Au tribunal, l’historien georges bensoussan face aux associations antiracistes

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Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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L’historien de la Shoah est poursuivi pour avoir assuré que « dans les familles arabes en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de sa mère ».

La salle d’audience de la 17e chambre du tribunal de grande instance de Paris s’est remplie en un éclair mais, indice des affaires importantes, une centaine de personnes attendent encore à la porte, ce mercredi 25 janvier, dans l’espoir d’assister au procès de l’historien Georges Bensoussan, poursuivi pour « provocation à la haine raciale ».

Aux bancs des parties civiles ont pris place les grandes associations antiracistes, Ligue des droits de l’homme, Licra, MRAP, SOS-Racisme ainsi que le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), à l’origine de ce signalement et dont le parquet s’est saisi afin de poursuivre l’historien du Mémorial de la Shoah.

Dans la salle des pas perdus, chacun a déjà reconnu la silhouette fiévreuse d’Alain Finkielkraut qui doit témoigner en faveur de Georges Bensoussan. C’est lors de l’émission « Répliques », que le philosophe et académicien produit et anime sur France Culture depuis plus de trente ans, que Georges Bensoussan a prononcé, le 10 octobre 2015, les mots qui lui valent ce procès.

Une citation démentie

« Aujourd’hui, nous sommes en présence d’un autre peuple au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratique qui nous ont portés », affirmait alors l’historien de la Shoah, invité à débattre avec le politologue spécialiste de l’immigration Patrick Weil. « Il n’y aura pas d’intégration tant qu’on ne se sera pas débarrassé de cet antisémitisme atavique qui est tu comme un secret », avait poursuivi l’auteur de nombreux ouvrages...




En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/police-justic...stes_5069202_1653578.html#H17R0pHMABsiV0QQ.99
 
Alors pour zemour tous les musulmans soutiennent les groups terroristes

pour Bensoussan tous les musulmans sont antisémites

quand est ce que ces monsieurs cesseront d etre dans la tete et penser pour des millions de personnes ???? ils sont infects , a asséner "leur" verité qui n est que personnelle mais qu ils veulent faire passer pour la réalité dans tous les médias

pkoi donne t on la parole a ces personnes qui ne cherchent qu une chose , faire passer les musulmans pour des mauvais , des personnes dangereuses , qui détestent tout le monde ?
pkoi veulent ils a tous prix que les musulmans soient si mal vus ???


on se le demande bien


par contre oui il y a qqchose repandu chez les musulmans , c est l antisionisme , mais il est répandu chez toute personne qui a une conscience , qui reflechit et qui suit son cœur , qui est contre les injustices ....
mais ils ne veulent pas dire le mot antisioniste car il y a aussi des juifs qui le sont et c est plus politique
non ! il dit le mot antisémite qui ne correspond a rien puisque la majorité de ceux qu il vise ( les musulmans de France ) sont aussi sémites


les medias ne devraient pas laisser ces personnes s exprimer pour cracher leur venin , la liberté d expression a bon dos , et je serais prete a parier qu il sera acquitté

et j en veux aux "pauvres français " au fond de leurs campagnes qui prennent pour argent comptant tout ce qui sort de la bouche de ces personnes malhonnêtes
 
C'est des haineux ces gens et des menteurs surtout....

Alors pour zemour tous les musulmans soutiennent les groups terroristes

pour Bensoussan tous les musulmans sont antisémites

quand est ce que ces monsieurs cesseront d etre dans la tete et penser pour des millions de personnes ???? ils sont infects , a asséner "leur" verité qui n est que personnelle mais qu ils veulent faire passer pour la réalité dans tous les médias

pkoi donne t on la parole a ces personnes qui ne cherchent qu une chose , faire passer les musulmans pour des mauvais , des personnes dangereuses , qui détestent tout le monde ?
pkoi veulent ils a tous prix que les musulmans soient si mal vus ???


on se le demande bien


par contre oui il y a qqchose repandu chez les musulmans , c est l antisionisme , mais il est répandu chez toute personne qui a une conscience , qui reflechit et qui suit son cœur , qui est contre les injustices ....
mais ils ne veulent pas dire le mot antisioniste car il y a aussi des juifs qui le sont et c est plus politique
non ! il dit le mot antisémite qui ne correspond a rien puisque la majorité de ceux qu il vise ( les musulmans de France ) sont aussi sémites


les medias ne devraient pas laisser ces personnes s exprimer pour cracher leur venin , la liberté d expression a bon dos , et je serais prete a parier qu il sera acquitté

et j en veux aux "pauvres français " au fond de leurs campagnes qui prennent pour argent comptant tout ce qui sort de la bouche de ces personnes malhonnêtes
 
Alors pour zemour tous les musulmans soutiennent les groups terroristes

pour Bensoussan tous les musulmans sont antisémites

L'article le cite comme suit:

"L’historien de la Shoah est poursuivi pour avoir assuré que « dans les familles arabes en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de sa mère »."

Il vise donc les Arabes, plus que les musulmans (et fait donc ironiquement lui aussi preuve d'antisemitisme). Ou fais tu parti de ceux qui font l'amalgame musulmans = arabes? Que pense-t-il des Arabes chretiens, des Turques musulmans, ...?
 
T as raison j ai pas relu la citation


Ceci dit en France , et il s exprimé ds un media français, les familles arabes sont vraiment associées à l islam ds la tête des gens .. .

Et je pense que qd bensiussan dit ça , ils ne pensent pas une seconde aux arabes chrétiens ou autres , mais bien aux arabes musulmans de France ...
 
Marianne a fait un compte-rendu d'audience assez détaillé. Le jugement est attendu le 7 mars.

Procès de Georges Bensoussan : "Leur objectif est d'interdire de penser"

L’audience du 25 janvier 2017 devant la 17ème chambre correctionnelle a duré douze heures et ce fut long comme un jour injuste. Un jour dont l’on retiendra la date, tristement, à l’heure future où nos enfants tenteront de comprendre quels faits, obscurs ou spectaculaires, quelles compromissions, silencieuses ou tonitruantes, nous auront conduits à cette catastrophe : l’agonie de la lucidité et la criminalisation du courage dans notre pays.


L’historien, responsable éditorial du mémorial de la Shoah, auteur de nombreux ouvrages, était, rappelons-le, poursuivi par le Parquet « pour provocation à la haine raciale » sur dénonciation du Collectif contre l’islamophobie en France. En cause : des propos tenus lors de l’émission Répliques, sur France Culture, où il évoquait l’antisémitisme dans les familles arabes en reprenant un constat du sociologue français d’origine algérienne Smain Laacher. Ce dernier s’était prétendu diffamé puis avait retiré sa plainte. Difficile en effet pour Laacher de nier avoir dit devant les caméras : « Cet antisémitisme, il est déjà déposé dans l’espace domestique. Il est quasi naturellement déposé sur la langue, déposé dans la langue... Des parents à leurs enfants, quand ils veulent les réprimander, il suffit de les traiter de juifs. Bon. Mais ça, toutes les familles arabes le savent. C’est une hypocrisie monumentale de ne pas voir que cet antisémitisme, il est d’abord domestique ». Georges Bensoussan, en s'y référant, avait usé métaphoriquement de l’expression « l’antisémitisme, on le tète avec le lait de sa mère ».


CE "DEUX POIDS, DEUX MESURES" PLANAIT DANS L’AIR RARÉFIÉ DE LA 17E CHAMBRE DU PALAIS DE JUSTICE DE PARIS.Ce sein, qu’on ne saurait voir, a déclenché toutes les fureurs. Apparemment, les choses sont bien différentes quand l’antisémitisme arabe est dénoncé par un sociologue issu de cette culture et quand la citation est reprise par un historien d’origine juive comme l’a souligné douloureusement Georges Bensoussan dans une de ses interventions. Dans le premier cas, on refuse d’écouter Laacher, puis on le somme officieusement de revenir sur ses propos. Dans le second cas, Bensoussan est trainé devant les tribunaux par la justice de son pays puisque le Parquet avait choisi d’attaquer. Ce « deux poids, deux mesures » planait dans l’air raréfié de la 17èmechambre du Palais de Justice de Paris.

Un étrange témoin
Le CCIF, représenté par Lila Charef, étroitement voilée, était appuyé par une pléiade d’associations antiracistes, Licra, Mrap, SOS racisme. SOS avait trouvé un témoin à charge surprenant en la personne de Mohamed Sifaoui. Ce dernier, qui a si souvent écrit dans nos colonnes, se retrouvait ainsi sur le même banc que le CCIF dont on pensait que le journaliste, menacé de mort par les islamistes, ne partageait pas vraiment les options. Sifaoui écrivait en effet du CCIF, le 6 juillet 2015, que cette « prétendue association antiraciste avait beaucoup de mal à condamner l’antisémitisme ». De son côté, en juin 2015, le CCIF traitait Sifaoui de « chantre de la haine ». Comment ces adversaires irréductibles se sont-ils ligués contre Georges Bensoussan ? Sans doute un de ces retournements de l’histoire qui n’augurent rien de bon pour le respect des faits. « Le déni de réalité est un cancer », écrit Elisabeth Badinter dans sa préface à l’ouvrage collectif, La France soumise coordonné par l’historien (Albin Michel)
 
Dernière édition:
Suite :
Nous y voilà, effectivement. Georges Bensoussan, sommé de s’expliquer sur ses propos mais aussi sur ses travaux, rappelle qu’il travaille depuis un quart de siècle sur les mécanismes conduisant à la haine de l’autre. Il s’est penché, notamment, sur la condition juive en pays d’Islam. Il cite l’expression, si proche de la sienne à Répliques, utilisée en 1965 dans la revue les Temps modernes par l’auteur marocain Saïd Ghallab. Sous le titre Les juifs vont en enfer, Ghallab écrivait alors : « ... la pire insulte qu’un Marocain puisse faire à un autre, c’est de le traiter de juif, c’est avec ce lait haineux que nous avons grandi... ». Plus de cinquante ans après, en France, toutes les enquêtes réalisées sur l’antisémitisme par le think tank Fondapol, comme les témoignages multiples recueillis par les enseignants depuis la parution des Territoires perdus de la République attestent une emprise grandissante des préjugés chez les jeunes de culture musulmane. Si l’on y ajoute les fameux 28% de partisans de la suprématie de la charia sur les lois françaises dénombrés dans la dernière enquête de l’Institut Montaigne (enquête dirigée par Hakim el Karoui), il y a de quoi s’inquiéter.

Sur la toile de fond des attentats, des crimes de Mohamed Merah à ceux de l’Hypercacher (sans oublier l’enlèvement et l’assassinat du jeune Ilan Halimi, en 2004, dont le caractère antisémite avait été honteusement nié) les juifs ont peur. Les élèves juifs fuient les écoles et les lycées publics des quartiers dits « sensibles ». Bensoussan, qui se définit lui-même comme « un enfant de l’école publique », souligne qu’ils n’en sont pas partis en masse par choix mais pour d’impérieuses raisons de sécurité. Les écoles juives dans lesquelles certains ont été inscrits ne sont-elles pas gardées par l’armée ? Ce qui arrache ce cri à l’historien : « Est-ce moi qui dois me trouver devant ce tribunal aujourd’hui ? N’est-ce pas l’antisémitisme qui nous a conduits à la situation actuelle qui devrait être jugé ? »

"Une dérive judiciaire"
Cette inversion du réel s’inscrit au cœur du témoignage d’Alain Finkielkraut. « Les associations antiracistes ne luttent plus contre le racisme, s’insurge l’académicien, leur objectif est d’interdire de penser, il s’agit de soustraire la réalité à l’investigation et les musulmans à la critique. Je suis étonné d’être ici : car la question n’est pas de savoir si Georges Bensoussan s’est rendu coupable : la question, c’est de savoir s’il dit vrai ! » Et Finkielkraut poursuit :

« Si le tribunal cède à cette intimidation, ce sera à la fois une catastrophe intellectuelle et une catastrophe morale... Si on refuse de voir la réalité et si on incrimine ceux qui s’efforcent de la penser, on n’a plus aucune chance d’échapper à la division et à la montée de la haine ! »

En dénonçant « une dérive judiciaire », le philosophe cite des témoignages sur les « insultes antisémites et antifrançaises ». Du coup, l’avocat du Collectif contre l’islamophobie en France le menace de « réserver » ses propos, allusion à une procédure judiciaire dont il pourrait relever. « Ah, je suis donc moi aussi sous surveillance ! » s’exclame Finkielkraut.

Cet échange donne le ton d’un procès qui, d’heure en heure, se fait plus tendu. Ainsi se vérifie la phrase de Jean-Paul Sartre : « L’antisémitisme n’est pas une pensée, c’est une passion. »

La déposition de Mohamed Sifaoui, extrêmement violente à l’encontre de Georges Bensoussan, alourdit encore l’atmosphère. D’un côté, le journaliste si engagé contre l’islamisme reconnaît qu’au cours de ses reportages dans le monde arabe, il a « rencontré partout de l’antisémitisme, personne ne nie non plus qu’il y a un antisémitisme endémique dans la communauté musulmane en France ». Où est donc la différence de propos qui l’amène à fustiger Bensoussan ? C’est que, de l’autre côté, Sifaoui s’indigne : « Bensoussan détricote tous les moments positifs entre juifs et arabes. N’est-il pas en train d’écrire une histoire qui peut servir à des milieux douteux ? C’est un destructeur des ponts entre juifs et arabes. » En s’attardant sur la fameuse métaphore de « l’antisémitisme tété au sein », il évoque même « un biberon empli d’un lait fabriqué en Israël ! ». Une heure plus tard, l’avocat du CCIF lancera à l’historien : « Les juifs ne tuent pas d’Arabes ? Et en Palestine ? » L’inversion des faits ne suffit donc pas ! Sifaoui comme le CCIF, adversaires d’hier mais peut-être pas de demain, se coalisent pour convoquer l’ombre du conflit israélo-palestinien sous les plafonds bleu-or de la 17ème chambre.
 
Et fin : (Marianne s'est réveillé sur le numérique, maintenant ils tartinent en accès gratuit^^)

Le témoignage de la philosophe Elisabeth de Fontenay, toujours vigilante et précise, allège un peu l’ambiance. Elle aussi « accepte mal qu’un chercheur qui fait état d’études de terrain soit poursuivi ». Et souligne à l’intention des accusateurs de l’historien : « On ne peut pas parler de racisme quand on évoque la transmission culturelle ».

En face, la sociologue Nacira Guénif, témoin cité par l’accusation, se fendra d’une longue analyse, véritable morceau d’anthologie, qui consiste à prendre le contre-pied de la réalité. A la présidente du tribunal, Fabienne Siredey-Garnier, qui lui demande de réagir aux propos de Smain Laacher, elle répond par une esquive et entreprend de décortiquer l’insulte arabe « espèce de juif ! » Des « explications » fournies par l’éminente universitaire, il ressort qu’en disant l’insulte « on ne pense pas ce qu’on veut dire », qu’il s’agit « d’une expression figée passée dans le langage courant ». Bref une insulte antisémite en arabe n’est pas... antisémite.

Suivra un dernier et obscur témoignage de Michèle Sibony, enseignante retraitée, par ailleurs animatrice d’une « Union juive française pour la paix » qui, en se drapant dans la cape de la bonne moralité identitaire, s’enlise dans la phraséologie la plus ossifiée pour flatter l’islamisme. Devant le tribunal, elle va manier l’injure en accusant Bensoussan de « discours digne d’un Drumont » ( Edouard Drumont, antidreyfusard, était un célèbre idéologue antisémite du début du XXème siècle). Nous sommes toujours à des années-nuits du réel et de la clarté intellectuelle.

"Pour la première fois de ma vie j’ai eu la tentation de l’exil"
Il y aura heureusement l’intervention d’Yves Ternon, historien qui salue « Georges Bensoussan, le lanceur d’alerte », puis la lettre de soutien adressée d’Algérie par le grand écrivain Boualem Sansal, et lue par la présidente :

« Les propos reprochés ne sont en rien un acte d’islamophobie... (...) J’ai moi-même dénoncé cette culture de la haine inculquée dans les familles arabes à leurs enfants, haine contre le juif, le chrétien, l’homosexuel... »

Boualem Sansal ose ensuite écrire : « Dire que l’antisémitisme relève de la culture, c’est simplement répéter ce qui est écrit dans le Coran et enseigné à la mosquée ».

Suivront les plaidoiries des associations, aussi creuses que leurs accusations, puis celle, incisive et brillante, de Me Michel Laval, avocat de Georges Bensoussan. Le réquisitoire de la Procureure sera à l’image du procès, intégralement idéologique.

« Ce soir, Madame la présidente, concluera Georges Bensoussan, dans le silence de la nuit qui s’est abattue sur le Palais de justice, pour la première fois de ma vie j’ai eu la tentation de l’exil. »

C’était un jour dans la vie de la justice française. Jugement le 7 mars.

http://www.marianne.net/proces-georges-bensoussan-leur-objectif-est-interdire-penser-100249457.html
 
En fait, ce qui me fait le plus bizarre dans ce procès c'est que les témoins sont des philosophes, sociologues, islamologues, écrivains...

C'est des faits qu'on juge... ou on se contente de palabrer comme dans un salon ? o_O
 
Le témoignage de la philosophe Elisabeth de Fontenay, toujours vigilante et précise, allège un peu l’ambiance. Elle aussi « accepte mal qu’un chercheur qui fait état d’études de terrain soit poursuivi ». Et souligne à l’intention des accusateurs de l’historien : « On ne peut pas parler de racisme quand on évoque la transmission culturelle ».

Transmission culturelle ?!

Mais cet infâme Bensoussan à parler de transmission génétique !

Il parle d' antisémitisme atavique :

" Il n'y aura pas d'intégration tant qu'on ne se sera pas débarrassé de cet antisémitisme atavique qui est tu, comme un secret." et d'ajouter" C’est une honte que de maintenir ce tabou, à savoir que dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère". »

Il s'est défendu en disant citer un sociologue algérien, Smaïn Laacher : qui a démenti vigoureusement et publiquement ces imputations tout en exerçant son droit de réponse[1] auprès de la radio France Culture.

" Je n’ai jamais dit ni écrit nulle part ce genre d’ignominie. J’ai demandé un droit de réponse qui devrait être accordé. Comment peut-on croire une demi- seconde que dans ces familles l’antisémitisme se transmettrait finalement par le sang. Mes travaux, mes positions et mes engagements publics s’inscrivent dans un effort sans relâche contre tout essentialisme, même involontaire. Je n’ai jamais supposé qu’un ordre biologique serait au principe d’une détestation confessionnelle, ethnique ou nationale. Cette citation purement fantasmatiquedoit être interprétée comme une tentative pour le moins naïve mais lâche de me rapatrier dans un « camp » contre l’autre (« qu’un sociologue algérien, Smaïn Laacher, d’un très grand courage… »). Ce n’est pas l’idée que je me fais du débat public. Je me réserve la possibilité dans les jours qui viennent de m’expliquer plus longuement sur ce type de violence (plus que symbolique) et d’instrumentalisation. Et bien entendu la justice sera saisie très prochainement. ».
 
Monsieur s'est cru libre d'insulter des millions de français musulmans car invité par un islamophobe notoire Alain Finkielkraut lors d'une émission dont le pseudo philosophe est animateur ( Répliques ).
 
T as raison j ai pas relu la citation


Ceci dit en France , et il s exprimé ds un media français, les familles arabes sont vraiment associées à l islam ds la tête des gens .. .

Et je pense que qd bensiussan dit ça , ils ne pensent pas une seconde aux arabes chrétiens ou autres , mais bien aux arabes musulmans de France ...
Pas que en France que les arabes sont vraiment associées à l'Islam dans la tête des gens (oh ! mais quel culot de faire ce rapprochement, c'est vraiment n'importe quoi !) :rolleyes:

Essaye donc de manger pendant le ramadan dans un pays musulman, si tu as une tête d'arabe, et tu te présente dans un restaurant !
Ils vont te faire le "rappel" en veut-tu en voilà ! sans te demander à la base si tu es "musulman", c'est implicite "of course" !
 
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