformer à ce qu’on attend de nous. École, université, monde professionnel, médias, politique… rien n’échappe à sa dénonciation de la « toxicité » d’une société française « cruelle, autoritaire, somptuaire et avare, masculiniste et sexiste, narcissique et xénophobe, qui se targue d’être universaliste mais se comporte en réalité de manière sectaire ».




peux tu me dire si il a pointé du doigt l'origine et la cause de ce mepris ou arrogance ?
 
oui mais il y a une difference entre vivre dans un pays en tant qu'etranger et y vivre en tant que natif
car beaucoup d'etranger aime la corée et japon car il en ont une vision romantique notament grace au drama ou manga
alors que pour un coreen la pression de la societé font que la pluspart veulent se sauvé

pour connaitre un pays il faut vraiment s'imergé c à dire couper tout attache avec son pays d'origine
et vivre reelement a la japonaise mais meme là cette experience a ces limites car on la vivra en tant qu'etranger vivant au japon
les japonais ne traitera pas un etranger comme un natif ...

:)

tu as parfaitement raison !
elle n'a pas subi par exemple la pression qui existe au travail au Japon, c'est un autre monde (les japonais font appel à des agents pour démissionner parce que ils n'osent pas entreprendre la démarche), elle bosse pour une boîte internationale - elle est à la fois ailleurs en restant protégée par un cadre juridique qui ne varie pas, c'est pas comme si elle avait décidé d'aller créer sa boîte....même quand elle était plus jeune, elle y a fait une année d'études, c'était au milieu d'étudiants venus des quatre coins du monde....c'est autre chose, quand on prend sa valise et qu'on est en immersion complète dans un autre monde.
 
tu as parfaitement raison !
elle n'a pas subi par exemple la pression qui existe au travail au Japon, c'est un autre monde (les japonais font appel à des agents pour démissionner parce que ils n'osent pas entreprendre la démarche), elle bosse pour une boîte internationale - elle est à la fois ailleurs en restant protégée par un cadre juridique qui ne varie pas, c'est pas comme si elle avait décidé d'aller créer sa boîte....même quand elle était plus jeune, elle y a fait une année d'études, c'était au milieu d'étudiants venus des quatre coins du monde....c'est autre chose, quand on prend sa valise et qu'on est en immersion complète dans un autre monde.

perso je trouve que c ce genre de vie qui est la plus agreable
celle des expatrié tu as les avantage sans les inconvenient
surtout quand c dans le cadre d'etude ou c ta boite qui font les premiere demarche

je trouve qu'en tant que voyageur tu ne t'imprégne pas assé du pays ca fait trop galerien qui tourne en rond ...

:)
 
perso je trouve que c ce genre de vie qui est la plus agreable
celle des expatrié tu as les avantage sans les inconvenient
surtout quand c dans le cadre d'etude ou c ta boite qui font les premiere demarche

je trouve qu'en tant que voyageur tu ne t'imprégne pas assé du pays ca fait trop galerien qui tourne en rond ...

:)

En tous les cas, ce que tu as dit est très juste et on le perd souvent de vue
Y a un monde entre débarquer dans un pays avec filet et émerger de ce même pays en subissant les contraintes comme les aurais subies un natif
Un retraité Français la coule douce au Maroc, pas certaine qu'il aurait choisi d'y naître
Le Canada, c'est de facto une autre mentalité que la France ancrée dans la veille Europe

Quand tu vois les Américains acheter du mobilier avec une âme chez les antiquaires français, tu mesures toute la distance qu'il y a et qu'il y aura toujours entre ces deux pays, chaque pierre de chaque bâtisse dans le moindre village français est chargée d'histoire.

Désolée pour le hs, je file
 
la pitier est elle une forme de mepris ?
qu'elle est l'inverse l'opposé de mepris ? consideration ?

comparer avec la definition de l'islam

"Quiconque a un xxxxx (simsima) d'orgueil dans le coeur n'entrera pas au Paradis"
Un homme demanda : "Qu'en est-il d'un homme qui aime porter des beaux habits et de belles chaussures ?"
Il répondit : "Allah est beau et aime la beauté.
L'orgueil est de rejeter la vérité (cela rejoint le koufr ingratitude)
et de mépriser les autres (rapport au moulk) "".

Rapporté par Muslim dans Son Sahih (1/65)

إِنَّ الَّذِينَ يُجَادِلُونَ فِي آيَاتِ اللَّهِ بِغَيْرِ سُلْطَانٍ أَتَاهُمْ
إِن فِي صُدُورِهِمْ إِلا كِبْرٌ مَّا هُــــم بِبَالِغِيـهِ




La plupart du temps, le mépris fonctionne par le silence et l’évitement du conflit.
À l’inverse, l’arrogance est un étalage. Elle se répand, déborde de part en part afin de dominer l’adversaire, de le réduire au silence.
Ces deux affects que l’on a tendance à associer, sont donc très différents.

Le mépris, une indifférence haineuse

Mais le terme de mépris désigne également « le mauvais prix » ...

 
Dernière édition:
Pas d'accord avec lui sur le "sexisme" en france, faut pas abuser non plus

Et puis dire que la hiérarchie des diplôme c'est une forme de mépris, et bien non pas d'accord non plus

Il exagère trop ce gars....

Pour faire du fric en france, crachez soit sur l'islam soit sur la france, succès garanti
 
une société française « cruelle, autoritaire, somptuaire et avare, masculiniste et sexiste, narcissique et xénophobe, qui se targue d’être universaliste mais se comporte en réalité de manière sectaire ».
bonjour, c'est la triste réalité, difficile de changer
entre nous Français on se comprends, on ne se rend même pas compte qu'on "se la pète trop", mais vu de l'extérieur c'est grave.
ma femme Tamazight m'aide à me soigner, elle qui a vécue en France connaît bien tout çà,
ma belle fille Américaine fait le même diagnostic que mon ami Suisse: la France est un beau pays mais il est mal habité.
A Agadir je fais des randonnées avec une association de Français retraités la semaine mais aussi avec une association de Marocains le dimanche.
Il faut voir: la différence de culture, de rapports humains est immense,
En Novembre j'ai fais un sommet très difficile jbel AWLIM: le "moukaden" du douar m'a proposé comme guide l'instituteur du village.
On a marché toute la journée, le mec super sympas à la fin ne voulait pas que je le paye.
Je lui ai expliqué qu'avec les Français il ne faut jamais faire de cadeau, et ne jamais dire "tu donnes ce que tu veux", il faut toujours demander le prix pour touriste soit 400 DH/jour pour un guide.
Les Français au Maroc ne font jamais de cadeau;
Les Français font semblant de ne pas comprendre que le riche doit donner au pauvre et pas l'inverse, ce sont des radins et des profiteurs pour la plupart
 
bonjour, c'est la triste réalité, difficile de changer
entre nous Français on se comprends, on ne se rend même pas compte qu'on "se la pète trop", mais vu de l'extérieur c'est grave.
ma femme Tamazight m'aide à me soigner, elle qui a vécue en France connaît bien tout çà,
ma belle fille Américaine fait le même diagnostic que mon ami Suisse: la France est un beau pays mais il est mal habité.
A Agadir je fais des randonnées avec une association de Français retraités la semaine mais aussi avec une association de Marocains le dimanche.
Il faut voir: la différence de culture, de rapports humains est immense,
En Novembre j'ai fais un sommet très difficile jbel AWLIM: le "moukaden" du douar m'a proposé comme guide l'instituteur du village.
On a marché toute la journée, le mec super sympas à la fin ne voulait pas que je le paye.
Je lui ai expliqué qu'avec les Français il ne faut jamais faire de cadeau, et ne jamais dire "tu donnes ce que tu veux", il faut toujours demander le prix pour touriste soit 400 DH/jour pour un guide.
Les Français au Maroc ne font jamais de cadeau;
Les Français font semblant de ne pas comprendre que le riche doit donner au pauvre et pas l'inverse, ce sont des radins et des profiteurs pour la plupart

Il y a un monde entre un rural et un urbain (au maroc)
Gardons le sens de la mesure, certes les touristes français ont des étiquettes qui leur sont collées au dos, à juste titre souvent mais est-ce que la France et les Français doivent être réduits à ces généralités.

Allez voir le sort des minorités dans les pays arabes. Toi qui as beaucoup voyagé, tu vois comment ils gèrent les petites mains dans les hôtels, on dit des français qu'ils sont arrogants - quand j'ai vu de mes propres yeux des familles égyptiennes à l'hôtel attablées avec une nana habillée quasiment en guenilles qui s'occupait de leurs gosses - pour bien montrer qu'elle n'est pas de la famille - faut que ça se voit jusque dans les fringues - a wedi 7na l3rab ma 3dna lch n7chmo
 
Pas d'accord avec lui sur le "sexisme" en france, faut pas abuser non plus

Et puis dire que la hiérarchie des diplôme c'est une forme de mépris, et bien non pas d'accord non plus

Il exagère trop ce gars....

Pour faire du fric en france, crachez soit sur l'islam soit sur la france, succès garanti

je dirais plutôt pour faire de la politique en france
et malheureusement, c'est pas près de s'arranger
après entre nous, ils ont un rapport maladif à la religion
et toujours entre nous, question marketing, y a du boulot chez nous avant de prétendre appâter le chaland :p
 
en quoi la France est mieux que la Belgique ? explique moi donc ça :)
Ben c’est un peu comme le Maroc et l’Algérie.
Les Algériens passent leurs vacances au Maroc
Les Belges vont passer leurs vacances en France dans les Alpes ou dans le Sud de la France.
Si je te dis 1-0 ça te rappelle des souvenirs?
CQFD....
En ce moment je suis au ski, pas dans les Ardennes Belges je te rassure.
J’ai travaillé 6 mois à Anvers, 6 mois à Bruxelles il y a bien longtemps.
Les Belges sont sympas, petit pays mais sympa...les autoroutes sont éclairés la nuit....
 
Ben c’est un peu comme le Maroc et l’Algérie.
Les Algériens passent leurs vacances au Maroc
Les Belges vont passer leurs vacances en France dans les Alpes ou dans le Sud de la France.
Si je te dis 1-0 ça te rappelle des souvenirs?
CQFD....
En ce moment je suis au ski, pas dans les Ardennes Belges je te rassure.
J’ai travaillé 6 mois à Anvers, 6 mois à Bruxelles il y a bien longtemps.
Les Belges sont sympas, petit pays mais sympa...les autoroutes sont éclairés la nuit....
La Belgique a des avantages, on y gagne mieux d'un point de vue salaire.
La France a une diversité de paysage et surtout un sud ensoleillé, ce qu'on cherche généralement.
 
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